Vérité Sophistes

donner une image exacte. 3 parties dans l'Apologie : -Socrate dis la vérité avec une feinte modestie, répond aux accusations. « On l'accuse depuis des années de chercher à pénétrer les secrets de la nature, de faire d'une bonne cause une mauvaise chose, et d'enseigner aux autres à le faire aussi. [,,,] Il proteste qu'il n'entend rien aux sciences de na nature, qu'il n'a jamais eu de disciples, à la manière des sophistes, qui font payer leurs leçons fort cher, tandis qu'il n'a jamais fait payer

au péril de sa vieNote 14,17,18. `Athènes est au ve siècle le centre de la vie culturelle et est un lieu de passage obligé pour les personnalités du temps : l'historien Hérodote, les physiciens Parménide et Anaxagore, le médecin Hippocrate, les sophistes Protagoras, Gorgias, Hippias, Prodicos15… On ignore quelle a été la formation de Socrate. Anaxagore et Archélaos de Milet lui ont été donnés comme maîtres par une tradition tardiveNote 15, mais ce n'est peut-être qu'une reprise du passage « autobiographique »

Galilée, le monde est écrit en langage mathématique. Cette idée on la doit à Platon. L’épistémologie de Walras est Platonicienne. Ce naturalisme que l’on trouve chez Walras, Smith etc., cela va impliquer des notions de rationalité, d’objectivité, de vérité. Remarque : cette idée sera valable également en philosophie mais également dans d’autres sciences humaines comme la psychologie. Etre naturalistes, c’est également faire preuve d’essentialisme, c’est l’idée qu’il existerait une essence de l’homme

tekhnê), qui se traduit par « technique, art oratoire », et désigne au sens propre « l'art de bien parler », d'après le nom rhêtôr, « orateur ». Elle est née au ve siècle av. J.-C. en Sicile, selon la légende, puis fut introduite à Athènes par le sophiste Gorgias, où elle se développa dans les activités judiciaires et politiques. La rhétorique est à la fois la science (au sens d'étude structurée) et l'art (au sens de pratique reposant sur un savoir éprouvé, une technique) qui se rapporte à l'action

les rhétoriciens et les sophistes « dans le même panier » sans aller dans le fin fond des choses car on peu remarquer qu’il y a une légère différence entre ces deux modes vies. Pour commencer, il faut savoir que les sophistes ressemblent beaucoup aux rhétoriciens car ils enseignent ce qu’ils savent contre de l’argent tandis que les philosophes ne font que divulguer leurs savoirs pour le bien être de la société dans laquelle ils vivent. Contrairement aux autres sophistes qui font du va et vient

justice qu'une rivière borne ! Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà ” dit encore Pascal2. B. Le relativisme et le conventionnalisme Cette perspective aboutit à la thèse du relativisme : il n'y a pas de justice en soi, pas de justice absolue. Aucune règle de justice n'est universelle. La justice relève d'une convention entre les hommes, liée à des circonstances données ; en dehors de cette convention, elle n'est plus valable. Cette thèse est celle des sophistes, et en particulier de Protagoras3

trouvent les sophistes. Nous connaissons surtout certains d’entre eux, tels Gorgias ou Protagoras, parce que Platon les a transformés en personnages de ses dialogues. Pour être heureux, affirment-ils, il faut pouvoir satisfaire tous ses désirs. Ce qui implique d’avoir un maximuml de richesse et de pouvoir. Comme, pour être vraiment libre, il faut faut n’avoir personne qui vous commande, il faut être à la tête de la société. Mais comment parvenir au pouvoir ? Selon la doctrine sophiste, telle que

genre oratoire mais en histoire avec Thucydide. Gorgias était aussi un sophiste enseignant que tout est apparence. Ici, nous rencontrons que la troisième source de la rhétorique, la philosophie ou l'antiphilosophie. La sophistique, qui vient de Protagoras d'Abdère, s'est imposée à Athènes vers 450. Après Platon et Aristote, sophiste est devenu péjoratif. Le sophiste est le maître dévoyé qui enseigne qu'il n'y a pas de vérité en soi, qu'il n'y a que des opinions diverses variant avec les individus

parler et de bien s’exprimer. Cf. Quintilien, Cicéron ou Aristote. Évoquez quelques points forts de la rhétorique. => Pour persuader. • L’orateur doit s’adapter à son auditoire, doit donner une bonne image de lui. Cf. les sophistes par exemple. (cf. Le Sophiste de Platon). B- Art du discours • Les écrivains savent manier les vers, les phrases, les sons… de manière à toucher leur lecteur. • Pouvoir argumentatif et persuasif de certains textes. Ex : Les Châtiments > Hugo

ayant pour thème la rhétorique (art de bien parler et instrument de persuasion et de pouvoir). Opposition entre les sophistes (professeurs itinérants allant de cité en cité pour enseigner contre rétribution l’art d’argumenter dans les affaires publiques et privées ; peuvent défendre publiquement la thèse et l’antithèse) et les philosophes (amoureux de la sagesse, cherchent la vérité). Le personnage de Calliclès y défend un « hédonisme débridé ». (Hédonisme : doctrine faisant du plaisir le souverain