éloge Candide

file du parti philosophique, combat contre | | | |« l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. | | | |Principales œuvres : Candide, Lettres philosophiques, Micromégas | | | |1736 , Siècle des Lumières (XVIIIème) : mouvement intellectuel, culturel et scientifique. | | |

il devient homme de lettres .emprisonné pour une querelle s’exile en Angleterre pendant 5 ans devient philosophe et commence a écrire .retour en 1778.importante correspondance avec frederique II roi de prusse. Œuvre : dictionnaire philosophique, candide, Zadig, l’ingénu Phrases célèbres : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrais jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire «  Affaires célèbres défendues : affaire du chevalier de la barre : saccage d’un crucifier

de l'être suprême. Prééminence de la morale. 3 - La tolérance Le fanatisme empêche les hommes de s'aimer comme frères. L'idéal politique : Considérant que les hommes sont naturellement libres et égaux, Voltaire a fait à maintes reprises un éloge, théorique il est vrai, de la démocratie ; mais, comme Rousseau, il ne la croit applicable qu'aux petits états. En homme pratique, il s'intéresse surtout aux réformes urgentes et immédiatement réalisables en France, pays monarchique. II – L'œuvre

décrite ainsi: « son habit d'hermite disparut; quatre belles ailes couvraient son corps majestueux et resplendissant de lumière ». Mais Voltaire utilise aussi le registre merveilleux pour créer un monde imaginaire et utopique comme l'Eldorado dans Candide qui est surtout caractérisé par une vision des richesses totalement opposée à celle de l'époque et une société idéale. En effet l'énumération « de l'or, (…),  des émeraudes, des rubis » est associée à de simples « palets » qui servaient de jouets

Française et étrangère au sujet de l’utilité du commerce dans la Nation. Il manie aussi l’ironie ‘’je ne sais pourtant lequel est le plus utile’’. Enfin, Diderot commence par une définition de la cour qui semble objective qu’il transforme en faux éloge. Travail d’écriture Commentaire de texte Intro : phrase introductive en lien avec (le contexte, le genre, le registre) Au 18ème siècle, le genre épistolaire ainsi que le goût pour l’exotisme, l’étrange est à la mode dans la société française

mystérieux, paysage animé, atmosphère mystérieuse du voyage. -  « S'immobilise en grinçant » = personnification. -Présence de sons auditifs dans le texte - « arcade sourcilière » : précision du détail, person. du brigand - côté voyage initiatique, éloge du voyage même si ambiance particulière. - « L'éternel passager » l.7, se réfère aux lignes 17,18,19 avec « Et l'on devient […] celui qui déjà nous attend à l'arrivée - « Un chapelet de gares » qui signifie la succession de gares, chaque arrêt peut

et son riches alors qu'ils sont inutiles la société >< Le peuple doit beaucoup travailler pour avoir un peu d'argent. - Valeur du mariage par l'Eglise >< célibat des prêtres (chasteté) --> dépeuplement Voltaire (Candide) - Se moque de la philosophie optimiste. - >< au fatalisme - Candide a un précepteur optimiste : Pangloss (Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes) - 2 maux : naturels (tempêtes) et humains (guerre, fanatisme) - Solution : arrêter les discours et agir (après avoir observé

Voltaire de réaliser une éloge de la Providence. De cet extrait ressort alors les idées voltarienne mais aussi celles des Lumières. En effet, le déisme prôné par Voltaire est mis en avant dans l'extrait, et une question sur l'existentialisme est posée. Nous avons donc au final une vision optimiste de la Destinée. Cette vision optimiste de la destinée adoptée par Voltaire dans Zadig, reprise de la philosophie de Leibniz, peut sembler alors surprenante face au célèbre conte de Candide ou l'Optimisme, publié

« Progrès de l'esprit de l'Ingénu », du conte philosophique de Voltaire, Jean-François Arouet de son vrai nom, L'Ingénu (1767) - Voltaire est un philosophe des lumières, auteur de plusieurs contes philosophiques, comme Zadig (1749), Micromégas (1752) et Candide (1759) ainsi que du Traité sur la tolérance (1763), entre autres. Il est contemporain des encyclopédistes Rousseau, Diderot et d'Alembert. - Ce conte relate l'histoire d'un jeune Huron, surnommé l'Ingénu « parce qu['il] di[t] toujours naïvement ce

considère comme des envahisseurs. Puis il s'adresse à Bougainville avec mépris, il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait à cette occasion, un portrait machiavélique des Européens. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage, naturelle. De fait, nous allons étudier comment Denis Diderot, à travers ce conte, condamne la civilisation européenne au profit de celle des tahitiens. Pour ce faire, Il nous fait part dans un premier temps, des méfais de la