Vraisemblance Phèdre Racine

des pièces de théâtres, les pièces classiques ayant des décors et des costumes pauvres, tandis que les pièces baroques ont des décors et des costumes très riches  + III- L'idéal classique Les grands auteurs de l'époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s'inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne

transversales et/ou thématiques: -La représentation de la mort du héros et le respect des règles : règle des 3Unités, bienséance et vraisemblance. -Les révélations liées à la mort du héros. -La mise en scène des aveux. Séquence 3: Groupement de textes  Texte 1 : Dom Juan, Molière, V, 5et 6 : « Ah ! Monsieur, c’est un spectre ». Texte 2 : Phèdre, J. Racine : «  Le discours de Théramène », V, 6, v.1498-1570. Texte 3 : Ruy Blas, V. Hugo, V, 4, v .2213-2252 : « Je m’appelle Ruy Blas »

spécifiquement (sauf Les Bacchantes d’Euripide) au culte de Dionysos. Ils reprennent pour la plupart : les grandes légendes : la Guerre de Troie, les Atrides, Œdipe, etc. les grands mythes : le retour du vengeur, la malédiciton pesant sur une lignée (Phèdre). Les grands auteurs tragiques sont à connaître car les auteurs français s’en sont largement inspirés : ESCHYLE (525-456 av JC) : le vrai créateur de la tragédie (Les Perses, L’Orestie, Prométhée enchainé, etc.). Il montre le face à face de l’homme

formelle puisque la tragédie comporte cinq actes , écrits en vers alexandrins ; le respect des bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phedre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte. Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de

Le roman réaliste est une catégorisation sujette à caution, et largement rediscutée de nos jours. Mais on peut retenir un objectif esthétique clair : il s'agit de produire un « effet de réel » en peignant avec un souci constant du détail et de la vraisemblance les décors, les personnages et les faits. Les expressions de Stendhal (roman = miroir) ou de Balzac (romancier = historien du présent) montrent dans la première moitié du siècle une voie qu'approfondiront Gustave Flaubert et Maupassant (préface

Bérénice – Jean Racine Biographie Né le 22 décembre 1639 en Picardie, à La Ferté-Milon, Jean Racine est un auteur, dramaturge et poète français.  Issu d'une famille relativement modeste, orphelin à l'âge de 3 ans, il est pris en charge par les Solitaires de Port-Royal, jansénistes lui assurant une éducation religieuse et littéraire. Jean Racine s'oriente rapidement vers le théâtre et écrit sa première pièce en 1660. Il se rapproche de plus en plus des milieux mondains et littéraires et noue de

esthétique oratoire de l’art dramatique. Conserve monologue initial du « personnage protatique ». Action rare et lente. La tragédie demeure affaire de rhétorique. Les mots sont le moyen de montrer l’œuvre du destin. Hippolyte (1573) imité de la Phèdre de Sénèque ; un des premiers exemples français de tragédie à sujet « mythologique ». Il n’y a qu’une illusion d’action. p 403 Les Juives (1583). III. Le XVIIe siècle. a. Le Siècle de Louis XIII 1. les théoriciens

Corneille et Racine appartient plutôt à la cour ; - dans la tragédie classique, rien ne doit choquer le spectateur : on y supprime toute violence physique. 2 - Les NORMES de la tragédie. La tragédie classique, genre strictement défini, se caractérise du triple point de vue des règles, des thèmes et de l'action dramatique. Les règles. - Les héros tragiques sont des personnages nobles : roi ou descendant des dieux (le bourgeois et le paysan appartiennent au genre de la comédie). Ainsi, Phèdre est la

Fondation de l’Académie française par Richelieu 1637 Corneille, Le Cid 1662 Molière, L’École des femmes 1664 Molière, Le Tartuffe ou l’Imposteur 1665 Molière, Dom Juan ou le Festin de pierre 1666 Molière, Le Misanthrope 1667 Racine, Andromaque 1668-1694 La Fontaine, Fables 1677 Racine, Phèdre 1678 Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves  1688 La Bruyère, Les Caractères Les caractéristiques du classicisme Le perfectionnement de la langue Les auteurs classiques cherchent à atteindre une langue pure et

scénique lui-même. la règle de bienséance: Conformément au respect de la vraisemblance, de la morale, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur. De ce fait violence et intimité physique sont exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportées aux spectateurs sous forme de récits. Quelques exceptions comme le suicide de Phèdre, ou la folie d'Oreste dans Andromaque, chez Racine ou celle de Dom Juan chez Molière sont restées célèbres. La catharsis: