Voltige en cercle

plus tendrement les agneaux par amour de l'Agneau, les colombes à cause du Saint-Esprit. Elle avait peine à imaginer sa personne ; car il n'était pas seulement oiseau, mais encore un feu, et d'autres fois un souffle. C'est peut-être sa lumière qui voltige la nuit aux bords des marécages, son haleine qui pousse les nuées, sa voix qui rend les cloches harmonieuses ; et elle demeurait dans une adoration, jouissant de la fraîcheur des murs et de la tranquillité de l'église. Quant aux dogmes, elle n'y comprenait

plus tendrement les agneaux par amour de l’Agneau, les colombes à cause du Saint-Esprit. Elle avait peine à imaginer sa personne ; car il n’était pas seulement oiseau, mais encore un feu, et d’autres fois un souffle. C’est peut-être sa lumière qui voltige la nuit aux bords des marécages, son haleine qui pousse les nuées, sa voix qui rend les cloches harmonieuses ; et elle demeurait dans une adoration, jouissant de la fraîcheur des murs et de la tranquillité de l’église. Quant aux dogmes, elle n’y comprenait

plus tendrement les agneaux par amour de l'Agneau, les colombes à cause du Saint-Esprit. Elle avait peine à imaginer sa personne ; car il n'était pas seulement oiseau, mais encore un feu, et d'autres fois un souffle. C'est peut-être sa lumière qui voltige la nuit aux bords des marécages, son haleine qui pousse les nuées, sa voix qui rend les cloches harmonieuses ; et elle demeurait dans une adoration, jouissant de la fraîcheur des murs et de la tranquillité de l'église. Quant aux dogmes, elle n'y comprenait

contre-culture) : œuvres et personnages «Under road» «The catcher in the ride» Peak seger : grand chanteur Woody goltry : «Bound for glory»: memoires dans les années 30 Les précurseurs:  1-    La beat génération (ce sont des artistes) Cercle d'écrivains (Jack Kerouac, Allan Ginsberg, Ken Kesey, etc.) et d’artistes qui produisent des œuvres caractérisées par la spontanéité, l’automatisme et une prose libre et rythmée. Ça ressemble un peu à ce faisait du Rimbaud (philosophie : vivre ses

l'homme terrassé qui rêve encore et souffre, S'ouvre et s'enfonce avec l'attirance du gouffre. Ainsi, chère Déesse, Etre lucide et pur, Sur les débris fumeux des stupides orgies Ton souvenir plus clair, plus rose, plus charmant, À mes yeux agrandis voltige incessamment. Le soleil a noirci la flamme des bougies; Ainsi, toujours vainqueur, ton fantôme est pareil, Ame resplendissante, à l'immortel soleil! Fleurs du mal Charles Baudelaire inkwatercolor.com Charles Baudelaire inkwatercolor.com

aesles d'un moulin à vent de Myrebalays .   CHAPITRE XII   Des chevaux factices de Gargantua.       Puis, affin que toute sa vie feust bon chevaulcheur, l'on luy feiste un beau grand cheval de boys, lequel il faisoit penader, saulter, voltiger, ruer et dancer tout ensemble, aller le pas, le trot, l'entrepas, le gualot, les ambles, le hobin, le traquenard, le camelin et l'onagrier , et luy faisoit changer de poil (comme font les moines de courtibaux selon les festes), de bailbrun, d'alezan

détente des classes supérieures. Ce destin renforce sa chute, il est à présent au bas de l’échelle, en bout de course. P 296 – p 233 Nouvelle rencontre avec Robinson, c’est la 4ème. Nous n’avons pas beaucoup d’explications sur sa présence dans le même cercle d’activités que Bardamu. Il y a une part d’invraisemblance quant à cette rencontre. Mais Céline peut se le permettre car la vie de Bardamu est décrite et vécue dans l’intrigue. Au contraire, Robinson apporte une dimension symbolique, il est l’image

de ces journées où l'air vif et tonique pour avoir voyagé sur la neige s'attendrit par bouffées, en tiédeurs et senteurs printanières, où le Tizguit déborde en ruisselets capricants. Au-dessus du haut-de-forme immobile, une buse décrivait des cercles concentriques. Alors le Secrétaire Général frappa le sol de son escarpin verni : «Ici, dit-il, sera le village»... et le village fut. A l'appellation 27 de Tourtit, on préféra celle plus sonore, d'Ifrane, "les grottes" par référence, sans

méprisable avare ? démasquer l'hypocrisie, sans montrer, comme Orgon, dans Le Tartuffe, un abominable hypocrite, épousant sa fille et convoitant sa femme ? un homme à bonnes fortunes, sans le faire parcourir un cercle entier defemmes galantes ? un joueur effréné, sans l'envelopperdefripons, s'il nel'est pasdéjà lui-même ? Tous ces gens-là sont loin d'être vertueux ; l'auteur ne les donne pas pour tels : il n'est le patron

beau virollet des aesles d'un moulin à vent de Myrebalays . Des chevaux factices de Gargantua. CHAPITRE XII Puis, affin que toute sa vie feust bon chevaulcheur, l'on luy feiste un beau grand cheval de boys, lequel il faisoit penader, saulter, voltiger, ruer et dancer tout ensemble, aller le pas, le trot, l'entrepas, le gualot, les ambles, le hobin, le traquenard, le camelin et l'onagrier , et luy faisoit changer de poil (comme font les moines de courtibaux selon les festes), de bailbrun, d'alezan