Zidore Et Coco

pour qu’il s’acharne sur un mannequin rempli de boudin, quand sa maîtresse le déciderait. A la fin le chien est dressé et répond au cri « va ». Elle retrouve le meurtrier, déguisée en homme, et le chien s’abat sur le meurtrier de son fils. 11 Coco Zidore, un garçon paysan méchant et rustre, doit s’occuper d’un cheval vieux. Mais, cela ne lui plait pas, alors, il trouve une idée. Empêcher le cheval de manger, ne lui laissant pas assez de mou à la corde pour qu’il puisse paître. Le cheval meurt de

Coco, La folle et autres récits brefs de Guy de Maupassant Sur l’eau : Il tressaille à cause d'un étrange mouvement sous son voilier qui le fait ballotter comme au milieu d'une tempête. Il décide de tirer son ancre et de s'en aller, mais quelque chose au fond de la rivière l'en empêche. Caché par un brouillard opaque, un malaise horrible, puis un frisson d'épouvante le fait râler de peur qui, grandissant toujours, devient une véritable terreur. Il crie au secours inutilement. Pour se donner du

lui obligea de ne rien dire a Polyte tant que cela ne se voyais pas pour profiter des trajets gratuits . Coco Coco , un vieux cheval , qui était aimé par tout le village , dont la maîtresse voulait garder et abriter dans le fond de l'écurie de la ferme Lucas . Pendant les jours chauds , le cheval est simplement attaché dehors et était entretenu par un jeune homme de quinze ans surnommé Zidore . Le goujat avait toujours une pensée qui le hantais : pourquoi le laisser en vie , gaspiller de la nourriture

pour qu’il s’acharne sur un mannequin rempli de boudin, quand sa maîtresse le déciderait. A la fin le chien est dressé et répond au cri « va ». Elle retrouve le meurtrier, déguisée en homme, et le chien s’abat sur le meurtrier de son fils.  COCO Zidore, un garçon paysan méchant et rustre, doit s’occuper d’un cheval vieux. Mais, cela ne lui plait pas, alors, il trouve une idée. Empêcher le cheval de manger, ne lui laissant pas assez de mou à la corde pour qu’il puisse paître. Le cheval meurt de

incipit de nouvelle réaliste – Étudier les effets de réel – Lecture analytique de l’incipit – Lecture cursive du reste de la nouvelle 4 Les conjugaisons et emplois des temps du récit (langue) – Extraits des nouvelles du recueil : Le Papa de Simon, Coco, Boitelle – Réviser les conjugaisons des temps du récit – Connaître les emplois des temps du récit – Observation Fiche no 2 collective d’extraits de nouvelles du recueil – Leçon – Travail individuel : exercices d’application 1 Introduction (lecture

..........................................59 II .........................................................................................................63 UNE VENDETTA.............................................................................65 COCO................................................................................................70 LA MAIN..........................................................................................74 LE GUEUX.........................................

Paris et notamment les boulevards, et la Seine. On constate à la lecture des nouvelles que la Normandie est surtout liée à la pauvreté, à la misère (sociale et intellectuelle) et aux conditions de vie difficiles. On pense évidemment à « Coco » où la bêtise de Zidore conduit à la mort lente du vieux cheval. On songe aussi à l’ivrogne du conte éponyme qui massacre sa femme par jalousie. Le lieu, c’est souvent la ferme normande comme dans « Le vieux », « L’aveu », « Histoire d’une fille de ferme » et

rappelèrent parfaitement avoir vu sortir un vieux pauvre avec un chien noir efflanqué qui mangeait, tout en marchant, quelque chose de brun que lui donnait son maître. La vieille, le soir, était rentrée chez elle. Elle dormit bien, cette nuit-là. 152 Coco Dans tout le pays environnant on appelait la ferme des Lucas « la Métairie ». On n’aurait su dire pourquoi. Les paysans, sans doute, attachaient à ce mot « métairie » une idée de richesse et de grandeur, car cette ferme était assurément la plus vaste

élevé, gardé toujours, et qu’il lui rappelait des souvenirs. Ce document est la propriété exclusive de Juliette Camara (juliette.camara@gmail.com) - 30 septembre 2012 à 10:57 Un goujat de quinze ans, nommé Isidore Duval, et appelé plus simplement Zidore, prenait soin de cet invalide, lui donnait, pendant l’hiver, sa mesure d’avoine et son fourrage, et devait aller, quatre fois par jour, en été, le déplacer dans la côte où on l’attachait, afin qu’il eût en abondance de l’herbe fraîche. L’animal, presque

toujours et, en particulier, grâce à Mérimée. L'anecdote est si peu vraisemblable qu'elle a chance d'avoir, dans la réalité, une origine plus ou moins précise. Le conte n'a pas d'autre fin que cette sauvage illustration d'une vengeance primitive. COCO Dans tout le pays environnant on appelait la ferme des Lucas « la Métairie1 ». On n'aurait su dire pourquoi. Les paysans, sans doute, attachaient à ce mot « métairie » une idée de richesse et de grandeur, car cette ferme était assurément la plus vaste