Yiddish

français ). aucun accès au media ,internet ,les hommes ne travaille pas ,séparation des homme et femmes dans les bus .Prière chaque matin .* enracinée = habitude que ne change pas Exemples / illustration Importance / fonctions Langue Le yiddish Se distinguer des autres surtout des hommes Valeurs -la foi ,croyance religieuse -guide les comportements Normes formelles (écrit )-Obéissance ,suivre les commandements de la Torah, code vestimentaire -Préserver/contrôle de la culture Normes informelles

dangereuse ; Aharon Appelfeld leur répondit : «Seul l'art a le pouvoir de sortir la souffrance de l'abîme» (‘’Témoignages de la Shoah’’, ‘’Le Monde’’, 11 mai 2007). Et, à côté des témoignages, furent écrits aussi des romans, dont les premiers (écrits en yiddish) furent, comme les témoignages, dictés par la volonté de transmettre, de rendre cette expérience intelligible, mais cette fois-ci dans une reconstitution utilisant les codes fictionnels. Puis d'innombrables romans furent écrits en diverses langues :

; Aharon Appelfeld leur répondit : «Seul l'art a le pouvoir de sortir la souffrance de l'abîme» (‘’Témoignages de la Shoah’’, ‘’Le Monde’’, 11 mai 2007). Et, à côté des témoignages, furent écrits aussi des romans, dont les premiers (écrits en yiddish) furent, comme les témoignages, dictés par la volonté de transmettre, de rendre cette expérience intelligible, mais cette fois-ci dans une reconstitution utilisant les codes fictionnels. Puis d'innombrables romans furent écrits en diverses langues

Le seul dialogue de la séquence, lui, sort de la bouche de l’épouse Schindler, qui supplie son mari, écœurée et triste, de rentrer à la maison. En contraste avec ces éléments, la musique elle est interprétée par un chœur d’enfants, en dialecte yiddish, doux et mélancolique, presque une comptine, accompagnée seulement d’un piano. Cette musique de fosse extra-diégétique augmente l’impact de la scène par un contraste sonore Conclusion : Tout d’abord il faut savoir que la liste de Schindler a

héritera Jérusalem hallal Jérusalem Martin-Lalande fanatismeégard j'a ka y'a ira ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha j'a jta ira ut ultra te yyyyyyyy ultra ultra traire y'a ure yyyyyyyy yyyyyyyy urée yyyyyyyy yyyyyyyy triée tt yaka ia yaka hausse yiddish furtif endroits russes j'a ka j'a ka j'a ha ha j'a ha ha ha ha ha ta ha ha ha ha j'a ka j'a j'a celle-là suis-je élections étudient États-Unis enshérif fétiche Ethernet q hébergeur histoirefrançaisfrançaisgénéralgrandyyyyyyyy r feriez têtue ure yyyyyyyy

France et en Autriche, il existe ainsi un groupe de « Tsiganes blancs », les Yéniches dont la langue semble être identique grammaticalement aux autres dialectes suisses alémaniques, l'origine du lexique mélange en revanche l'allemand, le romani, le yiddish et d'autres mots. En Norvège, et à un moindre degré en Suède et au Danemark, les Taters ont souvent été confondus avec les Roms parce qu'ils étaient, comme ceux-ci parfois employés à construire des routes et des chemins de fer. Leur nom vient d'une

titre d'un film »21. Elie Wiesel conteste aussi ce terme autant que celui d'« holocauste » même s'il l'emploie également. Dans ses entretiens avec Michaël de Saint Cheron, en 1988, il dit lui préférer le terme « hourban », qui, dans la littérature yiddish portant sur l'événement, signifie également « destruction » et se réfère à celle du Temple de Jérusalem. Par leur origine, ces trois termes soulignent la spécificité juive de l'événement22. Le terme « holocauste » n'est pas non plus adapté : il

dangereuse ; Aharon Appelfeld leur répondit : «Seul l'art a le pouvoir de sortir la souffrance de l'abîme» (‘’Témoignages de la Shoah’’, ‘’Le Monde’’, 11 mai 2007). Et, à côté des témoignages, furent écrits aussi des romans, dont les premiers (écrits en yiddish) furent, comme les témoignages, dictés par la volonté de transmettre, de rendre cette expérience intelligible, mais cette fois-ci dans une reconstitution utilisant les codes fictionnels. Puis d'innombrables romans furent écrits en diverses langues :

transporte et brûle les corps au sortir de la chambre à gaz). La quasi-totalité du Sonderkommando fut assassinée par les SS du camp. Seule une dizaine survécut, dont David olere qui est sauvé grâce à sa connaissance de plusieurs langues — polonais, russe, yiddish, français, anglais et allemand qui le rendent utile aux SS. Il écrit pour eux des lettres à leurs proches dans une élégante calligraphie y ajoutant des illustrations. Lors de ses journées de travail dans les fours crématoires Il est témoin de la cruauté

prisonnier rayé et regardant directement le spectateur avec un regard triste et mélancolique. La cellule est sombre et étroite, et la lumière qui filtre à travers la fenêtre est froide et sinistre. Les murs sont couverts d'inscriptions en allemand et en yiddish, qui témoignent de la détresse et de la douleur de l'artiste. L'autoportrait est réaliste et précis dans les détails, avec une palette de couleurs limitée et une texture rugueuse qui évoque la dureté de la vie en prison. Nussbaum a utilisé son propre