Zine el-Abidine Ben Ali

modernise le pays. Toutefois, en 1987, au terme de trente ans à la tête du pays dont la fin est marquée par le clientélisme et la montée de l’islamisme, le Premier ministre Zine el-Abidine Ben Ali finit par le déposer, mais poursuit dès lors les principaux objectifs du « bourguibisme » tout en libéralisant l’économie. Ben Ali, après vingt-trois ans d’une présidence souvent jugée autoritaire et policière, caractérisée par l’importance de la corruption, cède à la pression de la rue le 14 janvier 2011

Oral actualités ECJS : Le mouvement de protestation et la chute du président Ben Ali en Tunisie Sujet traité : La révolution et la chute du président Ben Ali en Tunisie, appuyé sur un article du quotidien Libération du Lundi 17 Janvier 2011. • président Ben Ali • La « révolution des jasmins » Le président Ben Ali : Zine El-Abidine Ben Ali fut élu président tunisien du 7 Novembre 1987 au 4 Janvier 2011, soit durant 23 ans. Sous sa présidence, l'économie tunisienne était

non-violente6, qui par une suite de manifestations et de sit-in durant quatre semaines en décembre 2010 et janvier 2011, a abouti au départ du président de la République de Tunisie, Zine el-Abidine Ben Ali, en poste depuis 1987. Le terme « Révolution de jasmin » a fait débat car il fait aussi référence à la prise de pouvoir de Ben Ali en 1987 (qualifiée de « Révolution au jasmin »), les Tunisiens préfèrent le nom de « Révolution pour la dignité » (ثورة الكرامة) pour qualifier les évènements de 2010-20117

000 à 14 000 hommes ultrafavorisés, disposait de son propre réseau de malfrats. Ce sont eux qui tentent - de semer le chaos et la terreur dans le pays. "Les milices cherchent à faire basculer le pays dans l'anarchie afin de démontrer que le système Ben Ali constituait un rempart contre le désordre" Dans les banlieues de la capitale et partout à travers le pays, les habitants s'organisent, créent des comités de vigilance et organisent des rondes afin d'éviter les pillages. Alors, nous avons installé

Art. 7 - Le Premier ministre, les ministres et secrétaires d’Etat sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République Tunisienne. Tunis, le 5 juillet 2008. Zine El Abidine Ben Ali MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES Décret n° 2008-2473 du 1er juillet 2008, portant ratification d’un programme exécutif de coopération dans le domaine de l’environnement entre le gouvernement de la République Tunisienne et le gouvernement

de Zine El Abidine Ben Ali, premier ministre Mohammed Ghannouchi prend les commandes du pays, attendant l’officialisation du limogeage de son prédécesseur, Ben Ali. Le lendemain, le Conseil constitutionnel nomme le président du Parlement Foued Mebazaa, président par intérim. Âgé de 78 ans, c’est un cacique du régime issu du parti El Destour, fondé en 1920 afin de lutter pour l’indépendance de la Tunisie, devenu Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) avec l’arrivée au pouvoir de Ben Ali

I LES CAUSES DE LA REVOLUTION DU JASMIN : LES CRIMES DE BEN ALI ET SES PARTISANS La révolution du Jasmin n'est pas née par hasard, elle est tout simplement la conséquence d'opression et de crimes à différentes échelles de la part du Président lui même M. Ben Ali. Parmis les délits de Ben Ali on peut noter parmis les plus importants 1/La répression des opposants : entre la prison et l'exil : La réponse ne va pas tarder, et deux ans après le 7 novembre 1987, la donne change et le nouveau

politiques : le président Zine el-Abidine Ben Ali et sa famille, notamment celle de sa seconde épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée de « clan quasi-mafieux », car ils sont directement mis en cause dans des affaires de corruption, de détournement ou de vol. Malgré la fuite de ben ali le 14 janvier 2011 après 23 ans de règne (en arabie saoudite), la révolution continue - Protestation contre le parti de transition (présence des ministres du dernier gouvernement Ben Ali) et pour la dissolution du

trente ans à la tête du pays dont la fin est marquée par le clientélisme et la montée de l’islamisme, le Premier ministre Zine el-Abidine Ben Ali finit par le déposer, mais poursuit dès lors les principaux objectifs du « bourguibisme » tout en libéralisant l’économie. Après 23 ans d’une présidence autoritaire et policière, caractérisée par l’importance de la corruption, Ben Ali est chassé le 14 janvier 2011 par une révolution populaire. Trouvant refuge en Arabie saoudite, plus précisément à Djeddah

Objectifs du Millénaire pour le développement. Beaucoup en sont venus à conclure que la Tunisie était, pour l’essentiel, un modèle de développement durable fondé sur de bonnes pratiques. Pourtant, le 14 janvier 2011, l’ex-président Zine El Abidine Ben Ali a quitté le pouvoir après un mois de manifestations et de violents affrontements qui se sont soldés par plus de 200 décès. L’agitation sociale et politique qui a embrasé la Tunisie en janvier montre qu’en dépit du relatif succès économique