Willy Ronis

habitants : artisans, bistrots, clochards, gamins des rues, amoureux, bateleurs, etc. Il enregistra pendant près d'un demi-siècle des milliers de portraits du petit peuple de Paris. Il a participé au Groupe des XV aux côtés de René-Jacques, de Willy Ronis, de Pierre Jahan, dans les années (1950) Ses appareils photo, des Rolleiflex format 6x6, Nikon F et Leica format 24 × 36. Œuvres 1936 : Le Déjeuner sur l'herbe 1939 : La Six chevaux des vacances 1940 : Lâcher de tracts

représente l'intérêt de l'artiste pour l'être humain dans sa vie quotidienne à travers ces deux amoureux. Courant développé entre 1930 et 1960. Robert Doisneau est un des plus grands représentant du courant humaniste, il en est le fondateur avec Willy Ronis et Henri Cartier-Bresson. Ce cliché en noir et blanc a été pris à Paris, réalisé par l'artiste pour le magazine Life et n'a été célèbres qu'après sa commercialisation en 1986. On peut le retrouver dans de nombreuses expositions dédiées à Robert

1912 à Gentilly dans une famille bourgeoise , il mourut le 1er avril 1994 à Montrouge . Il est enterré aux côtés de sa femme à Raizeux . Il fut un photographe Français parmis les plus populaires d'après-guerre. Il travailla aux côtés de Willy Ronis et d ' Édouard Boubat , deux photographes célèbres ; c'est l' un des principaux représentant de la photographie humaniste Française . Il étudia les Arts Graphiques à l’École Estienne et obtient son diplôme de graveur et de lithographe en 1929

qu’est l’instant décisif : un moment rare, fugitif et éphémère. Conclusion : On peut rapprocher d’autres œuvres de cette photographie telles que : * Le baiser de l’hôtel de ville, Robert Doisneau, 1950 * Le garçon à la baguette de pain, Willy Ronis, 1950 Ces deux photographies appartiennent au courant de la photographie humaniste et représentent « l’instant décisif ». Avis : Ce que je trouve remarquable dans cette photo, c’est le fait qu’Henri Cartier-Bresson a su la prendre photo au bon

photographie humaniste, 1945-1968 Autour d’Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis… C’est entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et les années soixante que la photographie humaniste connaît son apogée. Elle est ainsi nommée parce qu’elle inscrit la personne humaine au centre de son propos, dans son cadre professionnel aussi bien qu’affectif. On y retrouve des noms célèbres comme Henri Cartier-Bresson, Robert Doisneau, Willy Ronis, Brassaï ou Boubat, mais aussi des photographes moins connus comme Georges

de la photographie Après la Seconde Guerre mondiale, certains photographes apparaissent parti­culièrement attentifs au spectacle des rues et aux expressions fugitives révéla­trices de traits psychologiques ou sociaux. Robert Doisneau, Izis, Willy Ronis, Edouard Boubat effectuent une sorte de reportage humaniste. En 1947, Capa, Cartier-Bresson, David Seymour et George Rodger créent une agence destinée à assurer à ceux qui le veulent indépendance et créativité: l'agence Magnum. Cartier-Bresson devient

possibles : - La guerre des boutons, Louis Pergaut, 1912. - Les Enfants de Timberlbach. - Le Petit Nicolas, Sempre et Goscinny,1960. Film : Mon oncle, Jacques Tati, 1958. Autres Photographe humanistes célèbre : Henri Cartier- Bresson & Willy Ronis Pour en savoir plus : Sabine Azéma, Bonjour monsieur Doisneau, 1992.

des valeurs de respect, de fraternité, et de paix. Ils veulent grâce à leurs photographies sensibiliser les personnes à la misère et la pauvreté de l’après-guerre, dans un cadre qui représente la dure réalité de l’époque. Willy Ronis Retour des prisonniers de guerre 1945 Tirage argentique, 18X24,5cm Georges Viollon Les jeux autour d'une HLM [1955-60] Tirage argentique, 29,5 x 21 cm Cette photographie de Georges Viollon (photographe humaniste

Doisneau est l’un des photographes français les plus populaires de l’après-guerre et l’un des principaux représentants de la photographie humaniste avec Willy Ronis et Edouard Boubat. Le courant humaniste a pour sujet les gens simples, dans leurs bonheurs et difficultés du quotidien. Après des études d’art graphique, il entre dans la vie active en dessinant des étiquettes pharmaceutiques. Très vite il se passionne pour la photographie, travaille pour les usines Renault dans les années 1930 puis

Fox-terrier au pont des Arts Robert Doisneau 1953 I. Présentation : Cette œuvre est une photographie, prise par Robert Doisneau en 1953, nommée Fox-terrier au pont des Arts. II. L’œuvre dans son contexte social : Cette photographie humaniste a séduit la population française : elle est proche du quotidien de tous et notamment de la France d'après d’après guerre. II. Description  et analyse: Au premier plan, à gauche, on peut voir un chien (fox-terrier) qui regarde le photographe