éloge Du Chien

prose dans lesquels peuvent figurer des animaux accompagnés d’une moralité. L’histoire fictive permet de délivrer un enseignement. La Fontaine est un moraliste, c’est quelqu’un qui cherche à réfléchir, à gouverner sur notre vie (« Le Loup et le Chien » : jusqu’à quel point doit on sacrifier sa liberté pour avoir un certain confort dans le choix professionnel). Cet auteur classique propose une moralité, une réflexion qui est universelle. La moralité dans une Fable peut-$être soit implicite, soit

le peintre-psychologue Jean Luc Auber10, « la création exprime une demande affective, une demande d’amour… une demande à l’autre pour qu’il la perçoive, qu’il l’accepte, et s’il l’accepte c’est la preuve qu’il vous aime ». 9 10 Michel Foucault. Eloge de la folie à l’âge classique. Livre de poche. Jean LucAuber. Séminaire sur la création. Mars 1970. Compte rendu hors commerce. 11 La différence entre la création artistique et la recherche d’idées tient au fait que la création artistique répond

principale: Les Fables. Les 240 fables écrites par Jean de La Fontaine ont été publiées en 3 recueils, comprenant chacun un nombre variable de "Livres", regroupant eux-mêmes un nombre variable de "Fables": - Livre I La Cigale et la Fourmi Le Loup et le Chien Le Corbeau et le Renard Les deux amis: INTRODUCTION La fontaine est un poète français du 17em siècle dont la production littéraire est d'une grande variété même si ce sont ses fables qui lui apporteront la considération. Inscrit dans le Classicisme

excellence, qui fait le choix d’une vie courte mais éclatante dont le kleos retentit jusqu’à aujourd’hui, ce au détriment d’une vieillesse tranquille, peut-être heureuse. Dans ce poème, les femmes n’ont qu’une place limitée : Hélène à face de chienne, dont l’adultère est cause (du moins symbolique) du massacre; Andromaque l’épouse et jeune mère éplorée, qui voit partir Hector en sachant que, bientôt, il sera mort et elle, amenée; Briséis, la princesse esclave, au coeur de la querelle entre

». Il s’agit d’un sonnet tiré du re- cueil Les Délices de la poésie Française aux caractéristiques classiques : utilisation d‘alexandrins, disposition des rimes ABBA ABBA ; CCD EDE et présence d’une chute au dernier vers. - Les Thèmes(s) : amour, éloge de la beauté féminine à travers un symbole. - La situation d’énonciation : L’énonciateur est l’auteur, que l’on remarque seulement à la quatrième strophe avec le pronom possessif « ma » (v.13).Pendant les trois pre- mières strophes, Malherbes emploie

pas valeur de conditionnel mais plutôt de cause/conséquence.Frère Jean ne se conduit pas non plus en chevalier : voir les énumérations de verbes comme « écrabouillait » (niveau de langue familier ) + comparaisons : « comme des porcs », « comme à un chien » > combat dont l’honneur est complètement absent.Tout sauf un combat chevaleresque par l’utilisation du vocabulaire médical : « débezillait les fauciles » : FJ assimilé à un chirurgien. La violence des combats perd sa réalité car difficile de

Vocab de la salissure → dégradation physique et morale de la nature et de la société. Nostalgie des campagnes exprimées dans cette strophe. Strophe 5 → Dernier vers = Triomphe de l’industrialisation Effet de disposition → 2ers vers sur la plaine, éloge, monde idyllique strophe 3 vers évoque le monde de son époque, un monde ravagé 14ème vers, triomphe de l’industrialisation, un monde effrayant, immense, formé d’usine rectangulaire, sans nuance, obtu qui n’existe pas dans la nature. Conclu : poème

d'une part le côté diurne, conscient, civilisé, habillé; d'autre part le côté nocturne, inconscient, sauvage, nu, bestial, primitif, la vie dans la forêt. cf. ± Doctor Jekyll et Mister Hyde. La faute de la femme: manque d‘amour. Le loup devient chien du roi. Dénouement: punition des traîtres: blessure symbolique au nez. Le loup-garou est-il guéri de sa lycanthropie? Lanval Cadre arthurien. Début: un des motifs traditionnels du conte féerique: au cours d‘un partage le héros est oublié.

beau… ». Il s’agit d’un sonnet tiré du recueil Les Délices de la poésie Française aux caractéristiques classiques : utilisation d‘alexandrins, disposition des rimes ABBA ABBA ; CCD EDE et présence d’une chute au dernier vers. - Les Thèmes(s) : amour, éloge de la beauté féminine à travers un symbole. - La situation d’énonciation : L’énonciateur est l’auteur, que l’on remarque seulement à la quatrième strophe avec le pronom possessif « ma » (v.13).Pendant les trois premières strophes, Malherbes emploie

c’était le signal du convoi d’Atala. Je chargeai le corps sur mes épaules : l’ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rochers en rochers : la vieillesse et la mort ralentissaient également nos pas. A la vue du chien qui nous avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant, bondissant de joie, nous traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue chevelure d’Atala, jouet des brises matinales, étendait son voile d’or sur mes yeux ; souvent