Vivre Librement

la société ont dénaturé l’homme. L’homme sauvage est caractérisé par quatre attributs : la liberté naturelle, le sentiment de pitié,l’égalité et l’amour de soi. La liberté naturelle, où l’homme vit librement, sans dépendre des autres, a été remplacée par la liberté civile lorsque l’homme a décidé de vivre en société. Cette liberté estcaractérisée comme un droit pour la société tout entière, où l’homme se tisse des liens d’interdépendance avec les autres humains. Rousseau croit que lorsque nous somme

humain, avec ses caractéristiques anatomiques clairement repérables, avec ses déterminismes, ses contraintes pesantes, dont il faudrait enfin s’affranchir (puisque nous en aurions désormais les moyens) et un sexe culturel, surajouté, à inventer librement sans aucune référence à la nature ? Dans le sillage de l’existentialisme sartrien, dont Simone de Beauvoir se fait ici l’écho, on comprendrait alors la célèbre et provocante affirmation comme un déni de la nature au nom de la liberté tout-puissante

existence, et occulte ainsi le moindre espace pour la liberté. Pourtant, il paraît curieux de penser pouvoir obéir librement, l’obéissance étant d’ordinaire synonyme de soumission, et l’on peut croire qu’il ne s’agit là que d’une illusion instaurée par l’habitude. Mais n’oublions pas qu’obéir est un acte délibéré, ce qui est rarement le cas de la soumission. Aussi, peut-on obéir librement ? Et si c’était là une liberté, alors pourquoi obéir ? Tout d’abord, il nous faudra éclaircir la distinction entre

actes et ceux d’autrui. Selon Sartre, la morale n’a de sens que s’il y a liberté. Selon lui, parce qu’on est des consciences, on est toujours responsable. On juge généralement que nous sommes responsables que lorsque nous agissons consciemment et librement. Etre libre, c’est être indépendant par rapport à ce qui peut nous déterminer de l’extérieur. Or, cela ne signifie pas que la liberté doive se passer de la soumission à certaines lois, car la liberté n’est pas l’indétermination totale : les lois

l’accomplissement de tous nos désirs, au point ne pas en faire une quête qui organiserait notre vie ? Et qu’est-ce donc qu’une « bonne règle de vie » ? Ce corrigé ne contient que des pistes de réflexion sur le sujet étudié. Selon CALLICLES, "celui qui veut vivre droitement sa vie" doit "donner à chaque désir qui pourra lui venir la plénitude des satisfactions" (Gorgias. 491 e - 492 a). Ainsi non seulement l'accomplissement des désirs serait la condition d'une vie heureuse, mais accomplir le plus grand nombre

Aussi, est-il souvent plus aisé d'obéir que de prendre des décisions. Antithèse: Idée 1 : seul l’homme est libre. si l’homme est homme, c’est parce qu’il a une conscience. Cette conscience permet à l’homme d’agir librement. Or, ce n’est qu’en agissant librement qu’il réalise son humanité. Soumis à l’ordre naturel, il n’est plus qu’un animal obéissant uniquement à son instinct de conservation. Idée 2 : l’histoire de l’humanité est une lutte contre la servitude. l’évolution des

famille juive à Osnabrück en 1904. Il suit des études artistiques et rencontre une artiste juive polonaise qui deviendra sa femme en 1937.L'accession de Hitler au pouvoir l’avait contraint à fuir l'Allemagne, il n’accepte pas de renoncer à peindre librement et d’adopter le style obligatoire en Allemagne pendant le IIIème Reich. Il a fui en Italie puis en Belgique à l’avènement du nazisme. Il a été déporté le20 juin 1944 à Auschwitz où il est mort. Contexte Cette œuvre a été peinte en 1944, donc

personne libre et responsable. Il est plus facile d’obéir que de prendre des décisions. Antithèse : Idée 1 : seul l’homme est libre. si l’homme est homme, c’est parce qu’il a une conscience. Ma conscience me permet d’agir librement. Or, ce n’est qu’en agissant librement que l’homme réalise son humanité. Soumis à l’ordre naturel, il n’est plus qu’un animal obéissant uniquement à son instinct de conservation. Idée 2 : l’histoire de l’humanité est une lutte contre la servitude. l’évolution

cela que nous verrons, dans un premier temps comment le servage fut une adaptation de l'esclavage aux exigences d'une morale nouvelle (I), afin d'aborder, par la suite, l'évolution juridique et l'existence sociale du serf, et sa possibilité de vivre « librement » (II). I - Le servage: Une adaptation de l'esclavage aux exigences d'une morale nouvelle. En principe, le serf n'échappait pas à son seigneur. Il était sous une dépendance extrême face à ce dernier (A), et était également une

rendre gloire et partager son bonheur éternel si nous lui sommes fidèles.  Comment devons-nous vivre ? Nous devons choisir librement d’aimer Dieu et de faire le bien. La vie que nous décidons librement de mener sur terre, sera la vie que nous aurons après notre mort ; C’est nous qui décidons de notre vie éternel en fonction de ce que nous aurons choisi librement de vivre sur terre. Si nous faisons librement et volontairement le bien et aimons Dieu, il est normal qu’après notre mort, nous connaissions