Winston Churchill

rationnement seront maintenus jusqu'en 1947, tellement la situation alimentaire est préoccupante.   B°) La doctrine Truman: lutter contre le communisme. La doctrine Truman veut lutter contre le communisme. En effet, dès le 5 mars 1946, Winston Churchill, dans un discours à Fulton, avait mis en garde contre l'expansionnisme soviétique. Ainsi, un an après, le 12 mars 1947, le président Harry Truman, stigmatisait l'action d'asservissement des pays d'Europe de l'Est par l'URSS, dans un discours

entrer dans le jeu de la Guerre froide. Cela met en avant la perte de puissances de l'Europe car il n'a pas un rôle d'acteur mais de spectateur dans le théâtre de la Guerre froide ayant comme acteur l'URSS et les États-Unis séparé par ce que Winston Churchill appellera quelques années plus tard un « rideau de fer ». Ainsi, l'Europe au lendemain de la Guerre (1945 à 1947), est une terre en ruine, traumatisée Elle a perdu sa place et sa position dominante sur la scène mondiale et est livrée à des

l’idéologie communiste, occupe la moitié de l’Europe et bénéficie d’un grand prestige. Les gouvernements favorables à l’URSS, qui s’installent dans les pays libérés par l’Armée rouge, inquiètent les Occidentaux. En mars 1946, dans un discours célèbre, Winston Churchill évoque le « rideau de fer » qui vient de couper l’Europe en deux blocs. La Guerre froide a commencé. Ressemblances entre ces deux guerres ! Premièrement, commençons par les ressemblances entre les deux guerres.Tout d’abord, on se rend compte

d'avoir été ou non en rapport avec l'ennemi, ce que la symbiose avec l'occupant rendait inévitable pour toute personne chargée de fonctions publiques. Cette façon de poser le problème est illogique, ainsi que l'a déclaré Laval devant ses juges : « M. Churchill dit : " Je mettrai l'Europe en état de révolte. » Voilà tout le problème et voilà tout le procès : le Gouvernement devait-il accepter l'armistice et continuer à vivre pendant quatre ans; ou bien devait-il, pour hâter la victoire et la libération

devient alors chef du gouvernement et réclame l’armistice le 17 juin 1940 ( cf. annexe 1 : Discours du maréchal Pétain ) De son coté De Gaulle, sous secrétaire a la défense nationale et la guerre se trouve à Londres et est en contact avec Winston Churchill (1er ministre britannique) 2) L’appel du 18 juin 1940, un espoir ? Le 18 juin 1940 de Gaulle se prépare a parler aux français par le biais de la BBC radio de Londres. Ce jour là il appelle les français à la résistance. L’appel peut

revient à Cambridge. C’est dans le contexte de la crise économique des années 30 qu’il rédige son œuvre fondamentale : La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936). Mais c’est pendant la guerre, sous le gouvernement de Winston Churchill, que Keynes atteint le sommet de son influence. Ainsi, en 1944, à la conférence de Bretton Woods qui crée le Fonds monétaire international (FMI), il est l’un des principaux architectes du système monétaire international de l’après-guerre. Sa

guerre froide atteint son premier moment fort lors du blocus de Berlin. L'explosion de la première bombe atomique soviétique, en été 1949, vient conforter l'URSS dans son rang de puissance mondiale. Cette situation confirme les prédictions de Winston Churchill qui, en mars 1946, est le premier homme d’État occidental à parler publiquement d'un "rideau de fer" qui coupe désormais l'Europe en deux. A. La paix manquée La Seconde Guerre mondiale a bouleversée la carte du monde. Le bilan humain et matériel

pouvoir en Grèce, ils essayent de s’implanter en Turquie. La menace est telle que l’ancien premier ministre anglais Winston Churchill parle de « rideau de fer » qui risque de séparer l’Europe en deux. b. L’opposition idéologique entre les alliés Dès 1945, les E.U. et l’URSS s’opposent au sujet de la réorganisation du monde d’après guerre dont ils veulent être le leader. En 1946, Churchill dénonce le rideau de fer qui partage l’Europe en deux. En effet, entre 1946 et 1949, des régimes communistes s’imposent

conférer la personnalité juridique. A l’heure de la présidence de Nicolas Sarkozy, L’Europe connait la paix à l’intérieur de ses frontières, consacrant ainsi le succès du projet et des ambitions d’Aristide Briand. Le général De Gaulle et Winston Churchill, au milieu d’une guerre qui déchirait le continent sont parvenu à jeter les fondements d’une Europe unifiée en s’adressant au futurs grands, les Etats-Unis et l’Union soviétique, à Théodore Roosevelt et à Staline. La paix a donc, depuis les

Soviétiques et de leurs alliés. Afin de contrôler un réarmement allemand jugé inévitable mais qu'elle redoutait, la France proposa le plan Pleven du 24 octobre 1950, à l'initiative de Jean Monnet, qui ranima l’idée d’armée européenne lancée par Winston Churchill deux mois auparavant au Conseil de l’Europe. Le modèle était calqué sur celui de la CECA. La CED (Communauté européenne de défense) présentait des caractéristiques supranationales similaires (voir en annexe). L’armée européenne devait être