Votre Heros Préféré

sa vie professionnelle s’en préoccupe notamment dans son article « Misère de la Kabylie » qui lui vaudra de nombreuses censures. II- Analyse du Roman. A) Les trais de caractères du personnage. Meursault, n’est pas ce qu’on peut appelé le « héros idéal », il n’est pas mauvais mais il n’est pas non plus un modèle de sensibilité. Tout au long de l’histoire, on a l’impression qu’il est « spectateur » de sa vie, il a la faculté de prendre beaucoup de recule par rapport aux évènements. Néanmoins

se retrouve seul à présent, devant un livre hostile ». L’enfant se retrouve alors écrasé par la stupeur de cet effort qui est l’indéchiffrable grouillement de mots. Pour lui tous ses héros se retrouvent brutalement réduits à l’état de grosses lettres d’imprimerie. Le livre devient alors un simple objet ou ses héros et lui sont étouffés dans l’épaisseur du livre. « Drôle de métamorphose ! » que nous explique Daniel Pennac. En plus de tous ces difficultés vient si ajouter la compréhension de ces lettres

plus fameux est sans doute Candide. Au cours du livre, le héros a rencontré une série d’épreuves qui l’ont poussé à réévaluer la philosophie de son maître Pangloss. Arrivé au bout de son parcours et entouré des principaux personnages du livre, il doit alors donner un sens à sa quête. Comment le conte philosophique confronte-t-il l’homme au bonheur ou au malheur? I- Le passage constitue la fin de la quête du bonheur menée par le héros a- Cette fin est un bilan faisant référence à certains épisodes

Nous pouvons nous demander quel est le portrait moral de Julien Sorel ? Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps la place de la religion dans la vie de Julien Sorel, dans un deuxième temps nous verrons que Julien est un héros romantique ; et pour finir nous verrons que Julien Sorel est le portrait des mœurs de la société de l’époque. I) Place de la religion dans la vie de J. S. : a) un brillant élève : Julien étudie la théologie et grâce à sa surprenante mémoire, il

poursuis son chemin a travers plusieurs tableaux pour enfin se dévoiler en tant que personnage fictif. « Il était de taille médiocre, effacé […] » Alors que toute description s’amorce généralement par le nom du personnage concerné, Pierre Michon à préféré répéter plus de vingt fois en quatre pages le pronom « il ». Ce syntagme renvoie sémantiquement au conséquent, ici un nom, Corentin : c’est une cataphore. Si il n’y a pas de nom des le début, le lecteur ne sait pas de qui il s’agit mais s’habitue

les paroles ne sont pas rapportées ni déformées, et qu’elles peuvent refléter le milieu social auquel le personnage appartient. Par exemple : « Je suis désolé, désolé… Excusez-moi… » extrait de « Clair de femme », qui est un langage courant pour des héros modernes ; ou par exemple : « Vous devinez fort bien, et il y a même quelque chose d’obligeant […] » extrait de « la princesse de Clèves » ; ce langage soutenu montre l’appartenance à une société aristocratique, dans un autre temps. De nombreux

Le héros tragique face au pouvoir La tragédie, depuis son origine, pose le problème du rapport de l’individu à la liberté et au pouvoir. Le héros tragique est souvent confronté aux décisions arbitraires d’un roi, ou doit choisir entre son honneur et ses sentiments personnels. Objectifs Découvrir les conventions du genre tragique Analyser le registre pathétique Histoire des arts : P. CORNEILLE, Polyeucte, mise en scène de J. Lavelli, 1987 192 Comment identifier un héros de tragédie

de mieux mettre en évidence pour le lecteur la multitude des caractères humains.   Le XIXème siècle fait du roman le genre littéraire dominant. Le public y retrouve à la fois les héros qui le font rêver et les êtres familiers qui l’entourent :   * Le romantique tourmenté. Chateaubriand crée le personnage du héros romantique : amoureux, épris de justice, marqué par une profonde mélancolie, il fait partager au lecteur son émotion devant les beautés de la nature, mais aussi les inquiétudes d’un

origines Pour trouver l’origine de la guerre de Troie, il faut aller chercher, comme souvent avec les Grecs, dans l’histoire des relations entre les dieux et les hommes. Tout commence le jour des noces d'une déesse et d'un mortel, les futurs parents du héros Achille. La déesse de la discorde, Eris, mécontente de ne pas avoir été invité, se venge en jetant parmi les invités une pomme d'or portant l'inscription 'À la plus belle'. Il faut trancher entre les 3 déesses présentes, Aphrodite Athéna et Héra.

répliques : hyperbole : il est amoureux « plus que jamais de la belle Marianne » L. b) l’expression du trouble amoureux : tirade de Cœlio « depuis un mois j’erre autour de cette maison la nuit et le jour » L. : le verbe « errer » souligne le désarroi du héros, tout comme les expressions du temps renforcent l’idée d’un amour qui l’obsède, comme il l’affirmait quelques lignes plus haut « « L’amour (…) trouble ma vie entière » L. . c) des efforts vains : les anaphores « Jamais elle n’a paru à sa fenêtre ;