Zone de libre-échange

Centrale[2] n’en constituent pas l’exception. Ainsi, dès 1965 ces derniers se sont regroupés en une Union Douanière et notamment en l’Union Douanière des Etats de l’Afrique Centrale (UDEAC). Prosaïquement, l’union douanière peu s’entendre comme une zone de libre échange qui a établi un Tarif Extérieur Commun (TEC) vis- à- vis des pays tiers. Ainsi définie, elle présente un triple intérêt : tout d’abord, elle est une source de financement des économies des Etats membres ; ensuite, c’est un instrument de sécurisation

ONU PACT PIB PME PMR PNUD PPI PPP PRI SADC TICAD UA UC UE UEMOA USD ZLE : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique des États-Unis Accord de libre échange Aide publique au développement Accord de partenariat économique Banque africaine de développement Biens publics régionaux Programme commun pour le développement de l’agriculture en Afrique du NEPAD Commission européenne Commission économique des

locaux. Elles ne font pas oublier non plus l’imprévision et l’attentisme de nombre d’entre eux qui, alors que leurs concurrents asiatiques et turcs accroissaient leurs investissements, ont tardé à se mobiliser. Source : Office des Changes Des échanges qui se maintiennent en dépit d’une lente érosion des parts de marché du Maroc à l’exportation Importations Les importations de produits textiles se sont élevées en 2003 à 15,4 Mds Dh (11 % des importations totales du Maroc) contre 15,5 Mds Dh en

Croissance * Chômage Les choix se font selon la situation et on essaye de diminuer au minimum les dégâts. -Les relations économiques internationales Niveaux : * Autarcie : Aucune relation avec l’international (le reste du monde) * Libre échange : Accepte toutes les relations économiques avec le reste du monde, cela se traduit par une spécialisation des économies. * Entre les deux niveaux énoncés précédemment, existe le protectionnisme ou les relations économiques avec le reste du

d’activités économiques), elles réalisent une partie de leur production à l’étranger mais conservent certaines tâches sur le territoire national. Le déficit doit ainsi être relativisé. En effet, 40 % du commerce extérieur américain correspondent à des échanges entre filiales d’une même multinationale. 1 2) La 1ère agriculture mondiale L’agriculture américaine est la plus exportatrice du monde. Moderne et stimulée par une recherche agronomique avancée (ex OGM), elle est dominée par les grandes entreprises

état, d'influencer le comportement d'autres états à l'aide de moyens militaires et économiques. Ces composantes sont la puissance économique, la puissance militaire et la puissance démographique. Ces deux aspects interviennent dans un monde de libre échange, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication, c’est la mondialisation. Les États-Unis influence les autres états car depuis la fin de la guerre

Accord commercial de rapprochement économique australo-néo-zélandais Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce Association européenne de libre-échange Accord environnemental multilatéral Zone de libre-échange entre les pays de l’ANASE Accord général sur le commerce des services Accord de libre-échange nord-américain Arrangement multifibres (remplacé par l’ATV) Association des nations de l’Asie du Sud-Est Coopération économique Asie-Pacifique Association sud-asiatique

commerciales AELE Association européenne de libre-échange MERCOSUR Marché commun du Sud AEM Accord environnemental multilatéral MGS Mesure globale du soutien (agriculture) AFTA Zone de libre-échange entre les pays de l’ANASE MIC Mesures concernant les investissements et liées au commerce AGCS Accord général sur le commerce des services NCM Négociations commerciales multilatérales ALENA Accord de libre-échange nord-américain NPF Clause de la nation

régionale : un ensemble de pays s'accorde réciproquement des avantages commerciaux préférentiels, comme une réduction des droits de douane. Ces avantages sont alors réservés aux pays membres de l'accord et refusés aux autres. Qu'il s'agisse d'une zone de libre-échange (telle que l'Alena (2)) ou d'une union douanière (telle que la Communauté européenne), ces accords doivent respecter certaines conditions pour être reconnus comme valables au regard des disciplines de l'OMC et pouvoir ainsi déroger à la clause

politique de stabilisation ; dans les années 1990, il met en œuvre un vaste programme de réformes économiques. Une des orientations les plus importantes est le choix en faveur de l’ouverture économique marqué en 1996 par la signature d’un accord de libre échange avec l’Union européenne, puis d’accords commerciaux avec la Turquie, les États-Unis et aussi avec l’Égypte, la Jordanie, la Tunisie 1. Ce choix vers l’ouverture est à l’origine d’un choc budgétaire majeur en provoquant dans les prochaines années