Voyage Spirituel

Les relations avec la pouvoir La religion relève du domaine spirituel, et ne devrait pas, si l'on suit les préceptes du Christ, se mêler du pouvoir temporel, c'est-à-dire du pouvoir politique ou économique. Pourtant l'Église catholique, et tout particulièrement les jésuites, a des relations étroites avec les princes et la richesse. Au Paraguay, les pères jésuites passent pour avoir créé un véritable royaume, qui entre en guerre avec celui d'Espagne. Ils ont des plantations prospères où ils exploitent

Psaume 37:31 , Actes 20:32 Verset à mémoriser : Esdras 7:10 , Romains 10:8 Introduction : Qu’entendons-nous lorsque nous parlons de l’emprise de la parole de Dieu ? Cela signifie remplir ou saturer nos vies de la parole de Dieu. Aucun exercice spirituel n’est plus important que l’emprise de la parole de Dieu. Une personne saturée de la parole de Dieu, mènera en définitive une vie chrétienne victorieuse dans cet environnement hostile et au milieu de cette génération perverse qui est la nôtre.

le maillet pour attribut de son pouvoir temporel et l ‘épée flamboyante pour attribut de son pouvoir spirituel. En cas de partage des votes, sa voix est prépondérante . C’est elle qui ouvre et ferme les travaux. Elle a en charge toute une partie administrative inhérente à toute association. Elle a une fonction centrale qui est de guider , d ‘impulser, de contribuer à l ‘éveil spirituel de la loge. Elle incarne la sagesse et l’équité. Pour ma part, je garderai toujours un souvenir particulier

comporte deux glaives, le spirituel et le temporel... » Le pape Boniface VIII fait ici référence à la doctrine des deux glaives qui est une ancienne thèse de l'Église catholique romaine à l'époque médiévale selon laquelle le pouvoir spirituel est déclaré supérieur au pouvoir temporel. « le pouvoir sur le troupeau comporte deux glaives, le spirituel et le temporel ». Boniface fait une distinction, il y a le glaive temporel qui est exercé par le roi tandis que le glaive spirituel est exercé par l’Église

famille royale d’être excommunié. B. Le sacre pose la légitimité du roi Le sacre offre au roi de France la légitimité de son pouvoir. Le roi est en effet l’élue de dieu par le biais de «  la divine providence » l.6-7. Le roi est investi d’un pouvoir spirituel qui va venir compléter ses attributions politique et juridique. Le roi ne peut donc obtenir son pouvoir uniquement si il est l’élue de dieu, du pape et enfin du peuple dont il sera le représentant de l’autorité. « le pieux roi pépin par l’autorité

succède à Célestin V qui a abdiqué, et est Pape de 1295 jusqu’à sa mort. Son écrit présenté ici concerne les rapports réciproques du Royaume de France et de la Papauté au tout début du 14ème siècle. Fervent partisan de l’élévation de la puissance spirituelle au dessus de la puissance temporelle, il entre notamment en conflit sur ce sujet avec le Roi Philippe le Bel. En effet, le Pape Boniface VIII soutient tout d’abord au contraire du Roi de France que certains impôts devaient revenir plutôt à Rome

chrétienne Catholique. L’influence des jésuites « bon chrétien » en latin, sur le pouvoir politique et sur Louis XIV est soulignée par les actions du père de La Chaise, confesseur de Louis XIV. La spiritualité de la Compagnie repose sur les Exercices spirituels composés par Ignace de Loyola et se caractérise par une obéissance stricte, au pape en particulier, et un grand zèle apostolique. La devise de la Compagnie : Ad majorem Dei gloriam (« Pour la plus grande gloire de Dieu »), explique la diversité

clergé régulier et le clergé séculier : B – … et qui produit des règles et impose des rites… Les règles morales Les interdits et les devoirs Les rites et rituels C – … et qui est intégrée à la société seigneuriale La distinction entre pouvoir spirituel et pouvoir temporel Des rivalités de pouvoir entre l’Eglise et les pouvoirs temporels… …mais aussi des intérêts communs : assurer et légitimer réciproquement les pouvoirs des seigneurs et de l’Eglise II – … qui étend son influence et son emprise

souvent développés en restant encadrés par deux pouvoirs distincts (mais non obligatoirement indépendants), se voulant tous deux au service des hommes et des peuples, à savoir le pouvoir temporel exercé par les rois et les chefs d'État et le pouvoir spirituel exercé par le pape (les protestantismes rompirent toutefois, dès le XVIe siècle, avec ce dernier pouvoir). Assez curieusement, cet encadrement a pu être quelquefois théorisé et justifié, par la « doctrine des deux glaives » (expression qui relève

monde communes. Elles peuvent être toute les deux, dans leur champ, des antidotes à la croissance de l'individualisme. Pourtant si elles ont des objectifs communs, ces deux sphères ne relèvent pas du même pouvoir ; la religion appartient au domaine spirituel, elle régit les rapports entre les hommes et Dieu, tandis que la politique relève du pouvoir temporel, de l'organisation de la société terrestre. La séparation progressive des sphères politiques et religieuses a abouti à une nette séparation dans