Vladimir Et Estragon Relation Maitre Esclave

baignés de tristesse. En plus d’être un de ses collaborateurs assidus pour la composition de “Work in progress” (qui sera plus tard intitulé “Finnegans wake”), et le traducteur, avec Alfred Péron, d’”Anna Livia Plurabelle”, il composa un essai sur ce maître à l’influence déterminante, glissant ce premier manuscrit sous la porte de Nancy Cunard, rue Guénégaud : ____________________________________________________________ _____________________ “Dante...Bruno...Vico...Joyce” (1929) Essai Commentaire

pièces de théâtre au sein du corpus, Dom Juan Acte I scène 1 de Molière (1622-1673), écrit en 1665, L’île des esclaves scène 3 de Marivaux (1668-1763) écrit en 1725 et enfin En attendant Godot de Samuel Beckett (1906-1989) écrit en 1952. Dans chacun de ses extraits on remarque un couple de maitre/ serviteur : Dom Juan / Sganarelle , Euphrosine / Cléanthis et Pozzo / Lucky. La relation maître-valet est une convention du théâtre de comédie, le valet est un personnage indispensable (idée d'infériorité

(lecture cursive) J. Lavelli Le Roi se meurt (extrait vidéo) 1ère séance : dominante lecture/oral (…./….) Objectif : prendre contact avec le texte et sa difficulté de mise en scène Activités : • Travail de groupe (par 3 = Vladimir ; Estragon ; metteur en scène) • Préparer les 2 premières pages de la pièce. • Le metteur en scène devra à l’issue de la prestation justifier les choix qu’il aura opérés (de manière à ce que le rôle du metteur en scène ne soit pas un prétexte pour

DISTRIBUTION: Estragon : Vladimir : Lucky : Pozzo : Un jeune garçon : Jacques Leblanc Jack Robitaille Hugues Frenette Denise Gagnon Lucien Ratio CONCEPTION: Texte: Mise en scène: Assistance à la mise en scène: Décor: Costumes: Éclairages: Environnement sonore: Samuel Beckett Lorraine Côté Hélène Rheault Christian Fontaine Isabelle Larivière Sonoyo Nishikawa Pascal Robitaille 1 EN ATTENDANT GODOT ESTRAGON. – […] Allons-nous en. VLADIMIR. – On ne peut pas. ESTRAGON. – Pourquoi? VLADIMIR. – On

traditionnel Les œuvres théâtrales de B. ne contiennent pas d’action (« Toute l’œuvre de Beckett est une protestation contre l’action[4] »), ou si peu !, ni péripéties[5], sinon dérisoires. Les personnages semblent errer (« Quoi faire ? » ressassent Vladimir et Estragon qui attendent vainement. Rien ne se produit, sinon la répétition inéluctable, comme en témoigne la circularité ds Fin : « La fin est dans le commencement, et cependant on continue » (Hamm). Dès lors, le temps semble immobile[6], d’autant que

longuement dans ses poches et en sort une enveloppe et un trousseau de clefs, avec lequel il ouvre un tiroir d’où il tire une bobine, une banane, une seconde banane, avant de « farfouiller dans les boîtes » où sont contenues les bobines4. De même Estragon, dans En attendant Godot, « fouille dans ses poches, archibondées de saletés de toutes sortes » (G, 18)5. Lucky est accablé de paquets, porte « une lourde valise, un siège pliant, un panier à provisions et un manteau » (G, 28). Du panier, il retire

sur les relations maître/valet. Sujet: « Au théâtre, maitres et valets appartiennent à deux mondes séparés ». Vous discuterez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus de texte et de vos lectures personnelles. Corpus: Dom Juan ou Le festin de pierre de Molière en intégralité. Scène 1 de L'ile des esclaves de Marivaux. Acte I scène 10 du Mariage de Figaro de Beaumarchais. Extrait de l'acte I de En attendant Godot de Beckett. Avant le XVIII° siècle, les rapports maître-valet sont

la création : c'était la pièce à voir, tout le monde en parlait. Depuis, 4 ou 5 fois, peut-être. A l’époque et encore maintenant, on en faisait une pièce absurde, LA pièce de l'Absurde. Dumur, Lemarchand, tout le monde admirait, mais voyait Vladimir et Estragon comme des clowns ou des clochards « métaphysiques ». Pronko écrivait : « Godot, dans un passé indéfini, lors de circonstances quelque peu incertaines, leur a donné un rendez-vous plutôt imprécis dans un lieu mal défini à une heure indéterminée

faux dévots dans un monde où la religion et le pouvoir ne font qu’un, qui sous-couvert de la religion instrumentalisent la religion pour exercer leurs pouvoir sur les autres. Le personnage de Tartuffe s’introduit dans une riche maison bourgeoise. Le maître va tomber sous la coupe de Tartuffe, alors qu’il ne veut que son argent et sa femme. C’est un escroc. Molière écrit donc une pièce politique. Cette scène d’exposition originale est particulièrement efficace dans sa fonction première d’informer le

vieux Polichinelle vient dans la nuit donner la sérénade à Toinette, dont il est amoureux ; mais il est interrompu par des violons, puis par des archers du guet (Premier intermède). Cléante s’introduit auprès d’Angélique en se faisant passer pou un maître de musique ; Argan cependant tient à assister à la leçon. Sur ce, arrive les Diafoirus père et fils pour la demande en mariage. Après un grotesque échange de compliment, Argan pris Cléante de faire chanter sa fille devant la compagnie : leur duo improvisé