Yoga-sûtra

Le Yoga {draw:frame} Le yoga (Sanskrit Yoga) est l'une des six écoles de la philosophie indienne āstika[1]. C'est aussi une discipline visant, par la méditation, l'ascèse morale et les exercices corporels, à réaliser l'unification de l'être humain dans ses aspects physique, psychique et spirituel. Le yoga se pratiquait déjà vers le IIIe millénaire avant notre ère. Vers le IIe s. av. J.-C. (?), en rédigeant les Yoga-Sûtra, Patañjali systématise la philosophie du yoga en réalisant une synthèse

Dieu des énergies universelles. Le tout le grand dieu. Il est au dessus et au-delà du culte, il n’a guère de temple. Maya : Tout est illusion, tout est maya. Philosophie pessimiste. Veda : Textes sacrés Atman : Le soi intérieur Yoga(les* étapes du Yoga)* : Réfrènement-Yama Discipline- Niyama Attitudes et positions du corp- Asana Rythme de la respiration- Pranayama Détachement (ou émancipation de l’activité sensorielle de l’emprise des objets extérieurs)

autant écœrant, la méthode la plus raisonnable est naturellement de l'orner un peu et le rendre moins désagréable. Une discussion sert un bon exemple entre Kumarajiva et son disciple Seng Rui sur la traduction d'une phrase du Saddharmapundarika sutra (Sutra du Lotus《法华经》). C'est la phrase dont l'ancienne traduction est« le ciel voit l'homme, l'homme voit le ciel»(天见人，人见天). Kumarajiva le trouve trop simple. Il pense que la traduction de Seng Rui, «L'homme et le ciel se raccordent, les deux peuvent

Bouddhisme Les cinq préceptes, communs à tous les bouddhistes (laïcs et moines) de toutes les traditions, sont : • S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants ni prendre la vie (le principe d'ahimsâ, « non-violence »), • S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné, • S'efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte ─ plus généralement garder la maîtrise des sens, • S'efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères, • S'efforcer de s'abstenir d'alcool et de tous

Bouddhisme et culture chinoise Introduction Quand le bouddhisme arrive-t-il en Chine ? Version 1 : début de la dynastie des Shih Un groupe de moins bouddhistes dirigé par Sramana, arrivèrent, avec eux, grand nombre de soutras, à la capitale de la Dynastie des Qin dont l’empereur Qin Shihuangdi ne leur accorda pas d’avis favorable et les jeta en prison. Les prisonniers moines furent libérés le soir même par un homme en or, grand de 16 lieux. La version apparut pour la première fois en 597 dans

Les fondements du Bouddhisme, comme on l’appelle en Occident, se concentrent autour des Sutras. Ces derniers sont les écrits issus des paroles et discours du Bouddha. La compréhension des sutras est problématique en raison de leur diversité et complexité. Afin de mieux appréhender l’histoire du bouddhisme, nous étudierons ici l’évolution des sutras. On date la naissance du bouddhisme au Ve siècle avant J-C, en Inde. Siddharta Gautama, le premier Bouddha s’est beaucoup inspiré de son époque. Il

Cette traduction des 62 vue fausses du Brahmajala Sutta (Digha Nikaya) a été effectuée par Sébastien Billard (s.billard@free.fr) à partir des textes anglais suivants : http://web.ukonline.co.uk/theravada/brahma1.htm http://www.buddhistinformation.com/ida_b_wells_memorial_sutra_library/brahmajala_sutta.htm Ce document est placé sous licence Creative Commons "Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0" (http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2

enseignements du Bouddha : Par conséquent, le terme de bouddhisme s’applique à tous les sutras exposés par Shakyamuni. A la différence d’autres philosophies religieuses ou d’autres systèmes de pensée religieuse, le Bouddhisme n’instaure aucune séparation entre le divin et l’humain. Ses enseignements permettent aux êtres humains d’atteindre l’illumination, de devenir Bouddha eux-mêmes. Mais plus spécifiquement, seul le Sûtra du Lotus rend la bouddhéité accessible à tous. Nous clarifierons ce point plus loin

intellectuelle se soit développée. Leurs adeptes proviendront des hautes castes, particulièrement de celle des brahmanes et seront appelés renonçants ou sannyasin. Leur pratique sera axée sur l’étude des textes sacrés, sur la méditation et sur le yoga-sutra de Patanjali. Ils seront peu enclins à pratiquer des austérités physiques. À l’opposé, les sadhu ou « saints hommes », proviendront plutôt des milieux populaires et seront souvent illettrés. Préférant les pratiques extrêmes à la méditation, ils

s‘impose en préambule : qu'est-ce que la sophrologie ? De quoi s'agit-il ? La sophrologie a été développée par le colombien Alfonso Caycedo, à partir des années soixante, par l'association de techniques tant occidentales (Schultz, Jacobson) qu'orientales (yoga, méditation). Elle fait partie des thérapies humanistes c'est-à-dire des thérapies centrées sur la personne. Depuis une cinquantaine d'années, la sophrologie s'intègre petit à petit dans le milieu hospitalier. Elle fait appel à des techniques naturelles