Vivre Au Jour Le Jour

Travail long (25%) Philosophie éthique et politique Nicolas Hamel, Automne 2013 Comment faut-il vivre? Comment votre troisième cours de philosophie pourrait-il vous guider dans votre vie future? Le travail long consiste à présenter et à argumenter un avis réfléchi sur la question : quelle est la meilleure façon de vivre? Il se présente en cinq étapes : Introduction (maximum 100 mots) • Introduisez comme vous le voulez la question de la meilleure vie humaine. 1) Une vie rousseauiste

« Le Journal d'Anne Frank  » est un livre autobiographique écrit du 12 juin 1942 au 1er août 1944, par une jeune fille de 13 ans nommée  Anne Frank  . Ce livre contient exactement les notes d'un journal intime faites par une adolescent qui traverse la phase la plus importante de sa vie durant un des moment les plus compliqués que l’humanité a déjà vécu. "Le Journal d'Anne Frank" évoque les notes de Anne, sur tout ce qu'elle a vécu et les atrocités

. après le bonheur Après tout ce moment magnifiques que l’on a passé avec lui <3 , et que tout a coup ca disparait ,plus rien ne vas ,quand tout est finit et on tombe de haut, en chut libre ,bien se casser la gueule beh c ca tomber. .. Un jour, tu rentres des cours, de mauvaise humeur. Tu gueules sur tout le monde, mais ils laissent passer, ils te connaissent… Mais alors viens cette parole dite de travers, ce mauvais mot, cette petite tension et… Bim, tu pars en cacahuètes. Tu commences

qui nous échappent, nous sommes tellement inattentifs... Parfois nous croisons quelqu'un, il suffit de quelques mots échangés, et nous savons que nous avons à vivre quelque chose d'essentiel ensemble. Mais il suffit d'un rien pour que ces choses là ne se passent pas et que chacun poursuive sa route de son côté. Ma grande raison de vivre c'est elle, si tout le reste périssait et qu'elle demeurât, je continuerais d'exister ; mais si tout le reste demeurait et qu'elle fût anéanti , l'univers me deviendrait

BATTRE POUR VIVRE Même si tu voles Même si tu rêves Même si tu défies tout le monde Tu resteras dans ton prison Dans les limites de ton monde Dans le cœur de ta vie Prés de tes envies Qui sont loin de toi Mais prés de tes pensés T’as besoin d’aide T’as besoin de tout ces gens T’as besoin de ce qu’ils fassent pour toi Mais est ce que tu sais Que c’est eux qui t’empêchent de vivre tes rêves De réaliser t’es envies Ils sont les limites de ton monde Les prisons de tes fantasmes Quand

Poème1 Elle est ma raison de vivre, elle est les battements de mon coeur, Je deviens ivre en voyant sa beauté, sa fraîcheur, Cela se traduit par un désir éternel, Je me sens alors battre des ailes, Je ne puis me passer d'elle, je la veux dans mes bras pour toujours, Elle embellie mes rêves la nuit et les matérialise le jour, Son image monopolise mon esprit, Le flottement de ses cheveux m'emmène au-delà des océans, Ses yeux m'envoûtent et m'emportent dans le tourbillon de la folie,

sont infinis. - - - - - Roméo : Oh belle, belle nuit ! J’ai peur puisque c’est la nuit Que ce ne soit rien de plus qu’un rêve Trop flatteur et délicieux pour être réel. Juliette : Veux-tu partir ? Ce n’est pas encore le jour, C’était le rossignol et non l’alouette Qui perçait ta tendre oreille de son chant ; Chaque nuit il chante sur les branches du grenadier, Crois moi mon amour, c’était le rossignol.

vibrations provoquent les émotions profondes A toutes images les sens virevoltent en tout sens Jusqu’à se laisser emporter par l’au-delà du ressenti. Chaque jour est un nouveau bonheur Comme je peux le vivre en un nouveau jour Je me souviens exactement de ce levé de plaisir Je me souviens quand a commencé ce désir de ce nouveau jour. Loin de laisser le sombre de la nuit me retenir Comme un vague soleil de la nuit Recherché dans les pensées du souvenir Des éclairs d’images reparaissent

vous dis de vous taire  Monsieur est mort !  Norge Géo  Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont

en enfer. Tal, elle, ne s’habitue pas. Elle aime trop sa ville et la vie. Elle veut mourir très, très vieille et très, très sage. Un jour, en plein cours de biologie, une ampoule s’allume au-dessus de sa tête, comme dans un dessin animé. Voilà des jours qu’elle écrit ce qu’elle a sur le cœur, ses souvenirs, la fois où elle a vu ses parents pleurer de joie, le jour de la signature des accords de paix entre Israéliens et Palestiniens, et puis la désillusion, la révolte, la terreur, et l’espoir quand