Vivre Au Présent

Peut-on apprendre à vivre ? Afin de pouvoir répondre a cette question on doit tout d’abord expliquer cette interrogation en trois phases « Pouvoir » implique que l’on ai le choix, que l’on nous laisse la possibilité de choisir, mais a-t-on réellement le choix ?  « Apprendre » : On apprend quelque chose que l’on ne « sait » pas, ou que l’on ne « connaît » pas. Donc il y a un lien entre « apprendre » et le savoir, la connaissance. Le verbe ‘Apprendre’ peut donc désigner le fait de comprendre

Apprendre à vivre, de Luc Ferry I. Références Apprendre à vivre est un traité de philosophie à l’usage des jeunes générations publié en février 2006 aux éditions Plon par l’ancien ministre de l’Education nationale et philosophe, Luc Ferry. Luc Ferry, professeur agrégé de philosophie et ancien ministre de la Jeunesse, de l’Education nationale et de la Recherche est l’auteur de nombreux ouvrages abordant des questions philosophiques tel que Qu’est ce qu’une vie réussie ?. C’est notamment à

thème de la fatalité d’une façon similaire. Suite à la lecture de ces deux poèmes, l’on constate que pour chacun d’eux, le sujet poétique qui est projeté dans le futur, ressent un mal de vivre qui le mène à la fatalité, c'est-à-dire, la mort. Dans le poème d’Alain Grandbois, le sujet poétique ressent un mal de vivre, qui est démontré par son état de solitude : « N’ont crée pour notre solitude qu’une solitude d’acier » (v.18 et 19), de tourments : « Ô tourments plus forts de n’être qu’une seule apparence

Pourquoi vivre? En premier lieu, peu importe qui nous sommes, nous sommes tous sur terre pour apporter quelque chose, une sorte de mission, aussi minime soit-elle. Nous devons vivre afin de remplir cette mission que l’univers nous a donnée. Pour certains ce sera de prendre soin d’un proche, pour d’autres ce sera de changer le monde de la science. Cette mission aura plus ou moins d’ampleur selon la personne mais cela n’y enlève pas d’importance. Nous avons tous besoin d’avoir un sens à notre vie

Le passé est irréversible et révolu, il renvoie donc à une certaine impuissance d'agir, et par conséquent de vivre avec lui. Mais si nous pouvons accepter ou rejeter son passé, pouvons-nous l'ignorer ? Le verbe "pouvoir" implique ici la possibilité ou la permission. Est-il possible d'ignorer son passé ? Cela est-il permis ? Pour répondre à cette question nous allons d'abord étudier les raisons qui poussent à désirer oublier le passé, puis les différentes façons par lesquelles l'oubli est possible

relation de l'homme avec le présent est remis en cause. On remarque la thèse du texte dès le début "Nous ne nous tenons jamais au temps présent". L'auteur montre directement l'incapacité de l'homme à vivre dans le présent, en fuyant vers le passé ou l'avenir. Quelle est la cause de cette incapacité a vivre dans le présent ? On remarque deux mouvements. Le premier, commençant au début du texte jusqu'à la ligne 9 "aucune assurance d'arriver", qui explique la fuite du présent et la raison de cette fuite

inutiles.(4) Sénèque souligne le fait que les gens vivent comme s'ils allaient vivre pour toujours, ignorant la fragilité de leur existence. Il rappelle que le temps est précieux et que chaque jour pourrait être notre dernier.(5) Sénèque critique l'idée que les gens réservent les dernières années de leur vie à des activités intellectuelles et à la réflexion. Il estime que cela est trop tard et que les gens devraient commencer à vivre leur vie plus tôt, plutôt que de reporter leur développement personnel

s' agit d'une histoire d 'amour, mais aussi dans un contexte médical car le thème du coma est abordé. La question que pose ce roman est contenue dans le titre : Comment peut-on décider à 17 ans de vivre ou de se laisser mourir après la disparition de ses parents et de son petit frère ? « Comment vivre sans eux si je reste ? ». Situer l'ouvrage et la bibliographie du livre : L auteur a écrit deux autres ouvrages: le premier écrit en 2007 s'intitule « Les coeurs félés », « la ou j 'irai »

divisées entre les gouvernements régionaux et un gouvernement central, de sorte que chaque type de gouvernement décide des domaines dont il a la charge. C'est le produit du fédéralisme qui, pour répondre à des situations bien spécifiques, vise à faire vivre dans un même ensemble plusieurs communautés en recherchant à instaurer un équilibre entre respect des diversités et besoin d'unité, entre autonomie et unité. Vu la situation en Belgique on est alors en droit de se demander si l'Etat fédéral est

savant au service de la raison. En effet, il suit une démarche scientifique lors de chacune de ses réflexions. Nous pouvons voir la façon dont le philosophe est présenté : c’est un savant. Il « démêle les causes » (l.3), les « prévient » (l.3) et les étudie avec « connaissance » (l.4). Le champ lexical de la connaissance est très présent dans ce texte, on le trouve à la ligne 1 avec « connaître », puis à la ligne 4 avec « connaissance » et enfin ligne 39 « étudie ». De plus de la ligne 2 à 4 on