élections Locales

institution centrale. Bernard MANIN étudie à travers l'histoire certaines dispositions institutionnelles, éléments constants réglant la désignation des gouvernants et la conduite des affaires publiques : 1° Désignation des gouvernants par des élections régulières. 2° Marge d'indépendance de ces gouvernants par rapport aux électeurs. 3° L'expression sans contrôle de leur opinion et de leur volonté. 4° La soumission des décisions à la discussion. Les différentes formes de gouvernement représentatif

d’aucune majorité stable (nombreux partis représentés, élections législatives au suffrage proportionnel). Face à de graves troubles à Alger (provoqués par les français d’Algérie et l’armée le 13 mai 1958) le dernier président de la 4ème République nomme de Gaulle chef du gouvernement (fin mai 58) et de Gaulle obtient les pleins pouvoirs pour préparer une nouvelle constitution qui est soumise à référendum et adoptée en octobre 1958. Les élections législatives sont gagnées par les partisans de de

traduisent par une diminution de popularité des gouvernants. La période des années 1980-1990 est ainsi marquée par un désintérêt croissant des habitants face aux modes d’expression de la démocratie représentative : le taux d’absentéisme aux élections augmente, le citoyen se désintéresse de la vie politique. L’évolution du mode de vie (urbanisation et hausse de la mobilité) et des mentalités (prédominance de l’individualisme par rapport au cadre collectif, consumérisme) contribue à

fonctionnement des différentes institutions qui composent l'Etat (Conseil constitutionnel, Parlement, gouvernement, administration...). -Définition de référendum : Un référendum est un vote direct de l'ensemble des électeurs d'un Etat ou d'une collectivité locale qui se déterminent sur une proposition de nature législative ou constitutionnelle l'initiative du pouvoir exécutif ou des citoyens, selon les modalités définies par la loi. Les choix possibles étant oui ou non, le projet soumis au vote est soit accepté

services du conseil général. Avec la création du conseiller territorial, et le passage à un renouvellement intégral de l’assemblée tous les 6 ans, les modalités d’élection de l’organe exécutif du département sont amenées à évoluer également avec une élection du président pour 6 années. -3- 3) La commission permanente Elle est composée du président, des vice-présidents et d’un nombre variable d’élus. Elle gère les affaires courantes sur délégation de l’assemblée. Elle se réunit une fois par mois

Élections municipales Principe Les citoyens élisent les conseillers municipaux : pour 6 ans, au suffrage universel direct, au scrutin de liste à 2 tours, Communes de plus de 3.500 habitants Le système combine scrutin majoritaire et scrutin proportionnel. Le panachage ou la modification d'un bulletin est interdit. 1er tour Si une liste obtient la majorité absolue des suffrages exprimés (plus de 50% des voix), elle obtient 50 % des sièges. Les autres sièges sont répartis entre toutes

nouveaux canaux d’information, le développement de nouvelles formes de prise de parole dans le débat public vient relativiser la place du vote dans la société. Cela dit, la majorité des citoyens continue de se déplacer régulièrement pour participer aux élections. Ce comportement électoral a été abondamment étudié par la science politique : pourquoi s’abstient-on ? Peut-on expliquer le vote pour tel candidat ? Pourquoi les individus continuent-ils de voter alors qu’ils croient de moins en moins au pouvoir

électoral. En effet depuis les années 1980 on observe un nombre croissant d'abstentionnisme. Ce taux d’abstentionnisme est passé d’à peine 10 % en 1980, à un peu plus de 15% aujourd’hui, toutes élections confondues. L’accroissement régulier du nombre de personnes qui s’abstient à chacune des différentes élections ne constitue-t-il pas un indice d’une imperfection du système électoral ? Ce constat n’est-il pas l’indicateur d’un problème de légitimité du pouvoir ? La réponse serait très certainement affirmative

METHODOLOGIE, TYPE D'ETUDE ET MATERIELES……………… 11 III. ENCADREMENT DE REFERENCE………………………………… 13 1. L'Évolution Politique des Comores……………………………………….. 13 2. La Gouvernance Électorale… 2.1. Cadre Juridique et Légal 2.2. La Gestion des Élections aux Comores………………………… 20 IV. DISCUSSION ET ANALYSE………………………………………. 39 1. La problématique de la révision des listes électorales……………….. 49 2. Une campagne électorale désuète……………………………………… 41 3. Le déroulement

ces articles qui permettent le pvr au chef. Cet article renvoie aux autres articles, il englobe tout ces articles. Retour au plmt dualiste. Dualisme = orléanisme. Dux sources de légalités : élection législative et celle issu des élections présidentielles (1er ministre nommé par le président). Deux élections donc deux sources de légitimité. Le 1er ministre doit sa position grâce aux deux sources. Deux têtes au sein de l’exécutif. Enfin, président = arbitre au dessus de la mêlée. Discours Bayeux