Volatilité

manque transparence rejet du risque sur actionnaire par créancier défiance marché action méthodes des agences de rating : source de volatilité ?? augmentation considérable de l’info nécessaire pour évaluation effets de seuil quand on passe l’ « investment grade » risque de sur

période 1991–2000; les symboles pleins représentent la période 2001–09. Les lignes droites représentent le sens de l’évolution entre les périodes dans les quatre catégories de pays. Graphique 2 Lissage de la production et de l’inflation La volatilité de l’inflation et de la croissance a été moindre de 2001 à 2009 que de 1991 à 2000, mais elle a diminué davantage dans les pays pratiquant le ciblage de l’inflation (CI). (variabilité de l’inflation, en pourcentage) 14 12 10 8 6 4 2 0 0 1991–2000

tendance pas d'AT  L'histoire se répète : Logique de l'Analyse Technique Ces informations comportent essentiellement les prix, mais aussi les évolutions du cours, le volume des échanges, la position de la place, la relation inter-marchés, la volatilité implicite, les indicateurs de sentiments des investisseurs et les différents sondage. Les critiques et/ou remarques que vous ne manquerez pas d'entendre autour de vous :  Personne ne peut sérieusement prétendre prévoir l'avenir : L'Analyse Technique

- APS (Active Portfolio Strategy) : arbitrage cash / future, arbitrage entre les cours d’un future à différentes échéances, arbitrage entre valeurs susceptibles d’entrer ou de sortir d’un indice - Options Trading : market making, arbitrage de volatilité et trading d’options sur actions ou indices. - Equity Financing : prêt / emprunt de titres, arbitrage sur OST, trésorerie de BNP Paribas Arbitrage… - EPT (Equity Portfolio Trading) : contrepartie sur portefeuilles pour compte de tiers (achat et

dépréciation. Le coût historique suscite actuellement de nombreuses critiques de par la qualité et la faible pertinence de l’information comptable générée. En effet, cette méthode est basée sur une conception prudente n’intégrant pas la notion de volatilité dans l’évaluation du résultat, et plus généralement, du patrimoine de l’entreprise. La nécessité pour les créanciers et les investisseurs d’obtenir une information actualisée a conduit à une réorientation des objectifs assignés aux états financiers :

jour des discussions internationales. Au-delà des controverses sur sa responsabilité dans la genèse de la crise, les différends sur les changes, l’ampleur sans précédent de l’accumulation des réserves, et les difficultés des pays aux prises avec la volatilité des mouvements de capitaux expliquent cette actualité. Le système monétaire international est aujourd’hui un régime hybride avec une forte asymétrie entre, d’une part, les économies en régime de change flottant et d’autre part, celles en régime

le régime de change de facto et non de jure de chaque pays : la volatilité des taux de change nominaux et le niveau d’intervention des banques sur les taux de change dans un pays. Le premier critère prend en considération deux variables pouvant refléter son degré de volatilité : -la volatilité des taux de change (ME) : Ayant pour mesure la moyenne des variations mensuelles des taux de change nominaux pendant l’année. -la volatilité des variations du taux de change (DE) : le paramètre mesuré est

plus rare, son prix augmente. Le cours mondial du pétrole est marqué par une forte volatilité : il a connu un record historique au mois de juillet 2008 avec un baril côté à 132,5 $ soit une hausse de + 5 % par rapport à janvier 2008 et de + 148 % par rapport à janvier 2007. Au 1er janvier 2009 le baril ne valait plus que 43,9 $ soit un recul de près de 67 % par rapport à juillet 2008. Cette très forte volatilité des cours du pétrole dans un contexte de crise économique globale a conduit à des modifications

internationales, elle doit s’inquiéter de la politique de couverture à mettre en place pour se protéger contre le risque de transaction lié aux ventes futures. De plus, ce risque est multiplié quand la matière première est placée sous le signe de la volatilité tel que le baril du pétrole brut. De ce fait, il est de toute première importance que les entreprises qui sont exposées à des fluctuations parce qu’elles consomment ou produisent des matières premières, comme la SAMIR, se dotent de moyens pour

s’appliquent pas à tous les actifs ou passifs de l’entreprise et restent, dans certains cas, optionnelles. De plus, ceci impliquera pour les comptes la mise en place de méthodes de calcul et de suivi de ces justes valeurs: La possibilité d’une volatilité plus grande de la valeur de certains actifs devra Être intégrée. Pour finir sur cette remise en cause du principe des coûts historiques, nous pouvons Faire une dernière comparaison: La comptabilisation en coût historique est pratiquée par la