Voyage Autour Du Monde Bougainville Les Sauvages

constitué au fil des siècles et particulièrement pendant l’âge moderne un fond culturel commun, une sorte de patrimoine commun aux européens dont l’influence perdure jusqu’à aujourd’hui. On va essayer de voir comment les européens ont essayé d’ordonner le monde qui les entourait par la pensée. Pour cela ils ont élaboré des théories philosophiques, ils se sont interrogés sur la façon de gouverner sur l’art de vivre ensemble ou l’art tout court. On va voir comment les idées se répandent, comment elles s’engendrent

de cordée A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) W. GOETHE, Faust J. de LERY,Histoire d’un voyage en la terre du Brésil P. PONSON DU TERRAIL, Rocambole M. SHELLEY : Frankenstein ou le Prométhée moderne D. SIMMONS, Ilium R.L. STEVENSON, L’étrange Cas du docteur Jekyll et Mr Hyde E. ZOLA, Au Bonheur des Dames Essais M. CALLON, P. LASCOUMES, Y. BARTHE, Agir dans un monde incertain. Essai sur la démocratie technique. Seuil, collection « la couleur des idées », 2001 J. FAVIER

n’accepte pas les autres ! Le problème est identique pour le salut éternel. On n’est sauvé que si l’on accorde foi aux autres dogmes de la vraie religion (et notamment au dogme de la révélation). S’il n’y a qu’une seule vraie religion, l’Asie, le nouveau monde et l’Afrique (mal connue) sont condamnés (de plus, en Europe, le nord est protestant, et l’est et orthodoxe). Seuls la France, l’Espagne et l’Italie peuvent bénéficier du salut éternel. La religion catholique romaine est donc une religion barbare

la communauté scientifique à un temps T. → Géographie : géo= gê/gaia = la terre. Graphein = écrire ou dessiner. décrire ou dessiner la terre Géographie régionale : connaissance d'une région du monde dans ses composantes physiques et humaines. Etudie et analyse une région déterminée du monde sous ses aspects physique ( le relief, le climat, les sols, la végétation, l'hydrographie, les ressources naturelles) , humains ( la population, la dynamique géolopolitique) et économiques ( perspective

« Je deviens vieux en apprenant toujours »  (p. 57), Rousseau s’interroge sur son rapport à  la  connaissance et à l’expérience. Après avoir toute sa vie désiré apprendre (p. 59), il a désormais  une autre conception de la connaissance : ayant renoncé au monde,  il ne souhaite plus que se  consacrer à son examen intérieur. Afin de ne pas se laisser balloter par l’opinion commune, il veut  établir, une fois pour toutes, des principes qui lui seront propres et qui régiront son existence.  Malgré  les doutes qui 

députés du Tiers État se retirent et se réunissent dans la salle du Jeu de Paume, où ils prêtent serment, Le Serment du Jeu Paume. * La Prise de la Bastille : Le 14 juillet 1789, les Parisiens prennent peur parce que le roi a réuni des troupes autour de Paris. Ils prennent la Bastille. * La Grande Peur : Fin juillet-début août 1789, les paysans se soulèvent dans les campagnes contre les Nobles : des châteaux sont pillés, brûlés... Pris de panique, les députés de la Noblesse et du Clergé abolissent

exil, à une époque où il n’y avait pas de de retraites ni de Sécurité sociale [...] Toutes les indignations que, dans ma vie et dans tous les coins du monde, je n’ai cessé de ressentir viennent de mon adolescence à Nice.» Grandissant en parlant le français et l’anglais, il passa les cinq ou six années de son enfance consciente à découvrir le monde à travers des films, grâce au projecteur ‘’Pathé Baby’’ de sa grand-mère. Avant même d’être un lecteur, ce graphomane en herbe s’empara d’un crayon dès

suite aux travaux d’un Watson, d’un Nollet ou d’un Franklin, sont reproduites devant un public enthousiaste. L’homme des Lumières est curieux de toute nouveauté, persuadé que son émancipation et la maîtrise de son destin passent par la connaissance du monde. Aussi le savoir doit-il être mis à la disposition de tous. C’est le grand projet de l’Encyclopédie. Cet ouvrage produira sûrement avec le temps une révolution dans les esprits, et j’espère que les tyrans, les oppresseurs, les fanatiques et les

 245) ;  « Son corps semblait s’être façonné selon la cathédrale » (p. 247). Les cloches qu’il fait sonner  l’ont rendu sourd, mais il les aime comme ses seules amies. « Bossu, borgne, boiteux » (p. 514), sa difformité ne lui a attiré que de la haine autour de lui et cela  l’a rendu méchant. L'hostilité de Quasimodo n’est donc pas innée (p. 249). À force d’essuyer les  moqueries des gens de Paris, il a fini par nourrir envers le genre humain une méfiance profonde.  Sa méchanceté est donc la conséquence

littéraires (poésie, théâtre, roman, littérature d’idées...). Ce texte est accompagné de toutes les références et indications indispensables. Le commentaire est toujours organisé, composé : il faut donc dégager du texte deux ou trois points essentiels autour desquels s’ordonneront les remarques. Il convient d’étudier simultanément le fond et la forme. Les remarques relatives au style ou à la versification soulignent toujours l’effet produit et sont indissociables de l’idée ou du sentiment exposé.