éloge De L Amitié

 de  se  réconcilier  avec  le  Coadjuteur.   Référence  à  Mme  Robinet.  Aventure  de  M.  Busche.     13.  SA  FILLE,  11  février     Ê Plainte  à  cause  de  la  lettre  manquante.  Eloge  du  style  de  MdG.  Douleur  de  la  séparation.   Ê (le  soir)  Arrivée  de  la  lettre  =  rire.  Ne  pense  qu’à  elle.  Mention  de  sa  petite-­‐fille,  Marie-­‐Blanche.     14.  SA

des habitants ils lui érigent une statue alors qu’ils sont conquis + statue normalement pour les morts. « travaux de réfection et élargissement du port » sont impliqués + port symbole d’échange. * éloge de l’armée : «travaux de génie» , éloge des commandants (superlatif) de la discipline, éloge des nouvelles méthodes utilisées * importance de la culture : Xénophon mis en valeur (philosophe), «combien tu t’intéresses» (hyperbole qui flatte sa curiosité), interroge les hits sur des légendes

jusqu’à ce qu’ « elles se mêlent et confondent l’une en l’autre» à la ligne 3. Il a une vision moins rationnelle et pour lui une amitié entre individus n’est pas qu’un simple rapprochement mais une fusion de leur âme. Montaigne voit l’amitié comme étant dirigée par le destin lorsqu’il évoque la présence d’une « force inexplicable et fatale » à la ligne 8. L’idée d’une amitié prédestinée revient tout au fil du texte, comme on peut l’observer des lignes 10 à 12, Montaigne parle d’une « ordonnance du ciel

silence est possible. Tahar BEN JELLOUN (Eloge de l'amitié. Paris, Arléa, 1996, p. 9) *     *     * L'amitié ne rend pas le malheur plus léger, mais en se faisant présence et dévouement, elle permet d'en partager le poids, et ouvre les portes de l'apaisement. Tahar BEN JELLOUN (Eloge de l'amitié. Paris, Arléa, 1996, p. 84) *     *     * "Toujours présente, jamais pesante", telle devrait être la devise de toute amitié. Tahar BEN JELLOUN (Eloge de l'amitié. Paris, Arléa, 1996, p. 110) *    

chevalier servant, et ils se mariaient ; et s'ils avaient bien vécu à Thélème en amitié de coeur, ils continuaient encore mieux dans le mariage, et ils s'aimaient autant à la fin de leurs jours qu'au premier jour de leurs noces. Intro : Ce texte un est un extrait du livre « Gargantua » écrit en 1532 par Rabelais. (Description rapide de l’auteur avec ses œuvres et du livre avec son contexte) Développement : (idées) Eloge du mode de vie que Gargantua avait imposé aux moines qui se caractérise surtout

choque tant l’homme vaillant que la monotonie et l’ennui». Cela me fait penser au principe de la distanciation que Thoreau apporte dans le principe d’une bonne et longue amitié de deux personnes. Lors d’une bonne amitié, l’éloge de la distance est très important afin de ne pas avoir de la monotonie qui s’installe entre les amis. Cet éloge qui provient de la logique du manque est facile è comprendre; Lorsque deux personnes sont trop souvent ensemble cela peut causer un étouffement dans certain cas, à l’une

Il existe trois types d’amitié. Premièrement, il y a l’amitié qui nait des liens du sang, les parents et les enfants, les frères et sœurs, les cousins et cousines, les oncles et tantes etc. En second lieu, il y a l’amitié d’enfance, les amitiés qui se sont formées à l’école, les voisins, les membres d’une équipe, d’une organisation quelconque, les camarades de travail. En fin, celle que l’on provient spontanément, qui découles de toutes nouvelles rencontres. Elle existe pour de trois raisons

péjorative, la plus restrictive de l’amitié. Il pense que l’amitié n’est qu’un « drame inapparent »,  « un pacte », « une convention », «une espèce d’alliance», «un jeu». L’écrivain du XXe siècle oppose la franchise, la vérité avec la véritable amitié. Il pense aussi que l’amitié est stérile, sans intérêt ; on le remarque grâce aux oxymores « dialogue muet » et «  drame inapparent ». Comme Cioran La Rochefoucauld dans Maximes publié en 1678, explique avec que l’amitié est un échange limitatif

s’inspire de ses propres expériences pour écrire ses essais , dont l’essai I, chapitre 28 «de l'amitié» écrit en 1580, qui s'inspire de l'amitié qu'il a eu avec la Boétie , rencontré au parlement de Bordeaux lors de sa formation juridique , c'est une amitié qu’il considéra comme un mélange de deux âmes pour ne former plus qu’une . A la mort de la Boétie , il se retire dans sa bibliothèque , ou il commencera a écrire l'histoire de sa vie . «De l'amitié» nous porte a réfléchir sur la singularité et la

il réussit le pari de la scolarité non spécialisée avec l’aide de ses parents en étudiant dans une école de commerce. Il se tourne ensuite vers la philosophie où il obtiendra une licence à l’Université de Fribourg en Suisse en 2004. Il a publié l’« Eloge de la faiblesse » en 1999 qui a été bien accueilli par le prix Montyon de littérature et de philosophie ainsi que le prix Mottart de l’Académie française de soutien à la création littéraire. Il a été mis en scène en 2007 par Charles Tordjman au théâtre