Voltaire De La Tolérance Universelle

1 Commentaire de texte : De l’horrible danger de la lecture (1765), Voltaire TEXTE : Nous Joussouf Chéribi1, par la grâce de Dieu mouphti2 du Saint-Empire ottoman, lumière des lumières, élu entre les élus, à tous les fidèles qui ces présentes3 verront, sottise et bénédiction. Comme ainsi soit que Saïd Effendi, ci-devant ambassadeur de la Sublime-Porte 4 vers un petit Etat nommé Frankrom5, situé entre l’Espagne et l’Italie, a rapporté parmi nous le pernicieux usage de l’imprimerie, ayant consulté

des libertés « le combat pour la tolérance » Cet article est issu d’un numéro spécial du magazine Marianne « la liberté de Platon aux indignés », et écrit par Guillaume Califat, historien ,membre De l’école française de Rome. L’idée centrale du texte est de récapituler les différents textes des lumières, qui ont été écrit pour alimenter le combat afin de défendre la tolérance civile, mais aussi de démontrer le caractère péjoratif de cette la notion de tolérance invoquée par les différents auteurs

six est ainsi intitulé « le pacte social ». Nous examinerons ce pacte. Nous verrons le raisonnement qu’utilise l’auteur pour exposer le sujet et ses difficultés, puis les principes essentiels de ce contrat. Puis nous verrons les théorie de Hobbs, Voltaire, Rousseau, et Lock sur le contrat social . Rousseau débute ce chapitre par une hypothèse, en utilisant le pronom personnel « je » : « Je suppose les hommes … » .En utilisant le vocabulaire de la menace : « obstacles, nuisent, périrait » et la

siècle. Les Jaucourt avaient dû abjurer le protestantisme lors de la révocation de l'Édit de Nantes. Ils ont pourtant pratiqué leur ancienne foi en assistant discrètement aux cultes célébrés dans les ambassades scandinaves à Paris. Après l'Édit de Tolérance (1787), François, un de leurs descendants, devait jouer un rôle important dans le protestantisme français. Dès 1720, le jeune homme entama des études de théologie réformée à Genève, puis étudia les mathématiques et la physique à Cambridge pour enfin

acquitté, et leur deux filles sont enfermées au couvent, mais grâce à Louis XVI, elles sont libérées, Pierre, le fils, est lui, banni. Voltaire, un Grand de cette époque, est convaincu que Pierre Calles, le fils est innocent. Il décide alors de s’occuper personnellement de l’affaire. Pour cela il fait appel à ses amis, comme Richelieu et Douilaville. Voltaire se charge de la veuve en l’aidant financièrement, et il fait appel à un avocat célèbre. Celui-ci écrit des plaidoyers où il réfute l’accusation

que le rire, que l’on croit volontiers anarchique, libre est comme toute autre expression humaine, intimement, profondément social. Le rire selon Voltaire : le siècle des Lumières est un grand siècle du rire. Voltaire accorde moins de crédit à la raison qu’au rire parce ce que ce dernier prend en compte la réelle nature de l’homme. Le rire de Voltaire ne s’adresse pas à tous, mais seulement à des lecteurs capables de comprendre (à la différence de Rabelais par exemple qui est populaire) * Rire

ou apaiser les esprits lors d'une discussion sur un sujet qui fâche. Elle invite chacun au respect de l'autre et de la diversité des convictions (en matière politique, religieuse, sociale...), c'est-à-dire à la tolérance. (citation et explication du sens immédiat du sujet) Cette tolérance peut-elle toutefois s'appliquer à tout et à tous sans aucune limite ? Peut-on se contenter de cette affirmation, si commode pour échapper au débat ou à la critique, sans préciser quel type d'opinions elle concerne

stimulation du goût des plaisirs et du luxe. 1.2 Rationalisme et sensibilité - domination de la pensée des lumières (Montesquieu, Diderot, Voltaire…), - valeurs : souveraineté de la raison et de l’expérience, nécessité d’aborder tous les problèmes avec l’esprit critique, foi dans les progrès de la civilisation, respect de la liberté individuelle, idéal de tolérance religieuse, de paix, de justice sociale, - l’Encyclopédie (où l’esprit des Lumières y apparaît entièrement) est dirigée par Diderot et

prient pas les mêmes dieux, mais certains vivent libres et heureux sans lois ni Église : seule une morale naturelle organise leurs sociétés. 7. Bougainville est un explorateur célèbre. 8. Ce recensement universel n’a pas pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à une défense de la liberté. La science et l’éducation 1. L’instruction et la liberté de contradiction sont les meilleures armes pour combattre l’ignorance. 2. Pour enrichir leurs connaissances, les

et de l’acquis et la question du bonheur terrestre) La science progresse : L’astronome anglais Newton consacre la victoire de l’observation sur la spéculation. Le monde céleste et le monde terrestre sont gouvernés par les lois de la gravitation universelle. Le naturaliste Lamark esquisse une théorie sur l’évolution, on découvre les rudiments de l’électricité. En perpétuelle évolution, le monde apparait comme privé de toute relation avec l’absolu. Des divisons au sein de l’Eglise, la révocation de