Vitalisme

permettant de rendre compte d’une constellation d’actions, de sentiments, d’ambiances spécifiques de l’esprit du temps de la postmodernité, ce qui caractérise une culture en train de naître. C’est ce nouvel esprit du temps qu’il décrypte dans le vitalisme social, ou comme il aime à le dire, dans le « grouillement vitaliste », ou encore dans la créativité populaire en focalisant son attention sur la fonction sociale l’émotion esthétique car elle n’est pas qu’un simple phénomène psychologique. L’émotion

automates. Ce modèle cartésien a annoncé finalement les progrès de la science future. Chaque étape de la science biologique est en effet marquée par la découverte de déterminisme pysico-chimique, donc par une victoire du mécanisme et un recul du vitalisme (explication des fonctions organiques par un mystérieux principe qui serait propre au vivant ). Aujourd’hui, lorsqu’on parle de science, n’est-on pas obligé de faire référence à du concret, des principes visibles et clairement explicables? La connaissance

a qu'une organisation particulière de la matière. • Bergson montre que l'intelligence a pour rôle d'analyser et de décomposer : au fur et à mesure qu'elle s'empare du vivant, elle le décompose en des réactions mécaniques qui nous font perdre le vitalisme de la vie. 6. La biologie est-elle une science impossible ? • La biologie moderne se rapproche de plus en plus de

traités d’histoire naturelle, « vie et mort » p.209 – 216, GF De l’âme, I et II1-5 p.67-1 23, Folio G.L. Buffon : Histoire naturelle, § reproduction et récapitulation p. 173–187, folio G. Canguilhem : La connaissance de la vie, §.1 Aspect du vitalisme, p.105-128 D. Diderot : Le rêve de d’Alembert F. Jacob : La logique du vivant, Chap. 2 L’Organisation p.87 – 145 E. Kant : Critique de la faculté de juger, « des choses comme fins naturelles » §.64-66 - 74 III° L’HOMME DE LA NATURE : PRIMA

priori : une connaissance logiquement antérieure à l’expérience. Dans la pensée de Kant, c’est aussi « indépendante de l’expérience ». Cela s’oppose à une connaissance a posteriori, empirique, factuelle, à ce qui est « issu de l’expérience ». Vitalisme : Il est une tradition philosophique pour laquelle le vivant n’est pas réductible aux lois physico-chimiques. Elle envisage la vie comme de la matière animée d’un principe ou forcé vitale, qui s’ajouterait pour les êtres vivants aux lois de la matière

Pour Descartes, l’enjeu de l’humain est de décoder les lois de la nature pour en comprendre le fonctionnement et le maitriser. Comme il est habilité à maitriser la nature, il porte la notion de projet 3ème réponse : le vitalisme : En critique de la pensée de Descartes, le vitalisme qui s’inspire d’Hypocrate repose sur l’idée selon laquelle la nature dont fait partie l’homme serait régit par une force vitale de nature mystérieuse. L’intériorité du vivant, resterait donc un mystère impénétrable.

l'environnement. Pour de plus amples informations, cf. infra "La matière et l'esprit". 2. Le fonctionnement des organismes Ici, on retrouve le vieux débat (qui constitue encore la problématique privilégiée des sujets du bac) entre vitalisme et mécanisme. La question étant de savoir si l'on peut réduire l'organisme vivant à une machine. On sait que ce débat a été entièrement renouvelé grâce aux avancées de la cybernétique. Si l'organisme peut aujourd'hui être assimilé à une machine

fabriquées par nous-mêmes à notre insu, qui nous détermineraient sans que nous le sachions... comment en accepter l'idée ? 2-. Durkheim et l'exemple de la physiologie Si Durkheim heurte les tendances majoritaires de son époques : la métaphysique, le vitalisme, le psychologisme, il n'est tout de même pas seul. Saint-Simon, A. Compte et Spencer ont montré le chemin mais ne sont pas suivis. C'est un contemporain, un physiologiste, C. Bernard qui lui servira d'exemple dans son entreprise scientifique. Il

surréalistes, s'identifier à ce monde moderne, « extase lyrique » dont on trouve à l'évidence chez Verhaeren et chez le jeune Zweig de grands précurseurs? 33 Car l'œuvre de Verhaeren est bel et bien, pour sa part essentielle, traversée et portée par le vitalisme. La vision générale qu'en donne Zweig, vitaliste enthousiaste lui aussi, ne peut donc qu'être en harmonie avec elle, même s'il lui arrive de trop la tirer dans cette direction: l'essentiel de la « trilogie noire » pourrait, par exemple, se ramener

scientifiquement (théorie des animaux machines chez Descartes) . Au sens large : il s’agit d’une explication du vivant par sa réduction aux propriétés physico-chimiques de la matière, sans le lier au concept de vie. Le mécanisme s’oppose au finalisme et au vitalisme. D’une part, tout, dans un organisme s’explique par la configuration des parties d’autre part il n’y aurait aucune force vitale qui expliquerait les comportements observables du vivants. Le finalisme : (n.m) latin finis but terme limite. Doctrine