Zutique

Bruxelles, Douai et rentre à Charleville en novembre. Il en est déjà à sa troisième fugue quand, en février 1871, il gagne Paris pour y rester deux semaines. Cette même année, il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. L’année suivante, en 1872, Rimbaud et Verlaine mènent une vie dissolue. En mars, Rimbaud repart dans les Ardennes et revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Ils partent tous deux à Bruxelles, puis,

Victor Hugo et Théodore de Banville. Il fuguera ensuite plusieurs fois. D’abord à Paris où il sera emprisonné quelques jours puis à Bruxelles. Il s’installe ensuite à Paris. Il y rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. Début 1872, Verlaine qui a quitté sa femme est devenu son compagnon de route. Ils mènent une vie d’errance entre la France, l’Angleterre et la Belgique. De janvier 1873 au début d'avril, puis du 27 mai au 3

clarteux », qui éclaire un sens possible du poème. Poème qui devient provocation puisqu’il est un poème sur ce qu’on appelait autrefois « les cabinets » sans doute sur un sujet trivial et particulièrement prosaïque et qui rappelle les poèmes de l’Album zutique. Signalons qu’« aller voir Hortense » serait une expression belge signifiant « aller aux cabinets ». Signalons encore que l’hortensia a d’abord été l’hortense construit sur l’adjectif latin hortensius signifiant « du jardin ». L’injonction finale

prend parti pour les insurgés parisiens. Il adresse à George Izambard et Paul Demeny ses fameuses lettres du voyant, très marquées par cet épisode historique. Cette même année, il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. L’année suivante, en 1872, Verlaine devient le compagnon de Rimbaud ; ils mènent une vie d’errance entre la France, l’Angleterre et la Belgique. En 1873, Rimbaud et Verlaine regagnent Londres mais connaissent

1870 Ma Bohème 1870 Le Dormeur du val 1870 Le Forgeron 1870 1871 1871 Trois Baisers Lettres du voyant Les Poètes de sept  ans Les Pauvres à  l'église Le Cœur du pitre 1871 1871 1871 Le Bateau ivre 1871   zutique 1871 Ce qu'on dit au  poète à propos de  fleurs Larme Envoyé à Théodore de  Banville 1872 1872 1872 1872   La Rivière de cassis   Comédie de la soif Bonne Pensée du  matin Bannières de mai Chanson de la plus  haute tour L'Éternité Âge d'or

est un poète précoce du XIXème siècle D'argent; où le soleil, de la montagne fière, Il fit partie d’un courant littéraire : Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Le cercle des poètes Zutiques, cercle « familial » de verlaine. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, En 1870, date du poème, on assiste à Et la

sur les passages nécessitant une source. Le Bateau ivre Article détaillé : Le Bateau ivre. Le Bateau ivre en Paris Probablement composé avant le mois de novembre 1871, étant donné une caricature d'André Gill qui y fait allusion dans l’Album zutique dont les contributions rimbaldiennes datent d'octobre - novembre 1871 également. Des poèmes tels que Voyelles, Oraison du soir, Les Chercheuses de poux, L'Étoile a pleuré rose…, Tête de faune ou Les Mains de Jeanne-Marie, semblent dater eux aussi

ou par goût même tout simplement. Reboul, qui a bien senti le problème, jongle avec des registres aussi différents que "pastiche", "parodie", "satire". Il rappelle incidemment que Rimbaud, au moment où il écrit Voyelles, est en plein dans sa phase zutique ! Bref, il hésite, mais on le sent tout de même enclin à verser le sonnet des Voyelles au dossier du Rimbaud parodiste.    Peut-on vraiment employer le concept de "parodie", au sens fort de moquerie, concernant ce poème ? Je ne perçois vraiment, quant

biographique regorge d'une multitude de vers, de strophes, de mots épars, d'expressions provenant de plusieurs recueils du poète (dont, en autres, La Bonne chanson, Sagesse, Romances sans paroles, Chansons pour elle, Parallèlement, Poèmes Saturniens, Album Zutique, Croquis de Belgique), de sa correspondance avec Rimbaud, Mathilde (sa femme), ses amis Léon Valade, Edmond Lepelletier, son modèle Victor Hugo ainsi que des bribes de ses Confessions. L'utilisation des références textuelles explicites est gargantuesque

Bruxelles, Douai et rentre à Charleville en novembre. Il en est déjà à sa troisième fugue quand, en février 1871, il gagne Paris pour y rester deux semaines. Cette même année, il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. L’année suivante, en 1872, Rimbaud et Verlaine mènent une vie dissolue. En mars, Rimbaud repart dans les Ardennes et revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Ils partent tous deux à Bruxelles, puis,