Voyelle thématique

personnifiée, une abstraction. Elle est proche de la personnification. Strophes 6 et 7 : hypotyposes Vers 1 : « L'étang mystérieux, suaire aux blanches moires » : la diérèse (=Prononciation en deux syllabes distinctes de deux voyelles successives d'un même mot) sur le mot « mystérieux » (mys/té/ri/eux) met l’accent sur le caractère étrange et énigmatique du lieu et de la nature. Le champ lexical de la nature « étang » (v.1), « bois » (v.2), « arbres », « branches » (v.3), « forêt »

littérature française qui va suivre ( fin du siècle romans, poésies). ► Rimbaud , Voyelles . “ A noir, E blanc, I rouge ...” R. associe une couleur à chaque voyelle en unissant, ici, les deux domaines principaux: le son et lʼ image . Cette figure littéraire sʼappèlle

qu’Annette de La Motte donne à son essai consacré à l’œuvre de Beckett, dans lequel elle montre que le silence est tout ce vers quoi tend l’œuvre romanesque de cet auteur. Il s’agit là d’un paradigme assez inattendu, surtout si on confronte cette thématique du silence à l’œuvre dramatique. Le théâtre n’est-il pas, bien au contraire, la possibilité de faire entendre une voix sur le silence et donc de mettre fin au silence le temps d’une représentation ? Si Pierre Larthomas souligne dans Le Langage dramatique

quatre syllabes le plus souvent). POESIE EPIQUE Epopée : L'épopée (du grec epopoïa, de epos, paroles d'un chant, vers, et poïein, faire, fabriquer) est une forme de poésie : le terme désigne un long poème narratif, en vers, marqué par une thématique guerrière. On parle plus largement de tonalité épique pour des œuvres non poétiques, ou des poèmes brefs, qui présentent cependant un contenu proche de l'épopée. POESIE D'IDEE Epigramme : À l'origine, une épigramme est une inscription sur

(1971-1994) (TLF) • Dictionnaire de l’Académie française 8e éd. : 1932-1935, 9e éd. : 1994 → (DAF 8, DAF 9) Compilation : Maurice DIDELOT Novembre 2006 ■ ● ALMANACH ALMANACH : (CH se prononce K et ne se fait sentir qu’en liaison avec une voyelle : un almanak ancien) Calendrier qui contient tous les jours de l’année, les fêtes, les lunaisons, les éclipses, les signes dans lesquels le soleil entre, et quelquefois des pronostics du beau et du mauvais temps. Il se dit particulièrement de certains

poète. V.5 : Pauvre automne  Apostrophe (comme v.1) : Le poète éprouve de la compassion, du tourment. Ne parle-t-il pas aussi de lui-même ?  V.6 – 7 : Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs  Une reprise de la thématique dominante et obsédante de la mort par l’impératif « meurs ».  « Meurs » suivi de « blancheur » = « neige » → linceul, mais aussi parure, + « richesse » : dimension fastueuse de l’automne.  Est-ce la promesse d’une renaissance possible ? Par

de la violence par sa longueur, placé avant l’hémistiche  CC de lieu : Le poète est encerclé dans le vers entre le sujet et le verbe (place inhabituelle pour un CC)  Allitérations « r » et « s » + Assonances « u » « ou »  HIATUS (rencontre de 2 voyelles interdites en poésie) « rue assourdissante » « moi hurlait » VERS 2 : la description de la tenue de la passante  Passante décrite par sa silhouette « Longue, mince » et par sa tenue « en grand deuil » -> suppose du noir, interprété aussi par

l’âme pour l’âme, résumant tout, parfums, sons et couleurs » nous explique Rimbaud dans sa lettre à Paul Demeny. Victor Hugo, lui, utilise l’essence même du mot pour créer sa langue , et est tout aussi capable de faire passer des messages, dans « Voyelles » et dans son poème «La Terre est bleue comme une orange ». Baudelaire use de cette langue dans une « Une Charogne » pour transformer la « charogne infâme » en une œuvre sur «toile » et même en « un rêve ». Cette alchimie des mots donne naissance

de la langue latine quelques phonèmes spécifiques - c- [k] - e- [é] - g- [g] - i / j : En latin i est semi-voyelle / semi-consonne Correspond à deux sons : i = [i] et [j] => dictionnaires gardent la double graphie : i pour le i voyelle et j pour le i consonne - graphème –qu- [kw] - s en position intervocalique reste sourd [s] - u / v u également semi-voyelle / semi-consonne u = [u (ou)] et [w] - y – [y] - pas de sons nasalisés en latin une langue à déclinaison -

l’interpréter. De même, on utilise des rimes. La thématique : Elle renvoie toujours à des valeurs universelles de la vie c.à.d. a des sentiments communs à la majorité des êtres humains. L’enjeu : Faire passer un message sur les valeurs universelles, dévoiler ses sentiments, s’exprimer. Jouer sur les mots, apporté un coté humoristique et artistique. 1. Les sons L’assonance : Répétition dans une suite de mots rapprocher de son à base de voyelle. L’allitération : Répétition dans une suite de