Zéphyr

Le cheval et le loup. Un certain loup, dans la saison Quel les tièdes zéphyrs ont l'herbe rajeunie, Et que les animaux quittent tous la maisons Pour s'en aller chercher leur vie, Un loup, dis-je, au sortir des rigueurs de l'hiver, Aperçut un cheval qu'on avait mis au vert. Je laisse à penser quelle joie. « Bonne chasse, dit-il, qui l'aurait à son croc ! Eh ! que n'es-tu mouton ! car tu me serais hoc, Au lieu qu'il faut ruser pour avoir cette proie. Rusons donc. » Ainsi dit, il vient

la maîtresse de Julien de Médicis, et considérée comme la plus belle femme de son époque. Vénus sort des eaux debout dans la conque d'un coquillage (coquille Saint-Jacques) géant. Elle est entourée à gauche d'un groupe de deux divinités des vents (Zéphyr et Chloris). Du ciel, tombent doucement des roses, dont la naissance aurait coïncidé avec celle de Vénus selon une légende antique. À droite, elle est reçue par un personnage féminin, l'une des Heures, filles de Zeus et de Thémis ou la divinité du

en y mettant fin. En y mettant fin... _____ Somnolente et vacillante, mes yeux noyés de mes pensées, je me prends les pieds dans le fil de mon cauchemard, m'entrainant dans une valse lente et chaude d'un songe plus doux. Les bras de souffle, zéphyr me soulevantjusqu'à hauteur astrale, divaguantes vagues de l'abandon face au sommeil, Soleil de nuit. _____ La symphonie temporelle me fouette le visage, me traverse et s'enfonce dans le vide du passé. Les mots s'envolent,volent ma voix dans

dans un pays fertile et sous un ciel doux qui est toujours serein ». - la terre elle-même est porteuse de modération : « les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons n’y soufflent jamais. L’ardeur de l’été y est toujours tempérée par des zéphyrs rafraîchissants, qui viennent adoucir l’air vers le milieu du jour » -la terre est aussi source de vie, on remarque une personnification du paysage (« dans les vallons et dans les campagnes unies ») ainsi qu’une métaphore filée de la fertilité :

Un jeune prince, au retour des Zéphyrs lorsque toute la nature se ranime, se promenait dans un jardin délicieux ; il entendit un grand bruit et aperçut une ruche d’Abeilles. Il s’approche de ce spectacle qui était nouveau pour lui ; il vit avec étonnement, l’ordre, le soin et le travail de cette petite république. Les cellules commençaient à se former et à prendre une figure régulière. Une partie des Abeilles les remplissaient de leur doux nectar ; les autres apportaient des fleurs qu’elles

os » de Pierre Ronsard. Pour le 17ème siècle, j’ai choisis le poème de Théophile de Viau, « La frayeur de la mort ébranle le plus ferme ». Le 18ème siècle sera illustré par un poème d’André Chénier, « Comme un dernier rayon comme une dernier Zéphyr ». Le poème qui illustrera le 19ème siècle, fut quand à lui écrit par Leconte de lisle, « Requies ». Enfin, le 20ème siècle sera illustré par un poème de Paul Eluard, « Notre vie ». A travers les différents siècles, la mort est toujours perçue

et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. La nature est aussi très présente dans l’ensemble du poème. Nous la retrouvons sous la forme de l’élément liquide avec l’image du lac mais également à travers l’évocation du "Zéphyr" vers 9 qui représente l’air ou des "roches profondes" qui représente la terre. Les "rochers", "grottes", "rocs" permettent quant à elle une image minérale de la nature, là où les "sapins", "coteaux" et le "roseau" dressent une image végétale. Cette

longues, trouver une bonne problématique aussi, mais je suis tout à fait satisfaite du résultat. Dans le domaine de l’histoire, j’ai aimé redécouvrir et approfondir le mythe de Vénus ainsi que ceux des autres dieux et déesse. Par exemple le dieu Zéphyr, la déesse Heure représentés sur le tableau dont j’avais juste entendu les noms. A propos de l’art, matière principale dans la série que j’ai choisie, les recherches sur le grand peintre italien Sandro Botticelli m’ont fait apprécier une époque

baigne son long museau dans son sang. - Vous devriez, lui dis-je, nous faire un beau livre qui développât toutes ces contradictions. - Ce livre est tout fait, dit-il; vous n'avez qu'à regarder une girouette; elle tourne tantôt au doux souffle du zéphyr, tantôt au vent violent du nord; voici l'homme. » Voltaire, Pot-pourri, 1765. Jean de LA FONTAINE   (1621-1695) Le Loup et l'Agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait

baigne son long museau dans son sang. - Vous devriez, lui dis-je, nous faire un beau livre qui développât toutes ces contradictions. - Ce livre est tout fait, dit-il; vous n'avez qu'à regarder une girouette; elle tourne tantôt au doux souffle du zéphyr, tantôt au vent violent du nord; voici l'homme. » Voltaire, Pot-pourri, 1765. Jean de LA FONTAINE   (1621-1695) Le Loup et l'Agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait