éloge Du Chien

plaint de sa solitude et d'être un incompris, "je ne suis soutenu par personne" (page 28), le prince est un personnage qui aime la solitude. Sitôt accomplies les obligations familiales ( le rosaire et les repas), il se promène seul, en compagnie de son chien, dans le jardin ou il se réfugie dans son observatoire. Il préfère les parties de chasse avec son fidèle compagnon Tumeo aux mondanités. Ainsi, le soir du bal chez les Ponteleone, il ne se sent pas à l'aise au milieu de ces nobles qui s'étourdissent

d’ecclésiastiques, des spécialistes de l’écriture sérieuse qui, en cette occasion, délirent et organisent la parodie du monde sérieux. Des intellectuels qui « déconnent » (cf les « conards de Rouen »). + réhabilitation par les humanistes du « rire » (cf Erasme, Eloge de la folie). -Or, un des personnages préférés de la littérature populaire du carnaval, c’est le « géant », dont le gigantisme permet de jouer avec l’ordre « normal » du monde. Les récits de géant se présentent comme des parodies des genres sérieux

Séance 2 Beaumarchais, Le Mariage de Figaro , dramatis personaePERSONNAGESLE COMTE ALMAVIVA , grand corrégidor d’Andalousie. LA COMTESSE , sa femme. FIGARO , valet de chambre du comte et concierge du château. SUZANNE , première camériste de la comtesse, et fiancée de Figaro. MARCELINE , femme de charge. ANTONIO , jardinier

lui indiqua que ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas mieux que ce qu'avait fait Cosrou. Chapitre III : Le chien et le cheval : Peu de temps après, Zadig se sépara d'Azora( trop nocive pour lui) et partit à la campagne pour étudier la faune et la flore. Un jour qu'il se promenait, il fut interrompu par un eunuque ( gardien du Sérail, castré) qui lui demanda s'il avait vu le chien de la reine. Zadig décrivit l'animal dans les moindres détails, mais affirma qu'il ne l'avait pas vu. Au même instant

Inscription tirée deBoissard, Avertissement, Oeuvres diverses, Pléiade, p. 769. Voir l'Homme et son image, I, XI. Voir l'épilogue du Second Recueil, vers 1. Adonis, Oeuvres diverses, p. 8. Le Loup et le Chien est apparemment fable de rupture. Le Loup refuse d'aller habiter près du Maître du Chien, ce qui lui aurait pourtant évité d'étre maigre. Malgré les "caresses", les "reliefs" de repas, et toute la "félicité" annoncée, il préfère "courir encor". Il rompt. Sa fable rompt, du même coup, avec la

comme bonjour. (…) Un soir, au Châtelet, passant dans le couloir après Parade (la salle continuait à se battre), j'entendis un monsieur qui disait à l'autre: "Si j'avais su que c'était si c… j'aurais amené les enfants." Brave homme! Voilà le plus bel éloge."[17] L'opinion de Cocteau sur "les publics" qui "ne constatent ni avant-hier, ni hier, ni aujourd'hui"[18] est dès lors largement diffusée dans les livres et articles qu'il publie. En 1920, à l'occasion de la reprise de Parade, il prend ses dispositions

et l'extérieur tandis que les filles sont centrées sur la passivité et l'intérieur. Les garçons n'apparaissent à l'intérieur que pour le bricolage. Lorsque les jouets des filles sortent de l'intérieur, c'est pour faire les courses, promener le chien... 4) Jouer avec et jouer contre: coopération féminine et compétition masculine Le monde des jouets pour garçons est avant tout une question de compétitivité, ils doivent être capables de "maîtriser et dominer ». Le monde des jouets pour filles

« nonchalante et cynique » et son esprit produit des « exhalaisons » que sont les poèmes. cyniqueadjectif et nom (latin  cynicus,  du grec  kunikos,  de  kuôn, kunos,  chien) · 1.  Qui avoue avec insolence, et en la considérant comme naturelle, une conduite contraire aux conventions sociales, aux règles morales ; qui manifeste du cynisme : Un être cynique et immoral.

brouillard autour de lui. Sur le thème de l’hospitalité elle n’est pas innée chez la population, puisque il y a « un racisme de l’étranger » P113 « nos rois, enfants de Zeus » Modernité de l’auteur c’est une femme qui gouverne (bonne et respectée) P114 chiens en or qui ne vieillissent jamais + grande richesse du palais + abondance de nourriture surréalisme Phéaciens : peuple riche, spécialisé dans les navires, noble de pensé, beauté du paysage, abondance de la nourriture, peuple généreux = don de dieux

de ta bouche » Strophe 9 : retour sur le poète ex : « je crois boire un vin de bohème » Le regard du poète se déplace sur le corps de Jeanne avec un glissement du général au particulier puis de nouveau au général ; Baudelaire fait alors un éloge du corps et de l'être entier de son amante. Ce poème est également une invitation au voyage et à l'exotisme puisque Baudelaire l'idéalise complètement ; il parle d'ailleurs de « sa » métisse en employant des mots rappelant l'ailleurs : « âcres parfums »