épargne Et Investissement Chez Keynes

ses besoins. Selon les néoclassiques, le partage du revenu entre consommation et épargne relève de la même logique du moment où l’épargne est un placement d’une partie de revenu à un prix (taux d’intérêt) de façon à l’accroître dans le futur pour pouvoir acheter plus de biens ultérieurement. Les choix de consommation sont un arbitrage entre des biens dans le présent, alors que le choix entre consommation et épargne est un arbitrage entre des biens dans le présent et des biens dans le futur. Ainsi

L’investissement contribue àla création du capital fixe. Les investissements des entreprises mais également de l’Etat et des ménages, se présentent sous multiples facettes. L’investissement est souvent lié à des innovations qui incitent les agents à modifier les techniques de production. A/ Les formes de l’investissement : Immatérielle Matérielle / immatériel Investissements matériel : Comprend les biens durables destinés à la production. Investissement de capacité : L’objectif est d’augmenter les capacités

l’individu. C’est pourquoi l’économie s’interroge sur l’accumulation des richesses qui parfois est encouragée par l’Etat. Le point de départ est le besoin économique qui se définie comme un manque comblé par la consommation donc la production de B & S. Keynes différencie 2 catégories de besoins: Ceux qui possèdent un caractère absolue quelque soit la situation de l’individu (besoin primaire) Ceux qui ont un caractère relatif et que l’on éprouve au contact des autres Il y a une grande différence entre

l'étalon-argent. En effet, l'augmentation de la circulation d'or garantit l'encaisse or des banques centrales et garantit la masse monétaire. Elle provoque une hausse des prix car on peut créer de la monnaie (donc hausse des prix). Cela va favoriser les investissements et toute l'activité économique, donc l'or apparait comme base d'une nouvelle croissance. C'est le cas en 1848 avec les découvertes de gisements d'or en Californie avec le golf rush mais aussi en Australie. Cette découverte provoque le deuxième

donc à moyen et long terme sur l’économie. Elle ne peut se produire sur du court terme. MOUDIYNE SAMIA TD 1222 A. La Théorie Keynésienne 1. L’effet du taux d’intérêt Le taux d’intérêt correspond au prix à payer afin de renoncer à la liquidité. Pour Keynes, quand le niveau des prix baisse, le besoin des ménages en liquidité pour satisfaire leurs dépenses est de moins en moins important. Disposant d’un statut d’agents passifs, ils ont tendance dans cette situation à placer leur monnaie excédentaire dans

banques ont-elles aussi relevé leur taux d’escompte  contraction du crédit  chute de la consommation. • Mondialisation de la crise : au départ crise américaine. EU = 1er investisseur en Europe donc la crise a entrainé un retrait massif des investissements américains  faillite de banques et entreprises européennes  généralisation de la crise à l’Europe : - 1ère vague : Allemagne et Autriche car pays fortement dépendants des crédits américains suite au remboursement de leur dette due pour la 1ère

Les tenants du mercantilisme prônent le développement économique par l'enrichissement des nations au moyen d'un commerce extérieur convenablement organisé en vue de dégager un excédent de la balance commerciale. Résultat qui est obtenu par un investissement raisonné et volontaire dans des activités économiques à rendement croissant, comme l'avait identifié l'économiste italien Antonio Serra dès 1613. Pour ce faire, l'État se trouve investi de la responsabilité de développer la richesse nationale

objectif d’assurer le financement des services publics. Le volume des dépenses de l’État n’était alors pas considéré comme une variable susceptible d’influencer le niveau d’activité de l’économie. L’analyse de l’économiste britannique John Maynard Keynes a modifié cette conception en soulignant l’impact de la politique budgétaire sur le niveau d’activité économique d’un pays. Par conséquent, la plupart des pays développés ont mené depuis les années 1930 des politiques de relance budgétaire lors des

auteurs néo classiques vont faire la théorie du fonctionnement idéal des marchés Cet approche en terme de circuit économique sera redécouverte par Keynes au début du XXème , parce que l’analyse en terme de circuit est une analyse de la manière dont les agrégats : c’est une valeur économique représentative et global (consommation des ménages et investissements des entreprises , le PIB) , se forment et comment ils s’équilibrent entre eux . C’est généralement ce qu’on appelle une approche macroéconomique

L’analyse microéconomique /macroéconomique 3.3 Approche positive /normative Section III. Les différents courants de la pensée économique 1. Les économistes classiques et l’émergence de la science économique 2. Les néoclassiques 3. L’économie chez Marx 4. L’analyse keynésienne Chapitre II : le marché et la formation des prix Section1- L’analyse du marché I. La notion de marché 1. La fonction d’offre 2. La fonction de demande II. Les différents types de marché