Y A T Il Des Valeurs Universelles

Deuxième centre : Apparait à Athènes. Platon, Socrate et Aristote en sont issus. Ce sont les grandes écoles de philosophie de l’Antiquité. Ils sont stoïciens, épicuriens et sceptiques. SOCRATE (-470-399) Il s’oppose à une étude philosophique de sophistes. Il fait partie de la philosophie Athénienne, c’est aussi un symbole de la philosophie c’est même un philosophe de l’excellence. Sagesse : lorsqu’on connait ses limites. Il disait «  Je sais que je ne sais rien. » A la différence des autres dits

petits-fils Henri, Luc, Jean et Odon que lui a donnés son fils Hippolyte qui a succombé comme sa femme Angélique des suites de ses blessures après un accident de bateau survenu en janvier 2004. Petit-fils du célèbre archetier Alfred LAMY, Baptiste LAMY fut un luthier connu des concertistes et reconnu par ses pairs. De ses années de fabrication et de restauration, il n’avait conservé qu’un violoncelle de BERNARDEL Père, un bel instrument datant de 1845 et estimé à 90 000 €. Cet instrument était accompagné

République est le régime mis en place à la chute du Second Empire et pendant une période de guerre contre la Prusse en 1871. Elle est la réussite républicaine et démocratique française après un siècle de bouleversements politiques, et après la recherche d’un régime stable en phase avec les changements amorcés par la Révolution française en 1789. Cette République exalte les libertés fondamentales et individuelles prônées dans la Déclaration des Droits de faite en 1789. Grâce à ce régime démocratique, l’individu

Nature et Culture, les frontières de l’humain en question. Travail à partir de trois sujets : objectif est de faire comprendre ce qu’est un problème et montrer comment s’y prendre pour construire un problème. - Peut-on établir une frontière entre l’homme et la nature ? Phase 1 : Problématisation, c'est-à-dire construction d’un problème philosophique : trouver le noyau du débat, quelles sont les alternatives concurrentes ? Il y a problème lorsque des thèses opposées et incompatibles ne peuvent

rapidement à penser la civilisation au singulier, et celui du relativisme, qui, lui, réussit à prendre en compte les différences culturelles, mais s'avère incapable de les référer à une norme universelle. Or, le sens de la relativité des cultures et de leur égale valeur ne doit pas conduire à un relativisme intégral, ni à l'abandon de valeurs universelles, que sont aujourd'hui la démocratie politique, les libertés démocratiques, les droits de l'homme. Les civilisations, de fait, n'échappent pas à l'histoire

Puis-je juger la culture à laquelle j'appartiens ? Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Juger la culture à laquelle nous appartenons consiste à l’évaluer, à dire ce en quoi ses valeurs sont bonnes ou mauvaises. Certes, il nous arrive souvent de juger notre propre culture, la question de la possibilité ne semble donc pas a priori poser problème ; néanmoins, quelle valeur faut-il accorder à nos jugements ? En effet, lorsque nous jugeons

impropre tenu compte du fait que Kant pense qu'il n'y a en réalité qu'un seul fondement existant.Nous pourrions décrire le fondement comme ce sur quoi repose ''en droit'' une certaine connaissance ,ou encore comme le synonyme du mot principe. Nous allons porter notre attention sur la première section de cet œuvre d'Emmanuel Kant ,ou plus précisément le passage de la connaissance rationnelle commune de la moralité ,dit aussi ''la bonne volonté'' à la connaissance philosophique, ''le devoir moral''.

LES VALEURS MORALES SONT ELLES RELATIVES Pourquoi l’homme est-il moral ? D’où vient ce besoin de juger ce qui est bien ou mal ? L’homme a besoin de repères semble-t-il pour évoluer dans un environnement. Ainsi il sait où il va, ce qu’il convient de faire. Par conséquent il a fallu établir un code de valeurs se basant sur des critères. Mais alors qu’est-ce qui va déterminer qu’on apprécie ou non une chose ? Sur quoi se base le jugement ? Grâce à l’ethnologie, on a pu constater que les goûts et

Qq ´l´ments de : ee Information, complexit´ et hasard Jean-Paul Delahaye e revus par Pierre Bernhard et disponibles aussi sur )i(nterstices Oct08 Vous avez dit information ? Dans la suite : 00000 00000 00000 00000 00000 00000 00000 00000 il y a sˆrement moins d’information que dans la suite : u 26535 89793 23846 26433 83279 50288 41971 69399 qui est plus complexe mais . . pourquoi ? Serait-ce que la 2`me suite e est (complexit´ al´atoire) : e e sans ordre, sans r´gularit´, al´atoire, chaotique

connaissance rationnelle commune de la moralité à la connaissance philosophique ? Thèse : Dans la connaissance rationnelle commune la bonne volonté ainsi que le devoir dans notre principe de volonté sont les conditions sine qua non de la valeur morale de nos actions. Cependant si la raison commune dit à tout homme ce qu’il appartient de faire et de savoir et sait par elle même distinguer le bine du mal ,elle est poussée par des raisons pratiques à sortir de sa sphère pour aller vers la philosophie