Zadig Discours Direct

est candide et a besoin d'éclaircissement tandis que l'autre reste passif. S'il ne cautionne pas forcément la décision, il ne s'oppose pas non plus à l'Autodafé. L'évocation de la « fête » associe la condamnation à un spectacle populaire. Discours direct : témoignage du « sage » et donc mise à distance des propos. L'expression « graves » confrères est polysémique : il s'agit de celui qui agit, qui parle avec un air sage, qui donne une impression d'importance de sérieux mais ce peut être aussi

Prof: Edward Tilson - French 3171 | 10/28/2013 | | Étudiez l`analyse des sentiments dans La Princesse de Clèves dans leurs rapports aux autres discours (narrative, descriptive, etc.) du roman. En quoi ses rapports caractérisent-ils une nouvelle idée du roman? Je vais vous introduire aux sentiments de Madame de Lafayette et comment qu’elle réserve ses émotions pour ne pas être le bouffon dans

absence du sérieux ; parodie : imite un genre où un style pour s’en moquer ; caricature : exagération/déformation des défauts ; grotesque : comique de caricature qui imite avec des exagération évidentes, poussés à l’irréel ; la satire : écrit ou discours qui s’attaque à quelqu’un quelque chose en se moquant). Comique verbal / Comique de répétition / Comique de répétition / Comique de gestes / Comique de situation / Comique de caractère. Tragique : Inspire la terreur et la pitié, personnage lutte

morale et ensuite le récit (qui ne vient qu'illustrer le discours) 3) Un désenchantement progressif Il s'exprime en une dizaine de lignes (d'environ 102 à 112) et par un usage de répétition. (Connecteur logique "puis"), adverbe "moins", répétition "patriote", changement du rythme : figure de l'accumula° (l.102 à 104) laisse de + en + la place à des phrases qui expriment ensuite des phrases interrogatives (inquiétude). Usage du discours direct à la fin... Engagement basé sur un acte impulsif aboutit

antiphrases ironiques) - Procédés d’insistance (anaphores, accumulations) - Apostrophes - Provocations - Lexique de l’émotion (indignation, surprise)- Détails descriptifs - Précisions spatio-temporelles (références réelles) - Dialogue au discours direct - Champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville…)- Antiphrases - Caricatures : figures de l’exagération (hyperboles…) - Naïveté feinte ou éloge paradoxale - Allusions et sous-entendus- Futur prophétique - Style solennel - Figures

d'actualiser le discours direct ou indirect. Ces propositions diffèrent des autres par le fait que l'on y trouve deux plans qui se manifestent très nettement: le plan d'un discours direct primaire et le plan narratif. Cela veut dire qu'il s'agit de la transposition du discours effectué dans la situation primaire (immédiate), dans la nouvelle situation secondaire représentée par une proposition introduisant le discours direct ou indirect (on parle aussi d'une reproduction directe ou indirecte)

mord la queue. Il ne mue pas, il s'use. D'abord, il se décolore, se craquelle en plusieurs endroits, blanchit comme des phalanges de poing serré. Sa rupture survient peu après. Il casse. Ses deux extrémités s'éloignent. » 15 - Passez du discours direct au discours indirect les vers 1 et 2. Vous commencerez par "La forêt se plaignit que..." et ferez toutes les transformations nécessaires. « La forêt dit : "C'est toujours moi la sacrifiée, On me harcèle, on me traverse, on me brise à coups de hache »

permettent d’identifier cette présence narratoriale. Dans le discours, cette présence est identifiable : le locuteur (celui qui parle) influe plus ou moins discrètement sur le texte. Dans le discours rapporté, il peut y avoir différents niveaux d’énonciation (discours direct, discours indirect, discours indirect libre). Dans le récit, au contraire, le locuteur est absent de son texte, il s’efface derrière lui et ne l’influence pas. Cela dit, discours et récit peuvent se mêler dans un même extrait littéraire

subjectif, celui du narrateur-personnage. Le narrateur reconstitue le dialogue qu’il eut avec la jeune fille (nbx verbes de locution : demander, répondre, dire, assurer, confesser, répéter). Les paroles de la jeune fille, rapportées au discours direct puis au discours indirect libre se confondent pourtant avec les commentaires dont le narrateur ne cesse d’entrelacer le récit des événements, si bien que la scène ne nous est donnée à voir qu’à travers le souvenir du personnage. 3) Le commentaire distancié

que lui dit Tatiana. Il emprunte la voie du récit rétrospectif, lorsqu’il construit son récit explicitement sur la base des propos rapportés par Tatiana. Il y a présence de discours contradictoires opposant Tatiana au narrateur, de discours indirect libre « Elles… dit Tatiana » « On danse Tatiana ? » mais aussi de discours direct « On dit que ». Tatiana passe du doute « Etait-ce le cœur qui n’était pas là? » à la certitude « elle m’a répété que non … » Quant à lui, le narrateur remet en question