Vos Beaux Yeux Corneille

conduite de l’Homme en société. Ce goût semble s’être confirmé à partir de 1640. De 1668 à 1682 paraissent les livres de chevalier de Méré, théoricien de l’aisance mondaine, de l’ « honnêteté ». Le Duc François de la Rochefoucauld, contemporain de Corneille, est encore un personnage de l’époque de Louis XIII, romanesque, amoureux de l’intrigue, téméraire, il ne renonce à l’action qu’après une trentaine d’années d’agitation aussi brouillonnes que vaines. A partir de 1658 commence dans le cercle jansénisant

La question est seulement de savoir s'il a une manière à lui; le reste se trouve de soi-même.” (1842, post-mortem) XIX°s : Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830): « Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l’homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d’être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier

MARAT ASSASSINE DE DAVID J.L, TYPE D’ŒUVRE : Huile sur toile DIMENSIONS : 165 sur 128 centimètres Date de réalisation : Commencé le 19 juillet 1793 et livrée le 14 novembre 1797 Lieu de conservation actuel : Musés royaux des beaux- arts de Belgique à Bruxelles. SOMMAIRE A-PRESENTATION DE L’AUTEUR ET CIRCONSTANCES DANS LESQUELLES L’ŒUVRE LUI A ETE COMMANDEE B- BIOGRAPHIE DE MARAT – SON ASSASSINAT C- ETUDE APPROFONDIE DE L’ŒUVRE CONCLUSION : Ce que l’histoire a retenu de

Dieu, dans ton amour, selon ta grande miséricorde, efface mon péché. Lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense. Oui, je connais mon péché, ma faute est toujours devant moi. Contre toi, et toi seul, j’ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l’ai fait. Crée en moi un coeur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit. Ne me chasse pas loin de ta face, ne me reprends pas ton esprit saint. Rends-moi la joie d’être sauvé; que l’esprit généreux me soutienne. Seigneur

Un an plus tard, sa mère, Caroline Archimbaut-Dufays (1793-1871) se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. Le futur poète ne pardonnera jamais à sa mère ce remariage, et l'officier Aupick, devenu plus tard ambassadeur, incarne à ses yeux tout ce qui fait obstacle à ce qu'il aime : sa mère, la poésie, le rêve, et la vie sans contingences. « S'il va haïr le général Aupick, c'est sans doute que celui-ci s'opposera à sa vocation. C'est surtout parce que son beau-père lui prenait une

décide de proposer son savoir-faire à des agences parisiennes. Il est repéré par le magasin Printemps et commence sa carrière en redécorant le magasin, où il peint alors une immense fresque représentants une bande de « minets », de garçons chics des beaux quartiers, comme celui de Neuilly. Cette fresque est admirée dans le magasin comme une véritable exposition, et on commence à parler de cet artiste jusqu’alors inconnu appelé Jean-Paul Goude. A partir de là, ses commandes d’illustrations explosent

...................................................................... 9 Le fumeur. Marc-Antoine Girard de Saint-Amant ........................................................................................................... 9 Chanson. Pierre Corneille .............................................................................................................................................. 9 A des cimetières, François Tristan l’Hermite .......................................................

scènes VI (intégrale) ,1669 Texte 4 : La scène de la table, Tartuffe, Acte IV, scènes (v275 à v344) ,1669 Texte 5 : La scène Final, Acte V scènes VII (intégrale) ,1669 Textes complémentaires : Groupement 1 : Texte A : L’illusion comique, Pierre Corneille, 1635. Texte B : Six personnages en quête d’auteur, Luigi Pirandello, 1921. Texte C : L’Échange, Paul Claudel ,1951. Groupement 2 : Polémique autours de la Tartuffe Texte A : Le Roi glorieux au monde, ou Louis XIV, le plus glorieux de tous les

que très vite l’espèce de prince qui était en Roulin avait aperçu »[8]. Tous deux savent à la manière d’un Watteau qu’ils apparaissent dans un monde qui ne les remboursera pas. Figure de double qu’oppose cependant l’énigme des beaux-arts. Baillant aux corneilles devant les tableaux de Vincent, « tolérant et dubitatif : car il n’entend rien aux arts »[9], Roulin « ne devait pas trouver cela bien joli en somme, le disait ou plus sûrement le taisait, parce qu’il avait les idées larges»[10]. Relation

qui mêlent tous les moyens propres à la rhétorique. Ex 1 : «À en croire la tradition dramatique française, de Corneille à Koltès, la réponse est oui. Oui sur tous les tons. Oui à tous les âges. Oui encore aujourd’hui souvent, où, pour bon nombre de spectateurs et de critiques, hors du verbe point de salut : le théâtre c’est le dialogue, avec ses stratégies discursives, avec ses beaux mots, bons mots, savourés délicieusement. » Ainsi, la parole apparaît comme l’ expression d’un affrontement.