Vérités Préjudiciables

« craindre » v28 + chp lex « disgrâce, scandale, peur » C/ portrait des faux dévots 1. « les gens comme nous » - Tartuffe étend ses révélations et passe de l’individu « de ma part » v28 aux « gens comme nous » v35, « nous » x3 - emploi du pst de vérité générale qui confère aux propos du personnage une dimension - un portait en opposition « mais » v35 à celui des « galants de cour » v29 « ces galants de cour » le démonstratif a une valeur péjorative qui semble déjà les dénigrer (pour les latinistes

est le romancier, il crée un monde à sa guise, mais il le fait sur le bord du monde qui existe. Sa liberté en est très réduite" LAURENT, "On ne peux plus arriver à la vérité que dans un roman" VIZINCZEY, "Dès qu'une vérité dépasse 5 lignes, c'est du roman" RENARD, "L'historien et le romancier font entre eux un échange de vérités, de fictions et de couleurs, l'un pour vivifier ce qui n'est plus, l'autre pour faire croire ce qui n'est pas" RIVAROL, "On croit dire le vrai de sa vie, mais dès que

(toujours identique en aabb) ainsi que l’absence de sonorité apparente (avec une lecture attentive, on remarque une sonorité en « ai ») contribuent à la régularité du poème et ainsi au thème dont il traite. Le texte est intemporel et traite ainsi d’une vérité générale qui lui confère un sens plus profond : celui du regret, de l’amour et du bonheur. Ce poème transmet aussi de manière très réaliste la souffrance grâce à l’éloge qu’il fait de sa fille. . Sonnets, de Louise Labé reflète clairement le genre

compassion chez Bonnefoy est une recherche de la présence mais n'est pas narcissique, elle exprime le partage de la pleine conscience de tous, du monde, du souvenir de la finitude qui entache mais aussi leste notre quotidien et en fait la valeur de vérité. Oublier la mort, c'est une faute de l'art contre la vie. Cette compassion, elle est charité, et compréhension de l'autre, c'est le partage de cette présence que le langage ne permet pas. Une expérience du Divin. Ici, Prométhée est le vecteur d'une

temple, pilier, forêt de symboles » ; de plus, « regards familiers » insiste sur cette divinité vivante, personnifiée par ses « paroles », ses « regards » IA un univers marqué par la permanence, car utilisation du présent de l’indicatif à valeur de vérité générale. De plus, symbole de la forêt ancrée dans le temps. IPP La place de l’homme se définit par rapport à la Nature IA « y passe » montre le passage sans interruption : la forêt de symboles n’arrête pas l’homme, qui ne comprend pas ; en plus

Mallarmé le suggérer, c'est le rêve ! La vérité se dit dans un dévoilement qui se voile: présenter une idée ou une action à faire en sorte que seule une reprise de l'auditeur ou du lecteur pourra la faire apparaître explicitement: qu'il se reconnaisse en la reconnaissant comme sienne. Oui-oui: Mais c'est du grand art! Hibou: La maïeutique sied à la pensée: car la liberté d'autrui ne se laisse jamais oublier et l'essence de la pensée c'est la liberté. Vérité et liberté, naissance commune.

les tenir... Il suffit de « bien parler », de faire passer un message avec facilité, des idées sans forcément le penser pour s'accaparer les faveurs du plus grand nombre. La manipulation (le mensonge est une forme de manipulation car il déforme la vérité), qui est l'utilisation d'un langage approprié dans un contexte prédéfini (ex : Discours anti-trader du NPA pendant la crise financière de 2009) est utilisé a foison dans la politique, Hitler n'était pas un bon « führer » par nature et rien ne prédestiné

consciente du mal qu’elle fait, est plus efficace dans sa tromperie qu’une personne ignorante. Dans le même ordre d’idée, nous pourrions aussi défendre l’idée qu’une personne qui trompe doit connaître le sujet de son méfait, or, il est apte à dire la vérité. Toutefois, il est aussi possible de défendre une idée opposée, puisqu’un mal reste un mal, un mensonge, qu’il soit volontaire ou pas va toujours être considéré comme un délit. (187 mots) D’après moi, pour tromper, une personne doit être au courant

qui servent à embellir, à peindre à ce but si désiré ? Et si les hommes souffrent tout aux femmes, n’est-ce pas uniquement dans la vue du plaisir qu’ils en attendent ? Et ce plaisir, en quoi consiste-t-il ? dans la folie. On sera convaincu de cette vérité, si l’on fait attention à toutes les fadaises que dit un homme, à toutes les folies qu’il fait avec une femme, toutes les fois qu’il lui prend envie de jouir de ses faveurs. De la longévité du mariage Qu’on verrait peu de mariages

→ catégorisat° de la classe sociale Générat° des immigrés Pb : tp forte médiatisat° entraînant stéréotypes → préjugés, psychoses IV – Une générat° créatrice d’1cpt acceptable Chanson de D. Guichard «mon vieux » La générat° fait la vérité à titre posthume = normalité des cpts à adopter pr les générat° futures Pb générationnel : qui st les mères et qui st les filles ? Educat° des parents → où st les limites ? 2) Générat° : force créatrice ? Implicitement → force destructrice