école De Vanité

jusqu'à la scène 12 dans laquelle Dorante révèle qui il est. En 1730, le journaliste du “Mercure” reprocha à Marivaux de ne s'être point arrêté là, et, en 1769, dans son ‘’Histoire du Théâtre-Italien’’, Desboulmiers écrivit : «La petite raison de vanité qui empêche Silvia de se faire connaître à Dorante, qui a eu la bonne foi de se déclarer à elle, ne produit aucune situation intéressante.» Ils n’avaient pas compris que le dramaturge voulut pousser la fantaisie jusqu'à laisser Silvia mener le jeu

d'insistance,surenchère, hyperbole = figure de style consistant à surenchérir sur une notion déjà très forte,l'hyperbole sert donc à souligner le caractère extrême de quelque chose. Nous avons 2 hyperboles qui soulignent le caractère extrême de la vanité du personnage (on a un personnage fictif et tout à fait caricatural) Le texte imite la forme d'un édit : *dans la 1ère phrase le narrateur commence par se présenter. Il nous donne ses titres et il insiste sur la justification religieuse de son

de courtes promenades en commun à travers la campagne voisine, et deux fois le dimanche, quand nous allions, avec la régularité des troupes à la parade, assister aux offices du soir et du matin dans l’unique église du village. Le principal de notre école était pasteur de cette église. Avec quel profond sentiment d’admiration et de perplexité avais-je coutume de le contempler, de notre banc relégué dans la tribune, quand il montait en chaire d’un pas solennel et lent ! Ce personnage vénérable, avec

la nature morte permet au peintre de montrer sa grande habileté. Natures Mortes = Vanités, de l’homme qui ne fait que passer sur terre, dualité entre des matières qui durent et d’autres qui vont mourir. Genre qui permet de parler de la brièvté de la vie. Manet rend très bien les fruits. Mais par rapport aux hollandais, Willem Claesz Heda. Société d’abondance et de consomation. Mais aussi Peter Claesz, vraie vanité avec une tête de mort. En englais, Still Life = genre de la nature morte. Manet retourne

qu’elle souffrait de la partialité de ses parents et de son entourage. L’auteur nous raconte son passage à l’adolescence avec toutes les transformations physiques et psychiques que subissait son corps et son âme. Durant cette période une fille de son école attirait énormément son attention et engendrait en son for intérieur un désir qui commençait de naître mais qu’elle freinait. Simone craignait que les liens d’amitié qui la liaient à Zaza, ainsi que les passions d’enfance qu’elle partageait avec

caractère en choisissant son but et son plan de vie, il en est respon- sable. En effet, Adler osa transgresser la ligne de démarcation qui sépare la science de la philosophie en affirmant la responsabilité morale du neurasthénique. Si la paresse et la vanité pathologiques étaient innées et, ainsi, n'engageraient pas la responsabilité de l'individu, alors l'analyste et l'instituteur devraient abandonner tout espoir. Par contre, le psychiatre Adler déclara sans ambages : « Le plan de vie du neurasthénique

et partager une histoire très simplement tout en multipliant les angles de lectures : parler à un public large, en n'oubliant pas les quelques "spécialistes" d'Hamlet. Quand ceux-là verront, par exemple, que je n'utilise pas un crâne romantique de vanité contemporaine, mais un crâne plus violent, plus brutal, complètement explosé en petits fragments d'os, peut-être que cela éclairera autrement la figure d'Hamlet face à la mort et à lui-même. Peut-être. Ce qui n'empêchera pas le public non spécialisé

donneraient à leur existence une valeur guère plus grande que celle de leur bétail, ils ne rempliraient pas le vide de la création quant à sa finalité, comme nature raisonnable. Il faut donc remercier la nature pour leur incompatibilité d’humeur, pour leur vanité qui en fait des rivaux jaloux, pour leur désir insatiable de possession et même de domination ! Sans cela, toutes les excellentes dispositions naturelles qui sont en l’humanité sommeilleraient éternellement sans se développer. L’homme veut la concorde ;

les mythes fondateurs des angoisses ou des fantasmes collectifs de la culture occidentale ; dérive obsédante du pittoresque vers l'insolite, le surnaturel et le fantastique, puisque tel est le mot que revendique pour lui-même et pour la « nouvelle école » romantique l'auteur de Trilby (1822) et de La Fée aux miettes (1832). Né à Besançon en 1780, Charles Nodier resta longtemps marqué par les images de la Terreur et la mort brutale de son premier amour, qui hantent ses premiers vers et ses premiers

de croquet de la reine ») ; Escher, « house of stairs » (annexe 4) ; Borgès, « La demeure d'Astérion », l'Aleph*. (Déplacement, raisonnement) Séquence 3 : la digression Document inaugural : Montaigne, Essais, Livre III, Chapitre 9, “De la Vanité” (annexe 3) Corpus : Extrait de Tristram Shandy, de Sterne (voir annexe 4) ; définition de la digression dans le TLF, extraits de Qui a tué Roger Ackroyd ? de Pierre Bayard (la digression comme détournement et le détour comme délire, c'est-à-dire