élévation Au Grade De Maitre

En l'an 1214 de l'Hégire Cheikh Ahmad Tidjâni atteignit déjà le rang de « Khoutbanyatul-usma » et le 18ème jour du mois suivant (safa), il fut hissé au grade suprême que le Très Haut lui a réservé de toute éternité et qui couronne ses efforts : le « makhama Katmiya » ou « Khatmiya » pour signifier que c'est le stade qui clôt la sainteté. Ce grade, qui n'a jamais été décerné à aucun saint avant et ne le sera plus après lui, le place au sommet de la pyramide des saints de tous les temps jusqu'au Jugement

pour un FM c’est recevoir un enrichissement intérieur, une évolution, une élévation après une Tenue riche d’idées, d’échanges, de partages durant laquelle chaque coups de maillets et ciseaux de tous les M présents qui ont participé à cet enrichissement, ce nouveau morceau d’architecture. Cela ce trouve dans le Rituel du 2nd degrés qui par des réponses à des questions nous donne un premier élément : LE VÉNÉRABLE MAÎTRE Nous allons donc clore les Travaux au 2ème degré. F2nd Surveillant,

LA RECHERCHE DE LA VERITE EST-ELLE UNE FIN EN SOI ? C’est le titre de la planche que j’ai l’honneur de soumettre à votre appréciation pour mon élévation au 12è degré du Rite Ecossais Ancien et Accepté de la Franc - Maçonnerie. La Franc - Maçonnerie au travers des rituels de différents grades enseigne la Vérité. Les règles de la Franc - Maçonnerie sont édifiées sur LA LIBERTE, L’EGALITE ET LA FRATERNITE et n’imposent aucune limite dans la recherche de la vérité. C’est pourquoi le Franc

celui qui n’a de repos que lorsque son chef d’œuvre abouti, par cette tendance à la perfection ne doit pas tendre vers un honneur ou une vanité déplacée qui aurait pour conséquence  par exemple, le récit de Mme de Sévigné sur la tragédie de Vatel, maître d’hôtel de l’intendant Fouquet. Pour le spéculatif cela sera plutôt l’étude intellectuelle, voir philosophique, initiatique et spirituelle qui vise à l’élévation de son intellect. Le rituel du second degré  souligne que le travail constitue

question qui se pose encore et toujours c’est : « Et tout ça pour quoi faire ?… » Pourquoi suis-je devenu F(Maç(  ? Quelle désir ai-je pour la F(M(, pour notre atelier et enfin et surtout pour moi-même ? Comme disait le philosophe : « Maître de l’univers sans l’être de moi-même, je ne suis que l’ombre de l’âme humaine ». Venir en L( ne suffit pas, encore faut-il y être. Le rituel en cela nous le rappelle, puisque nous avons laissé nos métaux à la porte du temple et que nos regards

suivant l'activité: compagnie de soldats, de C.R.S., d'assurances ou maritimes etc. L'objectif est à l'opposé de cette planche. Etre un bon compagnon veut dire aussi, celui qui travaille bien. De tout temps, n'était considéré comme compagnon par son maître et plus actuellement par son employeur entrepreneur ou artisan, celui qui après quelquefois un long et laborieux apprentissage est arrivé par ses qualités de travail, d'assiduité, d'expérience, à assumer seul un travail commandé, jusqu'à sa réalisation

retour, par un billet, à servir son maître en toute occasion comme un bon domestique ; puis le ministre se borne, en s'éloignant, à donner au nouveau seigneur, qui ne comprend rien aux intentions de son maître, un seul ordre: plaire à la reine et s'en faire aimer.   Les vœux de Salluste ne tardent pas à se réaliser. Les circonstances favorisent la fortune de Ruy Blas ; la reine l'élève aux plus hautes dignités et en fait son ministre d'État.   Cette élévation rapide excite l'étonnement et la jalousie

gauche et je lis le nom des cinq ordres d’architecture sur la colonnette force. Le Toscan, le Dorique, l’Ionique, le Corinthien et le Composite. Ces ordres en architecture déterminent les proportions et l’ornementation de toute partie construite en élévation. Dans ce voyage je perçois que l’architecture représente la seconde étape de mes études. L’étude de cet art doit faire sentir à chacun, le soin qu’il doit apporter à l’ornement du temple que nous voulons élever à la gloire du Grand Architecte

maladie, les plaies dont souffre Job rappelle la putréfaction, la mort du « Viel homme ». Symboliquement, c’est la désagrégation du corps permettant à l’âme de rejoindre sa source.  C’est le principe fondamental de l’Initiation. L’illustration du grade d’apprenti a travers les discours de job et ses 3 amis Au chapitre 2 apparaissent les noms des amis de Job, Eliphaz signifie "mon Dieu est l'or qui brille", Bildad, "sans tétons, plat", Tsofar, "ergoteur", puis plus loin au chapitre 32, apparaît

« L’Albatros », il est comparé à un oiseau mais pas n’importe lequel un oiseau majestueux : « prince des nuées », « ailes blanches », signe de pureté et d’innocence. La fonction du Poète est aussi engagée dans « Elevation » où il se place dans un sentiment de supériorité : « au-dessus », « par-delà ». Le Poète semble dépasser les limites posées. Dans « L’Albatros » , le Poète apparaît en contradiction avec le monde humain :