Zéphyr

renaissance et d’amourVia la naissance de Vénus Sandro Botticelli a tenu à rendre hommage au printemps à travers de nombreux éléments.Tout d’abord, le vent apporté par Zéphyr par une ligne droite est associé au vent qui annonce l’arrivée du printemps. Ensuite, les fleurs de couleur chaude sont partout sur la toile. Le vent que souffle Zéphyr est chargé de fleurs. La robe de l’Heure est elle aussi décorée de fleurs, tout comme le manteau qu’elle tend à Vénus. Un manteau qui peut avoir plusieurs interprétation :

pas d'abord, trop souvent le cœur blasphème ; on s'exaspère, on s'égare ; on froisse du pied le gazon naissant, et l'on en brise les humbles fleurs, comme on arrache les bourgeons aux branches du chemin ; on repousse d'une narine enflammée ce doux zéphyr qui fraîchit ; on insulte par des regards désespérés au don magnifique de cette lumière. Et ces doux sites, ces tièdes séjours, cependant, qui, à l'âge de la sensibilité extrême, ont paru vides, cuisants et amèrement déserts, et qui, plus tard, notre

nos larmes. Textes du 18ème siècle Nuit de printempsFrançois-René de CHATEAUBRIAND Recueil : "Tableaux de la nature" Le ciel est pur, la lune est sans nuage :Déjà la nuit au calice des fleursVerse la perle et l’ambre de ses pleurs ;Aucun zéphyr n’agite le feuillage.Sous un berceau, tranquillement assis,Où le lilas flotte et pend sur ma tête,Je sens couler mes pensers rafraîchisDans les parfums que la nature apprête.Des bois dont l’ombre, en ces prés blanchissants,Avec lenteur se dessine

ses cheveux est significative : en effet les cheveux blonds et longs représentent la provocation sensuelle. Ils sont également dénoués, ce qui montre une force psychique de la divinité. Enfin, la couleur blonde est une couleur solaire. Les dieux : Zéphyr, dieu du vent, souffle afin de pousser la conque vers le rivage. La nymphe : Quand à elle, une divinité du printemps, elle essaye de recouvrir Vénus, malgré le vent, d’un drap rouge parsemé de fleurs. 3) La rupture par rapport au Moyen-âge Pendant

a) lecture de l’image Au 1er plan on voit venus qui sort de la mer dans une coquille car il serait dit d’après la légende qu’elle serait née de l’écume, elle essaye de cacher sa nudité avec ses long cheveux. A sa gauche il y a deux divinité : Zéphyr, dieu du vent pousse Vénus sur le rivage grâce a son souffle, il est soutenu par cupidon ailée. A sa droite flore, qui sort d’une foret, accueille Vénus sur le rivage avec un grand habit ouvert afin de cacher Vénus encore dénudé. Nous devinons que

moindre vent, qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous

Portrait de Simonetta Vespucci (1480), La Mort de Procris (1486-1510). Composition Vénus sort des eaux debout dans la conque d'un coquillage (coquille Saint-Jacques) géant. Elle est entourée à gauche d'un groupe de deux divinités des vents (Zéphyr et Aura[1]). Du ciel, tombent doucement des roses, dont la naissance aurait coïncidé avec celle de Vénus selon une légende antique. À sa droite, elle est reçue par un personnage féminin (Heure, fille de Zeus et divinité du printemps) tentant, malgré

profonds» invitent donc le lecteur à se laisser aller en un état de contemplation. «D'hyacinthe et d'or» cela fait référence à la fleur mais a double sens avec la mythologie grec ou Hyacinthe était un jeune homme d'une grande beauté, aimé d'Apollon et de Zéphyr mais fait aussi référence à la beauté porté tout au long du poème. II – Les champs lexicaux/ thèmes du poème A – L'amour Douceur / Aimer à loisir / Aimer à mourir / Les charmes si mystérieux / Les larmes / Beauté/ Désir. B – Le voyage

apostrophe celle-ci à travers une énumération : « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! » qui appelle une autre courant sur les quatre dernières strophes : « tes riants coteaux », « dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages », « dans le zéphyr », « dans l'astre au front d'argent », « le vent », « le roseau ». Le paysage offre un horizon immense qui va du petit, « le roseau » à l'infiniment grand,

Le thème abordé dans le papillon, est comme son nom l’indique, le papillon, ou plus précisément, la beauté de son éphémère vie. Pour évoquer cette beauté, Lamartine va emprunter beaucoup au champ lexical de la nature (« printemps », « roses », « zéphyr », « ciel pur », « fleurs », « s’enivrer de parfum »,...), qui parallèlement pourrait aussi être associé au champ lexical de la pureté. Une beauté pure, donc, mais aussi plus que ça, une beauté pure car éphémère. Dès le premier vers, Lamartine utilise