Zutique

substituts éternellement inadéquats. (1) Par contre, le thème imaginaire du grand pénis patemel se trouve thématisé en clair et en mode fascinant dans les "Remembrances du vieillard idiot". signées François Coppée par A. Rimbaud dans son "Album Zutique", pendant la Commune. (Pletade p. 116). 

une croix sur l’avenir du couple ; Paul, qui déjà antérieurement était loin de l’idéal, subit une transformation terrifiante : non seulement qu’il traîne, s’enivrant – avec Rimbaud, bien entendu – dans les milieux poétiques suspects (tel le cercle Zutique), mais surtout il commence à battre Mathilde et la menace de mort. Celle-ci accouche en octobre d’un enfant, Georges, et quelques mois après, s’enfuit avec lui, laissant Paris en proie aux deux tapageurs. Dès là, l’histoire accélère, tout en tournant

Bruxelles, Douai et rentre à Charleville en novembre. Il en est déjà à sa troisième fugue quand, en février 1871, il gagne Paris pour y rester deux semaines. Cette même année, il rencontreVerlaine et participe aux réunions parisiennes du « Cercle Zutique ». Il en sera exclu peu de temps après. L'année suivante, en 1872, Rimbaud et Verlaine mènent une vie dissolue.      En mars, Rimbaud repart dans les Ardennes et revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Ils partent tous deux à Bruxelles,

renonce subitement à l’écriture malgré la reconnaissance de ses pairs. Il mourut à l'âge de 37 ans. A noter, ses relations amicales puis houleuses avec Verlaine. Les deux auteurs ont écrit ensemble le Sonnet du trou du cul dans le cadre de L'Album Zutique. J’ai choisit ce poème car on peut trouver un climat de sensualité de part les couleurs, l’odeur et les images. De plus on peut trouver que cette serveuse est une aguicheuse car elle faits des gestes de séduction habilles. On peut donc dire que la

1870-1874 Lettres de la vie littéraire 1870 Ma Bohème (poème) 1870 Stupra (poème) 15 mai 1871 Lettre du voyant 1871 Le bal des pendus (poème) Sept. 1871 Le Bateau ivre (poème) 1872 Les Mains de Jeanne-Marie 1872 Album zutique (collaboration) 1873-1875 Une saison en enfer 1884 Voyelles, Oraison du soir, Les Assis, Les Effarés, Les Chercheuses de poux, Bateau ivre, Premières communions… (poèmes) 1886 Les Illuminations 1891 Reliquaire 1895 Première parution

travailleuses, ou, si l’on anticipe sur la fin du poème, à « rime(r) une version sur le mal des pommes de terre » ? L’ironie est ici évidente, et d’autant plus quand on rapproche les « lys, ces clystères d’extase » du vers 4 d’un quatrain de l’album zutique, spécialisé dans la parodie, où l’on peut lire : «Ô balançoirs ! ô lys ! clysopompes d’argent !» signés du nom d’Armand Sylvestre, propagandiste du progrès moral. On a ainsi dans « Ce qu’on dit au poète à propos de fleurs » une parodie double

dans son poème Laeti et Errabundi) n'a pas la capacité d'annihiler. Regards sur l'œuvre [modifier]Le Bateau ivre [modifier]Probablement composé avant le mois de novembre 1871, étant donné une caricature d'André Gill qui y fait allusion dans l’Album zutique dont les contributions rimbaldiennes datent d'octobre - novembre 1871 également. Des poèmes tels que Voyelles, Oraison du soir, Les Chercheuses de poux, L'Étoile a pleuré rose..., Tête de faune ou Les Mains de Jeanne-Marie, semblent dater eux aussi

Bible certaines connotations satiriques : en ce qui concerne le chou, on peut peut-être y voir un rapprochement avec la notion de flatulences, notion que Rimbaud développe dans d'autres poèmes (exemple : « le Sonnet du trou du cul » dans l'Album Zutique). On peut aussi prendre garde à la sonorité -ch qui paraît être associée directement à la fausse dévotion, que Rimbaud développe aussi dans sa reprise du Tartuffe de Molière. De plus, la Bible est ainsi mise en relation avec la nourriture et ce procédé

Rimbaud, est militaire. En 1862 il entre à l’institut Rossat une petite école bourgeoise puis en 1865 il commence à écrire lors de sa rentrée au collège de Charleville. En 1871 il rencontre Verlaine et participe aux réunions parisiennes du « cercle Zutique ». Lors d’une querelle entre les deux hommes Rimbaud tire deux coups de feu sur son ami et est condamné à deux ans de prison par la justice belge en 1873. La même année il termine son recueil Une saison en enfer. En 1885 il sombre dans le trafic d’arme

de siècle. Verlaine s’est amusé à se pasticher lui-même, dans Parallèlement, il prend une espèce de distance ironique avec ses recueils antérieurs et ses tics d’écriture. Il a très tôt, avec Rimbaud en particulier, pratiqué le pastiche : Album zutique ; ces poèmes sont des pastiches de François Coppee, dôles et obscènes (« sonnet du trou du cul »). Dans « à la manière de Paul Verlaine » il se prend lui-même pour cible : le maître est impair, des ennéasyllabes, il joue sur les sonorités jusqu’à