Wolofs

la Casamance. Ses parents sont des Lébous ayant quitté lapresqu'île du Cap-Vert pour la Casamance. À partir de 7 ans, il fréquente l’école coranique et l’école française, apprenant à la fois lefrançais et l’arabe, alors que sa langue maternelle est le wolof. En 1942, il est mobilisé par l’armée française et intègre les tirailleurs sénégalais. En 1946, il embarque clandestinement pour la France et débarque à Marseille, où il vit de différents petits travaux. Il est notamment dockerau port de Marseille pendant

langagières. Des objets quotidiens aux titres de famille ou de respect en passant par des termes péjoratifs pour parodier le Blanc, les nombreuses intrusions des langues locales participent au pittoresque du récit. Ainsi le bambara de Bamako et le wolof de Thiès et Dakar complèteront-ils l’absence d’un vocabulaire français incapable de traduire l’idée et la portée du message des africains. A Bamako : Soungoutou (jeune fille), moké, mama ou m’ba (grand-mère), Bassi, fonio (54), Banco (terre argileuse)

Nombre : 11 658 000 Habitants Taux d'accroissement : 2,2% par an Espérance de vie : 52 ans Taux de scolarisation : 69 3 % dont 71,3 % pour les garçons et 67,3 % pour les filles (Boubacar et son ami, dans la vidéo, vont en classe) Diverses ethnies : Wolof, Sérère, Toucouleur, Diola, Peulh (éleveurs nomades), (un des enfants de la vidéo qui vend du lait caillé), de nombreux métis (un des amis de Boubacar s'appelle Pereira : nom portugais). Religion : L'islam est la plus importante (deux amis de Boubacar

technicien superieur BTS en transport/logistique Baccalaureat serie L2 au lycee taiba /ics Brevet de fin d`etude moyen BFEM Certificat de fin d etude elementaire CFEE LANGUES ET INFORMATIQUE Français ,Anglais ,Espagnol academique et wolof Word , Excel ,Internet , Access , PowerPoint CENTRES D'INTERET SPORTS Football , Natation TITRE DE VOTRE CV - POSTE SOUHAITE

cohabiter avec les Tékrouriens devenus musulmans. Mais ayant vécu plus d’un millénaire dans l’ambiance de la civilisation du fleuve Sénégal, avec sa technologie avancée, ses méthodes culturales et ses populations négro-berbères : peul, toucouleur, wolof, ils étaient« porteurs » de cultures méditerranéenne et égyptienne. En tout cas, ils apportaient du Fouta des techniques et une culture probablement supérieures à celles de ces défrichures de la forêt, plus ou moins coupés de leurs sources naturelles

devoirs pour aller jusqu'à une véritable remise à niveau si nécessaire. J'ai décidé de présenter le cas de la petite ASTOU. Astou est issue d'une famille africaine où le français est très peu pratiqué. En effet, chez elle, on parle le plus souvent le wolof ( langue du Sénégal). Astou fait partie d'une famille nombreuse. Il n'y a aucune implication de la part de ses parents dans son parcours scolaire. En classe, Astou est une petite fille très discrète, qui parle peu. Elle est placé devant le tableau

qu'un imam de la confrérie soufie tidjane, une voie spirituelle musulmane qu'il contribua largement à diffuser au Sénégal et en Afrique noire. Biographie Fils de Sidy Ousmane Sy et de Sokhna Fatoumata Wade Wele, Malick Sy est né à Gaé (Gaaya en wolof) près de Dagana vers 1847. Sa date de naissance reste incertaine. En effet, la tradition orale indiquant que son « entrée dans ce village » eut lieu le 25 février 1855, il en a été déduit qu'il était né ce jour-là. Sa lignée paternelle est originaire

métallurgie très ancienne avec la découverte des bas fourneaux. - La zone des Tumuli4 : elle s’étend au Centre-Ouest, depuis la région de Louga jusqu’au Saloum. Plus de 6 000 tumuli ont été recensés. Ce sont des monticules de sables appelés mbanar par les Wolofs et poydon par les Sérères. - La zone des mégalithes : elle représente environ 20 000 km2. elle est comprise entre le Rip et la région de Tambacounda d’ouest en est, et la Gambie du nord au sud. Les mégalithes sont définis comme des blocs de pierres

en conservant nos diversités culturelles comme rempart à l’aliénation incessante des conquérants et pour lutter contre une identité dépourvue des particularités locales. Arrêtons de se voir en « ivoirité », « congolité », « arabe », « chrétien », « wolof », « kikuyu », ou autres identités qui empestent la haine plutôt que la solidarité et le respect, voyons nous plutôt en peuples et individus sur un bateau pris dans un tourbillon au milieu de l’océan où la survie ne dépend que de nous, pas de bon samaritain

négatif car il était réservé aux esclaves. À cette époque, le travail social était le seul travail vu comme positif (politique, relations sociales,...). Le travail de production était ignoble. Le terme travail renvoyé à une idée de souffrance. En Wolof, le terme travail désigné aussi bien l'économie, la vie sociale, des négociations ou jeter un sort. Le travail renvoie à des représentations. Ces représentations sont une partie importante du travail. Chez les Joola, le travail renvoie presque