éloge Du Chien

homme ordinaire ! tandis que moi, morbleu ! ». Elles montrent ainsi la colère de figaro & entraine par ailleurs une accélération dans le rythme de ce monologue. Figaro nous montre aussi sa colère par des expressions familières, « morbleu », « chiens de chrétiens ! », « Pou-ou », « bonnes gens ». On s'aperçoit aussi l'émotion de Figaro lorsqu'il parle & réfléchi, on remarque alors à plusieurs reprises des interruptions dans le discours représentées par des points de suspension, « un grand

consistant à entrevoir de façon évidente que le sens du monde repose sur des conventions que rien ne justifie Un général dans la bibliothèque *emprunte les traits du conte : un jour, un beau matin Lieu : La Pandurie (imaginaire) Personnages stéréotypés Eloge de la littérature et de l’apologie Proust : « miracle fécond d’une communication au sein de la solitude » Général Fedina, bibliothécaire Crispino, soldat Barabasso (le plus instruit) Lieutenants comparés à des échalas (bâton pour éduquer) La pancarte

existé, et a été endurée, par certains détenus, durant de très longues années. Dès leur arrivée, les prisonniers sont accueillis violemment et tout est mis en œuvre pour les humilier et les terrifier (dispositif de sécurité, coups, hurlements, chiens…). Les arrivants sont conduits dans des blocks. Là, chacun dispose de 50 centimètres de châlit. Les vols entre détenus sont fréquents dans ces véritables cours des miracles. La plupart des détenus sont atteints d'une dysenterie (une diarrhée

exigences de la terre, car pou la travaillé il faut que le paysan fournisse un certain effort. Mais outre le développement du corps humain, l’agriculture « contribue aussi à développer le goût de la chasse en donnant des facilités pour nourrir les chiens, en nourrissant de surcroît le gibier » l14-15 la chasse domaine des plus riche permettait d’avoir du gros gibier. Cependant en nourrissant le gibier, la terre nourrit aussi l’homme qui le chasse. Donc la chasse apporte un appoint en plus dans l’alimentation

s’ intéresser à l’ oeuvre , de lire le texte « pas un ( prince mahométan) ne sait lire », sans aucune justice puisqu’ ils s’ autorisent sans aucun problème ce qu’ils font subir aux autres : « et qui nous meurtrissent l’ omoplate en nous disant chiens de Chrétien ! ».( Injure , blessure). On notera que Beaumarchais évoque l’ attitude des censeurs orientaux pour évoquer les censeurs français pour lui même éviter la censure !! Il se lance dans un accumulation ironique des pays offensés par

se faire innocenter), assurée par des gens incompétents et qui ne savent juger que sur les apparences et non sur les faits (Zadig est injustement accusé de vol alors qu’il a tout simplement déduit de façon logique comment étaient le cheval et la chienne).   -         La recherche de la vérité et du bonheur : pendant son périple, Zadig s’interroge souvent sur les circonstances qui pourraient mener au bonheur, surpris que les bonnes actions ne soient pas toujours récompensées, bien au contraire.

hyperboliques avec la taille renforcée par l’antithèse avec la Terre : « petite fourmilière », « tas de boue », « petite Terre ». --> Un statut social -> On a « j’ai l’honneur de connaître » ou encore « son excellence » -> Eloge de Micromegas, on le compare avec Euclide : « plus grand qu’Euclide » Les caractéristiques de Micromegas le rattachent au merveilleux mais son esprit et son intelligence en font de lui un idéal des Lumières. III- Une portée critique

classe sociale est véritablement critiquée par Molière. En effet, il met en scène (Acte IV scène 3) un commerçant, M. Dimanche, créancier de Dom Juan et Sganarelle. Usant d’hypocrisie et de familiarités, le héros en va jusqu’à demander des nouvelles du chien et coupe systématiquement son invité à chaque début de répliques. Le bourgeois semble alors effacé devant le noble. De plus, lorsque Dom Juan quitte le commerçant, Sganarelle joue le même rôle pour éviter de payer ses dettes. Pour ce qui est de

l’homme, sa capacité à utiliser son esprit pour comprendre le monde. Mais Rabelais cherche aussi à dépeindre l’homme tel qu’il est. C’est pourquoi il utilise le langage quotidien « Car vous dites vous-même que l’habit ne fait pas le moine », « Nom d’un chien ! ». Il abolit la séparation entre l’écrit et l’oral. Rabelais donne l’impression d’entrer en dialogue avec le lecteur, comme en témoigne l’utilisation de la 2ème personne du pluriel : « c'est à vous, à personne d'autre que sont dédiés mes écrits. »

Langues et littérature française TDPhillipe Soupault est un auteur ayant été exclu du surréalisme en 1926. Le roman Les dernières nuits de Paris est publié en 1928. Officiellement, il ne fait plus partie du mouvement lorsqu’il écrit le roman mais considère qu’il possède une liberté, une autonomie.Soupault est une personnalité très libre ; le roman fait à la fois partie du surréalisme, il s’en revendique mais prend en même temps ses distances avec le mouvement. Déjà le fait d’écrire un roman est