Volatilité

directement sur ces flux et sont propres à la sphère financière. Quelle que soit sa nature, tout risque se traduit par une fluctuation de la valeur du titre financier. Le risque d'un titre financier se mesure à la volatilité de sa valeur (ou de son taux de rentabilité) : plus la volatilité est élevée, plus le risque est fort, et inversement. Il existe deux types de risque en finance : Le risque systématique. Pour un titre, c'est le risque corrélé au marché. Il est dû à l'évolution de l'ensemble de

données d’entreprises décrites ci-dessus, le modèle suivant, pour chaque entreprise i à la date t: Yit = ai + dt + c.POSTt x Xit + d.POSTt x LISTit + eit Yit est la variable d’intérêt (part des salaires dans la valeur ajoutée, rentabilité, volatilité). ai est un une indicatrice de firme, pour modéliser son comportement moyen. dt est une indicatrice d’année, destinée à modéliser les effets de conjoncture. POSTt est une indicatrice égale à 1 si l’année t est après 1989. Xit est un ensemble

déficits budgétaires sont passés de 11 % des recettes publiques dans les années 1970 et 1980 à 8 % seulement depuis 2000. La volatilité de la fiscalité, des dépenses et des déficits d’une année sur l’autre – caractéristique de longue date de la politique budgétaire dans la région avec ses effets néfastes sur les performances économiques – s’atténue elle aussi : un indice de la volatilité des déficits calculé pour les Perspectives économiques 2009 révèle une baisse d’un tiers entre 1990-1994 et 2000-2006

excessives…. Les comptables ont élaboré les normes comptables et les auditeurs ont eu pour mission de contrôler l’application des normes. Le questionnement sur les IFRS est un mauvais débat. Certes les IFRS ont introduit de la volatilité dans les comptes, mais ce n’est pas la volatilité qui est aujourd’hui en cause ; c’est l’absence de système de valorisation suffisamment fiable puisque nous assistons précisément à une remise en cause desdites références et des modèles de valorisation. Dans ce contexte

programme, la proximité des idées entre le parti et le votant, le mode de scrutin… - pas beaucoup d’importance au sexe pour le vote - fidélité au premier vote est en général observée (bien que nuances) - jeunes ont en général une plus grande volatilité - théorie de l’électeur stratège (Jean-Luc Parodi) II) mais le vote est souvent beaucoup plus qu’un calcul coûts-avantages Le vote est donc théoriquement rationnel, cependant, et pour plusieurs raisons, on pourrait paraphraser Keynes et parler

existante entre volatilité des cycles et croissance économique. Nous justifions ce chapitre par le fait que cette relation a évolué en deux sens contraires. Dans une première période, la littérature économique a évolué dans le sens d’une relation positive entre la volatilité des cycles et la croissance économique. En effet, Kormendi et Meguire (1985), Black (1987), Grier et Tullock (1989), Caballero et Hammour (1994), Caporale et McKiernan (1996), et Canton (1996) ont montré que la volatilité des cycles

institutionnels ? • La juste valeur n’a pas été, en soi, un phénomène aggravant de la crise. Le débat autour d’elle se pose dès lors que le marché n’est plus efficient ou liquide (Michel Prada, AMF).La juste valeur a alors un effet multiplicateur de volatilité du marché (Jean-François Lepetit, CNC), aggravant l’illiquidité des marchés et créant un effet de « procyclicité » en contradiction avec la mission originelle de la comptabilité (Etienne Boris, PwC). Au contraire (Philippe Danjou, IASB), la juste

santé et de la consommation non-cyclique. * Une volatilité record La volatilité est une mesure de l’ampleur des variations du cours d’un actif financier. La volatilité a atteint des records. Pendant la crise que nous connaissons, une moyenne a été atteinte qui est la deuxième la plus élevée de l’histoire de la finance. L’indice Ted Spread (qui mesure la liquidité des marchés interbancaires américains) ainsi que le VIX (volatilité implicite du S&P 500) ont connu cette année de forte

moyenne des taux courts ; la vitesse de retour à la moyenne des taux longs ; le taux moyen long terme ; Edern Sévellec – Mémoire EURIA 2010 Page 16 sur 127 Gestion Actif / Passif par une projection stochastique bayésienne    la volatilité des taux courts ; la volatilité des taux longs ; et des mouvements browniens à tout instant t. D’un point de vue pratique, il n’est pas aisé d’obtenir des données concernant les taux d’intérêt réels ; c’est pour cela qu’Ahlgrim et al. [2005] les obtiennent par

Etant donn´ une valeur de volatilit´ σ, la formule de e e Black et Scholes permet de donner un prix ` l’option puisque tous les a autres param`tres sont objectifs. Dans la pratique, elle est utilis´e pour e e calculer la volatilit´ ´tant donn´ le prix de l’option. On observe alors que ee e la volatilit´ n’est pas constante en fonction du strike, c’est le ph´nom`ne e e e de volatility smile ou volatility skew. De plus, mˆme pour un strike donn´, e e la volatilit´ n’est pas constante en