Zone de libre-échange

? Seriez-vous prêts à accepter volontairement de mettre en péril la vie de vos futurs ? Si vous n’êtes pas en état de subir ces terrifiants changements, c’est que vous n’êtes pas prêt à accepter l’accord de la ZLÉA. Ce projet est un accord de libre-échange qui oblige de supprimer les tarifs douaniers. Ceci parait avantageux au premier coup d’œil. Mais ne vous faites pas avoir! La ZLÉA apporte beaucoup plus de conséquences que vous le croyez. La ZLÉA ne prévoit aucun accord relatif au travail.

signés en avril 1994 à Marrakech2 par la majeure partie des puissances commerciales du monde3 et ratifiés par leurs assemblées parlementaires. Le principal but de l’OMC est de favoriser l’ouverture commerciale : * Réduire les obstacles au libre échange. * Aider les gouvernements à régler leurs différents commerciaux. * Assister les exportateurs, les importateurs et les producteurs de marchandises et de services dans leurs activités. Les Accords de l’OMC sont longs et complexes car ce

Dans certains cas, le déficit de la balance commerciale s’est aggravé avec les accords de libre-échange.  En cause, les barrières non tarifaires, la compétitivité, l’absence de produits exportables et la faiblesse des moyens de promotion.  Les chevauchements entre accords posent problème.  A quoi servent les accords de libre-échange ? La question mérite d’être posée à la lumière des accords de libre-échange signés par le Maroc et qui ne lui sont pas favorables, du moins pour l’instant. On s’en

transports). La dichotomie pays-région est-elle une distinction en voie de séparation ? Il n’existe plus de frontières entre les pays membres de l’UE. On est libre d’investir, de se déplacer sans entrave administrative. L’économie belge va exporter plus de la moitié de sa production. On va retrouver cela avec l’ALENA (accord de libre-échange nord-américain). Les économies nationales sont de plus en plus intégrées les unes aux autres. Les frontières nationales sont de moins en moins des barrières.

Bien qu’elles ne ciblent pas spécifiquement les relations économiques du Maroc avec la Suisse, ces mesures ne peuvent qu’avoir un impact positif sur elles. Il ne sera toutefois pas facilement décelable en raison du relativement faible volume des échanges. L’Union Européenne est et reste le plus important partenaire du Maroc et la politique économique du Royaume est clairement tournée vers ce grand marché. Le climat des affaires continue toutefois de faire l’objet d’évaluations critiques. Les questions

propos relayés par l’agence MAP. Et d’ajouter que la stratégie a également permis de repositionner ce secteur par rapport aux économies des pays concurrents, tout en renforçant ses chances de bénéficier des opportunités qu'offrent les accords de libre-échange, a-t-il ajouté. Le premier ministre a également mis en exergue la complémentarité de cette stratégie volontariste et ciblée qui a été examinée au niveau gouvernemental et qui a fait l'objet d'une large concertation avec les professionnels des différentes

vigueur des accords de libre-échange signés par le Maroc. En fait, ces accords ne constituent pas une menace en soi, mais c’est le manque d’une préparation préalable d’un environnement industriel permettant aux industriels marocains de s’adapter à cette nouvelle donne et d’être compétitifs. Ainsi, pour ce qui est de l’industrie de la biscuiterie, par exemple, il lui serait impossible de faire face aux produits des pays avec lesquels le Maroc a signé des accords de libre-échange, étant donné que ces

termes légèrement différents d’un accord à l’autre. Ensemble, ces trois accords visent les trois principaux domaines d’échanges dont s’occupe l’OMC. Quelques exceptions sont autorisées. Par exemple, des pays peuvent conclure un accord de libre-échange qui s’applique uniquement aux marchandises échangées à l'intérieur du groupe — ce qui établit une discrimination contre les marchandises provenant de l'extérieur. Ou bien ils peuvent accorder un accès spécial à leurs marchés aux pays en

l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), en 1994. La même année, en décembre, la Maison Blanche convoquait le Premier Sommet des chefs d'État et de gouvernement des Amériques qui devait ouvrir les négociations en vue de créer une Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA) réunissant 34 partenaires des deux hémisphères, sans Cuba, dans un Accord de libre-échange des Amériques (ALÉA) qui entrerait en vigueur en 2005. À l'heure actuelle, les négociations sur le libre-échange conduisent à

fait de la fragilisation des structures sociales à cause des crises cycliques que connaissent les pays de la région. Le seul engagement dans lequel l’on constate une avancée spectaculaire c’est la mise en place de ce vaste marché qu’est la Zone de Libre Échange des Amériques (ZLEA). La ZLEA peut-elle aboutir à un progrès pour les peuples indépendamment des autres engagements ? Haïti vit à l’heure de l’extrême pauvreté qui est une conséquence directe des politiques économiques et sociales séculaires