Voix de poitrine

saison elle portait un mouchoir d’indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge, et par-dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d’hôpital. Son visage était maigre et sa voix aiguë. À vingt-cinq ans, on lui en donnait quarante. Dès la cinquantaine, elle ne marqua plus aucun âge ; – et, toujours silencieuse, la taille droite et les gestes mesurés, semblait une femme en bois, fonctionnant d’une manière automatique. II Elle

saison elle portait un mouchoir d'indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris, un jupon rouge, et par-dessus sa camisole un tablier à bavette, comme les infirmières d'hôpital. Son visage était maigre et sa voix aiguë. À vingt-cinq ans, on lui en donnait quarante. Dès la cinquantaine, elle ne marqua plus aucun âge ; et, toujours silencieuse, la taille droite et les gestes mesurés, semblait une femme en bois, fonctionnant d'une manière automatique. 5 Chapitre

dit-elle. J’ai regardé, et je réalisais deux bières étaient probablement avoir un effet sur elle, mais elle m’assura qu’elle n’était pas ivre. Elle reprit d’une voix nerveuse qu’elle était venue plus avec un but précis. «J’ai voulu coucher avec toi depuis un moment», balbutiait-elle, et je l’attendais le bon moment. Au début, j’étais sans voix, puis je marmonné quelque chose notre différence d’âge et de mon amitié avec sa mère. « Depuis que je vous ai vu e avec ma mère dans le salon de l’appartement

flanc à flanc, sur un épais lit de paille souple, dans la douce chaleur des étables aux murs crépis de bouses. Les bêtes sauvages viennent rôder près des fermes, poussées par la faim qui leur noue les entrailles comme le froid noue le mal dans les poitrines. Et les bûcherons n'osent guère s'aventurer à des abattages lointains, dans la crainte de rencontrer le loup qui jette la terreur en déchirant ses hurlements sur ses crocs avides d’entrailles et de chair. La locature des Bâtards ne

si ma tête était sur le point d'exploser. Je dois réfléchir à tout cela. Prendre mon temps et un plan quelque chose, non seulement cela, mais Jane .... je dois parler avec elle aussi. Je suis assis dos à peu près contre le siège de la voiture, ma poitrine monte et descend rapidement de l'aggravation. J'ai mis ma clé de voiture à l'allumage, le tordant et en laissant le grondement de la voiture pour un départ avant arrachant dans la rue. J'essuie ma bouche avec ma main, me léchant les lèvres après

d’admission : oral (comprimé ou gélule)/indications : HTA, prévention des crises d’angine de poitrine, certains trouble du rythme cardiaque…/surveillance : EI= nausées, vomissements, douleur d’estomac, diarrhées, ralentissement important du cœur, insomnie… -Bécotide/classe : antiasthmatique/ mode d’admission : voie aérienne (aérosol)/ indication : asthme/surveillance : EI= irritation de la bouche et de la gorge, toux, voix rauque. -Gluconate de calcium/mode d’admission : oral (solution buvable)/indication :

était la propriétaire de la salle de bains. En ouvrant la porte de l’armoire, elle vit nos quatre shampooings parfaitement alignés. Silence complet. Calme plat. Pas un cheveu de travers. À gauche, Ultra Doux arborait ostensiblement sa belle et ferme poitrine, tout en agitant avec volupté sa longue crinière blonde. Elsève se dressait tel un empereur, usant de son sourire le plus ravageur. Fructis tentait discrètement de se placer devant les autres. Ses piques se dressaient sur sa tête. Il adoptait une

fenêtre, dans l’espoir de pouvoir quitter cet hôpital un jour. Son envie de liberté est en contradiction avec son état actuel. Ses tics ne cessent de croître et se manifestent de manière plus violente. Le raccord est utilisé de plusieurs manières. La voix hors-champ du Dr. Sayer permet de faire la transition entre le plan de Leonard et celui du Dr. Sayer qui est un plan moyen. À partir de celui-ci, le plan américain sera mis en place afin d’avoir une vision plus rapprochée du Dr. Sayer et des autres

particulières. Le narrateur le décrit de la tête au pied et est assez surpris par cette personne. Il en fait une description plutôt positive. Chaque partie de cette personne est plus ou moins déformée «  le nez aquilin » « son menton touchait sa poitrine »etc. … Cette « singulière créature » monopolisé tout l’attention des autres personnages avec ce physique pas des plus attirant, ils sont intrigués. La bosse que il portait sur le dos semble imposante au point de «[…]caresser la nuque »du bossu

qui fera sa voix. Une lecture stimulée par l’ambition d’une relation sororale, « inégalée » dit-elle, avec Mag, « La sœur en littérature ». Cette lecture et cette plongée dans la littérature est « d’abord passion des mots – à lire, à dire, seulement après, à écrire, pour nous repaître de leur lumière… ». Lecture qui arme son enthousiasme quant à l’apprentissage de la langue étrangère, la langue française apprise à l’école dont « les mots sont vénérés ». « Madame Blasi », cette femme-voix grâce à qui