Vitriol

Exemple historique : o En 1747, James LIND démontra que le citron pouvait soigner le scorbut ! o Il compara différentes substances acides (cidre, vitriol, vinaigre, eau de mer, orange et citron) sur des groupes de marins atteint de scorbut o 12 malades répartis en 6 groupes de 2, le plus homogène possible :  ¼L cidre/jour  25 gouttes d’élixir de vitriol 3 fois/jour  2 cuillères à soupe de vinaigre 2 fois/jour  ½ pinte d’eau de mer/jour  2 oranges et 1 citron /jour  Électuaire recommandé par un

Lantier revient et finit s'installer chez le couple. Les deux hommes vivent du travail de la jeune femme. Un jour, Gervaise va chercher Coupeau à “L’assommoir” où il boit sa paie avec d’autres ivrognes. Elle-même prend une anisette puis un verre du «vitriol» que secrète l’alambic. Gervaise commence alors à se porter vers l'alcool, néglige son travail. Ils sont obligés de céder leur boutique et d’emménager dans un taudis. Coupeau est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner

ZOLA, Assommoir, chapitre 10, le vitriol et les symptômes de l'alcoolisme de "C'est que, dans le ménage des Coupeau ..." à " ... bousculer son liquide." Situation du passage : Gervaise a abandonné sa "boutique" à Virginie et les Coupeau vivent désormais "sous les toits, dans le coin des pouilleux". Coupeau s'est remis à boire ; deux années s'écoulent et le couple s'enfonce dans la misère. La petite Lalie Bijard supporte , après sa mère déjà morte d'un coup de pied, les tortures de son père, rendu

essayé de comprendre ce que nous demande le Rituel. Je le vis et le ressens de la façon suivante : il s’agit de prendre sa place spirituelle, de descendre en soi, de créer un espace sacré à l’intérieur de soi-même, de réaliser une introspection, un VITRIOL. On nous prépare lors de cette première phrase à changer de monde ; à passer du profane au Sacré. Il nous faut prendre notre place, rien que notre place mais toute notre place à l’intérieur du Temple et pour moi, cela consiste entre autres à ne

empilés sur un fond sombre que donne l´impression de violence et de fureur. C´est une caricature satirique (veut provoquer un changement) que désigne une situation (la 1º Guerre Mondiale). Ce tableau mets à nu, dans une dénonciation au vitriol, les tares de la République de Weimar. 3. Compréhension de l´œuvre L´artiste nous communique par son œuvre la violence de la société allemande des 1920´s, avec ses élites irresponsables, son désir de revanche après la défaite de 1918 et la

amicale. En traitant l'alambic avec cette familiarité appuyée, il tend à le démystifier et à le rendre inoffensif. Ses désirs d'éternel assoiffé s'expriment dans le fantasme qui suit. Mes-Bottes imaginent que l'alambic lui déverse en continu son " vitriol "(l.14). Dans la bouche. Il rêve de se trouver uni et même soudé à la machine, dans une continuité totale avec elle. il voudrait sentir le liquide le pénétrer jusqu'aux extrémités de son corps, chaud comme du sang. L’image est forcée et peut être

lavage de la laine et des peaux. Pourtant à la même époque en Italie, dans la région de Volterra en Toscane, les lagoni, petits bassin d’eau chaude saumâtre d’où s’échappe la vapeur à plus de 100°C, sont exploités pour l’extraction du souffre, du vitriol et de l’alun. Les capacités modernes de forage ont permis d'aller chercher les calories plus près du magma. Le plus profond jamais creusé (12 km de profondeur), le Forage sg3, a ainsi atteint une température de plus de 180 °C. Les Philippines produisent

machine à soûler. Tonnerre de Dieu ! elle était bien gentille ! Il y avait, dans ce gros bedon de cuivre, de quoi se tenir le gosier au frais pendant huit jours. Lui, aurait voulu qu'on lui soudât le bout du serpentin entre les dents, pour sentir le vitriol encore chaud, l'emplir, lui descendre jusqu'aux talons, toujours, toujours, comme un petit ruisseau. Dame ! il ne se serait plus dérangé, ça aurait joliment remplacé les dés à coudre de ce roussin de père Colombe ! Et les camarades ricanaient, disaient

Mes-Bottes » incarne l’ivrogne-type: Le narrateur note ses gestes (métaphore = « rire de poulie mal graissée ») et l’attitude de ses camarades. - langage : Zola utilise le langage de la rue pour faire parler ses personnages : Termes d’argot : « le vitriol » ( = l’eau-de-vie), « les dés à coudre » (= les petits verres), « ce roussin de père Colombe » (= cet indicateur de la police). « Et les camarades [...] disaient que cet animal de Mes-Bottes avait un fichu grelot » (= était un fameux bavard) Jurons

l’alcoolisme, Zola transporte ainsi le lecteur face à ses personnages dans l’univers alcoolisé des cabarets de l’époque. En effet, dans ces lieux, le principal champ lexical argotique est celui de l’alcool ou de l‘alcoolisme : « la sauce », « le vitriol », « autres cochonneries », « ces cheulards-là », « la mine à poivre », « canon gratis », « gros bedon de cuivre », « gosier ». Les autres expressions argotiques, souvent péjoratives, sont utilisées pour désigner des actes basiques ou des expressions