Y A T Il Des Actes Inhumain

Lorsque l’on parle de civilisation, il est souvent question du développement des civilisations grâce à leur échanges culturels. Mais rares sont ceux qui semblent se poser la question suivante : les civilisations se construisent elles au dépend des autres ? Les réponses possibles aux questions sont nombreuses et exigent une analyse pour trouver une réponse satisfaisante. Néanmoins, on parviendra à une réponse assez solide en suivant deux axes de réflexion : les civilisations se construisent au dépend

Alexandre Nevski Rédaction Tout d’abord, ce film est un film de propagande qui a été créé par Sergueï Eisenstein pour la cinématographie et Sergueï Prokofiev pour la musique. Il a été présenté pour la première fois en 1938 ; dédié à Staline en 1939 pour son 60 ème anniversaire. Il a été créé sous l’ordre de celui-ci, contre les Nazis qui envahissaient le territoire russe à cette époque. Ce film retrace l’histoire du XIII ème siècle, avec les chevaliers teutoniques envahissant

protagoniste de ce livre, Winston Smith, est contre l'idéologie du gouvernement. Ceci mène donc ce dernier à agir de manière non conformiste face aux lois établies par la Police de la Pensée. Winston hait le Parti et veut savoir jusqu'où l'État utilisera-t-il son pouvoir pour garder la société sous contrôle total. Tout d'abord, il se procure d'un journal dans les rues du quartier des prolétaires où il inscrit ''À bas Big Brother''. Sa demeure étant sous surveillance par les télécrans, il risque de se faire

les accusés plaidaient tous l'innocence pour cause de soumission à l'autorité. Quinze ans après l'horrible découverte d'exterminations humaines massives par les nazis, Stanley Milgram a mis au point une méthode pour étudier le phénomène. Il a mené, de 1960 à 1963 (à l'université Yale, New Haven, NY), une expérience ayant pour but de déterminer les limites de la soumission à l'autorité et la responsabilité de l'individu. Il a cherché à comprendre les mécanismes psychologiques qui font taire le libre

n'infligèrent la torture qu'aux esclaves, mais les esclaves n'étaient pas comptés pour des hommes. Il n'y a pas d'apparence non plus qu'un conseiller de la Tournelle regarde comme un de ses semblables un homme qu'on lui amène hâve, pâle, défait, les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine dont il a été rongé dans un cachot. Il se donne le plaisir de l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de

auteur de plusieurs roman dont L'origine de la violence, qui raconte l'histoire d'un jeune professeur qui, lors d'une excursion au camp de concentration de Buchenwald en Allemagne, découvre une photographie où figure un homme a la ressemblance troublante avec son père, c'est a partir de là qu'il enquête pour retrouver l'identité de cet homme, et, sans le vouloir, va découvre plus de choses qu'il ne l'espérait... C'est un extrait de cet œuvre que nous allons étudier. Cet extrait porte sur le médecin

apprenons par un aveu fait à Oenone, sa confidente, qu'elle aime Hippolyte. Au début de l'acte II, on apprend la mort de Thésée (fausse mort). Phèdre qui se croit veuve avoue dans cette scène son amour pour Hippolyte. Après l'aveu masqué de la tirade précédent, c'est ici le véritable aveu (le deuxième de la pièce). L'aveu de Phèdre est total et violent, on a l'impression d'un certain désordre. On peut cependant relever cinq mouvements : L'aveu direct d'un amour retrouvé (vers 670 à 676) ; Phèdre dit être

En plus de tout ce qui a été dit plus haut, il faut reconnaître que la peine de mort, que ce soit par injection ou par chaise électrique, est une technique extrêmement barbare ! Comment est-ce possible qu’un individu administre 2000 volts à un être humain pour le tuer ? Est-ce cohérent ? Ne serait-il pas préférable de laisser le condamné en prison longtemps afin qu’il réfléchisse sur ses actes commis ? Il est possible que la personne guérisse grâce à des aides psychologiques. Néanmoins

L'étranger, Albert Camus. Incipit : du début à «pour n'avoir plus à parler». Biographie de l'auteur : Albert Camus (1913-1960) Albert Camus, né en Algérie en 1913 n'a qu'un an lorsque son père meurt à la guerre. Elevé par sa mère dans un quartier pauvre et populaire d'Alger, il poursuit après le bac des études de philosophie, mais doit renoncer à l'enseignement à cause de la tuberculose. Séduit par le théatre (Caligula,1944) il devient journaliste sous la résistance et connait la célébrité

ont résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, les droits naturels inaliénables et sacrés de la femme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs, afin que les actes du pouvoir des femmes, et ceux du 5 pouvoir des hommes , pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés, afin que les réclamations des citoyennes fondées désormais sur