Voltaire Et La Relativité

Micromégas (1752) - Voltaire I : les sources d’inspiration 1. Le Voyage de Gulliver est un roman satirique écrit pas Jonathan Swift en 1721 dans lequel on retrouve le thème de l’infiniment grand (les géants) et l’infiniment petit (les Lilliputiens): infiniment grand et infiniment petit, ainsi que le voyage. Les deux auteurs se servent de la satire et du regard étranger comme moyen de dénoncer leur société, et se cache dernière la science-fiction et le conte pour éviter la censure. Entretiens

fables 1684 Citation : « A mesure que l’on est plus ignorant, et que l’on a moins d’expérience, on voit plus de prodige » Voltaire : Traité sur la tolérance 1763 Souligne la diversité des religions et la relativité des rites Ecrit pour la réhabilitation de Jean Calas, protestant accusé d’avoir tué son fils pour empêcher de se convertir au catholicisme et exécuté 1762. Voltaire obtiendra gain de cause Citation : « Puisse tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères » Condorcet : Esquisse d’un

INTRODUCTION L'article "Genève" de L'Encyclopédie, que Voltaire inspire à d'Alembert suscite la tempête chez les pasteurs : les antiphilosophes veulent l'expulser de la propriété des délices, qu'il avait acquis en 1755. En 1758, il achète la propriété de Ferney, située à cheval sur la frontière franco-suisse, pour se mettre à l'abri. C'est cette année là qu'il rédige Candide, conte philosophique qui contredit la théorie de l'optimisme selon laquelle tout est pour le mieux dans le meilleur

Les principales œuvres de Montesquieu sont : Les Lettres Persanes (1721) La damnation éternelle des païens (1711) Le Temple de Gnide (1724), poème De l'esprit des lois (1748) Les principales œuvres de Voltaire sont : Zadig (ou la Destinée), 1748 Œdipe, 1718 Le Fanatisme ou Mahomet, 1741 Les principales œuvres de Buffon sont : Histoire générale des animaux, 1749 Histoire naturelle de l’homme, 1749 Les quadrupèdes

Mélyssa CRISTOFORI 2°9 Titre : Micromégas Auteur : Voltaire Editeur : Le Livre de Poche Collection : Libretti Première édition : 1752 à Berlin Edition de mon livre : 2010 Pages : 94 Genre : conte philosophique Thème : La relativité des connaissances humaines. Accroche : Après une étape sur Saturne où il se fait un compagnon de voyage, philosophe comme lui, Micromégas, habitant de Sirius, vient visiter la terre des hommes : occasion de péripéties nombreuses et de dialogue variés. Puis, à la fin

leçons (argumentation) Le narrateur n’incarne aucun personnage -> apparence d’une réalité objective. Effets d’échos entre les leçons données pas Micromégas et celles des philosophes. - 1ère leçon : relativisme universel (relativité). Thème récurent de l’œuvre de Voltaire. = ne pas juger sur les 1ères apparences, relativiser. Apparaît par l’opposition petit/grand : argument logique : « il ne faut juger de rien sur sa grandeur apparente ». + étonné par l’intelligence de ces êtres si petits et

que nous ne pouvons rien y changer regardent avant de traverser la rue. » « Asseyez-vous une heure près d'une jolie fille, cela passe comme une minute. Asseyez-vous une minute sur un poêle brûlant, et cela passe comme une heure. C'est cela la relativité. Albert Einstein. » "Tout seul on va vite, à deux on va loin" « On dit que la vérité sort de la bouche des enfants... Dois-je être un enfant pour te dire "Je t'aime" ? » La vie est une rose Dont chaque pétale est une illusion Et chaque

leçons (argumentation) Le narrateur n’incarne aucun personnage -> apparence d’une réalité objective. Effets d’échos entre les leçons données pas Micromégas et celles des philosophes. - 1ère leçon : relativisme universel (relativité). Thème récurent de l’œuvre de Voltaire. = ne pas juger sur les 1ères apparences, relativiser. Apparaît par l’opposition petit/grand : argument logique : « il ne faut juger de rien sur sa grandeur apparente ». + étonné par l’intelligence de ces êtres si petits et

tolérance et pour le respect des libertés. Cet esprit s’incarne dans ceux que l’on a appelés philosophes, se développe dans les salons et s’exprime dans les œuvres littéraires. Parmi ces philosophes des Lumières, on retrouve de grands noms tels que Voltaire, Rousseau, Diderot et Montesquieu. Chacun d’entre eux défendait sa cause avec force et vigueur. On peut alors se demander comment les philosophes des Lumières ont-ils pris parti concernant les problèmes de la société et comment ont-ils mis la Littérature

sans doute jaillies spontanément chez les êtres les plus primitifs, étaient, par cela même, dignes d’être examinées en tant que valeurs absolues. Indiscutablement, la tâche était ardue ; cependant, il y avait un tel risque à laisser la notion de la relativité du bien et du mal se répandre dans les masses qu’il faut déplorer que les écrivains et les philosophes religieux aient été les seuls à traiter la question de ce point de vue. Malheureusement, ils ne possédaient pas les arguments scientifiques et