Y A T Il Des Désirs Inconscients

Notions « conscience, inconscient, désir, devoir et bonheur » Qu’est ce qui fonde l’identité humaine ? PARTIE 1. La conscience semble être la caractéristique humaine A. Conscience morale B. Conscience cognitive PARTIE 2. Mais si tel est le cas, comment expliquer qu’il n’ait pas accès à tout ce qui se passe en lui ? FREUD, Inconscient : lieu de refoulement de certains désirs liés à l’animalité PARTIE 3. Est-ce donc le désir qui caractérise l’homme ? A. Le désir B. L’objectif

l’homme est supérieur et a une valeur morale. L’homme mérite le respect.La conscience est la grandeur de l’homme, c’est le savoir dans le sens immédiat. Elle nous accompagne toujours. Il y a des moments de rupture du conscient, par exemple dormir→ rêve acte inconscient, ou mourir→ c’est la saissition de la conscience (Epicure). Elle montre une dimension (connaissance, conscient) psychologique et morale→ regard intérieur qui nous juge. On peut avoir une mauvaise conscience du a des souvenirs qui nous

une première définition de l’inconscient. La thèse serait que l’homme dans son appareil psychique aurait une part obscur, une part que seul il ne serait pas apte à définir, déterminer, lui-même sans l’intervention d’une tierce personne, Autrui. L’homme peut-il se connaître lui-même ? C’est la thèse que nous tenterons d’expliciter. L’homme a-t-il une part d’ombre ? Cette part d’ombre influerait-elle vraiment sur notre part de lumière ? L’homme est-il totalement responsable de tous ses sentiments, de

comme : un procédé d'investigation de processus mentaux à peu près inaccessibles autrement ; d’une méthode fondée sur cette investigation pour le traitement de désordres névrotiques ; d’une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et qui s’accroissent ensemble pour former progressivement une nouvelle discipline scientifique. (Freud, 1922) La cure analytique est en cela une expérience que le sujet va faire de lui même, il va aller à la rencontre de sa vérité, de ses blocages, de ses obsessions

faux. Pour cela, celui qui ment, est automatiquement lié à autrui. Le mensonge suppose alors un trompeur, ainsi qu'un trompé . On cherche alors à dissimuler le vrai et à cacher la vérité. L'homme serait alors son propre interlocuteur. Or ,d'un mensonge, pour une mauvaise note, au mensonge d'un délit, en passant par celui, des fréquentations que l'on a, celui-ci constitue toujours une action, en vue d'une fin, et d'un but. Le mensonge est lié à une finalité qui diffère selon son importance, et ses conséquences

s’attachent à dégager les principes des processus psychiques, du fonctionnement du psychique. Cette modélisation de l’appareil psychique par Freud permet de penser la clinique. Il s’agit donc ici d’évoquer les grandes notions que sont l’inconscient, les coordonnées métapsychologiques et les pulsions qui sont à la base de cette métapsychologie. 1. La mise en évidence de l’inconscient Freud met en évidence l’inconscient autant chez les personnes dites « normales » que chez les sujets névrosés à travers

hypnose pour soigner patients hystériques. Découverte du rôle essentiel de la parole aux séances d’hypnose   « talking cure » pour cette méthode. Freud fait l’hypothèse de l’existence de processus inconscients. Remplace l’hypnose par « l’association libre » dire toutes les pensées qui viennent à l’esprit, sans tri, sans jugement, ni discrimination  L’association libre = règle fondamentale de la cure psychanalytique I. Théorie Psychanalytique = Métapsychologie Métapsychologie de Freud

contraire a-t-elle des limites? Etre conscient signifie maitriser nos actions et nos idées. I/ La conscience humaine est- elle spécifique? 1) Conscience et vie 1: Ici le problème est: Comment définir la conscience sans en donner une définition trop abstraite. Dans un 1er temps il montre que la conscience est mémoire, ensuite la conscience est l’anticipation de l’avenir.Enfin il en conclut que la conscience prend place dans une durée. La thèse du texte ici est que la conscience est lié à la vie

aspects théoriques de la psychanalyse. La métapsychologie cherche à rendre compte des faits psychiques dans leur ensemble et notamment de tout leur versant inconscient. Freud dans son élaboration conceptuelle de la métapsychologie s’oppose à la fois à la psychologie contemporaine de son époque qui s’intéresse uniquement aux phénomènes psychiques conscients, et en même temps il s’oppose à la métaphysique qui introduit le recours à l’irrationnel dans l’élucidation du fonctionnement mental. Freud nous

pas de désirs au sens où nous l’entendons ici, mais des besoins. DESIRER : le sujet nous place dans le domaine de la passion, car c’est le moteur principal de la condition humaine. Le désir est insatiable, nous pousse toujours plus loin, et de l’accessible nous amène à désirer ce qui est beaucoup plus complexe à avoir. SANS SOUFFRIR : le présupposé est que le désir blesse. Le sujet ne traite pas de douleur physique mais plutôt de souffrance psychologique voire existentielle. ¤ Quelques pièges à éviter