épargne Et Investissement Chez Keynes

considéré comme le père fondateur de la microéconomie : elle concerne aujourd’hui le comportement des agents économiques. La macroéconomie concerne les résultats globaux de l’économie. Elle n’est apparue sous sa « forme moderne » qu’après 1936, lorsque Keynes publie son principal ouvrage intitulé Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. L’économie met en scène un système complexe d’acteurs économique dont chacun peut remplir des fonctions multiples (producteur, consommateur, emprunteur

l’équilibre ? Equilibre général : économie de marché où les prix s’équilibrent en fonction de l’offre et de la demande, notion d’autorégulation découverte par Walras en 1974. Ces notions sont disponibles à l’économiste pour savoir où nous allons. Keynes : équilibre global. Tout cela explique quel est l’objectif. Quel est le souhaitable en terme de structure de marché ? La concurrence. L’équilibre le plus souhaitable c’est la CCP. Lorsque nous nous trouvons en dehors de ces situations de concurrence

d'investir c'est-à-dire d'acquérir du capital fixe. 2. L'investissement en France a augmenté. 3. Tony, vu sa contrainte budgétaire décide d'acheter un DVD en plus. 4. La consommation totale de DVD dans la zone euro a augmenté de 5% ce mois-ci. Keynes est à l’origine de la pensée macro en économie. La compta nat est donc un outil d’inspiration keynésienne. comment la comptabilité nationale permet de renseigner les pouvoirs publics sur les possibles sources de déséquilibres macro ? 1- Qu’est-ce

dégager un grand nombre de directives, règles ou programmes d’actions relatives aux finances publiques. La réflexion des mercantilistes est à l’origine focalisée davantage sur les problèmes fiscaux. Mais, cela n’empêche pas de dire qu’on trouve chez ce courant tous les germes d’une pensée financière moderne. D’abord, la statistique est considérée comme nécessaire pour mieux connaître le potentiel fiscal, tient une place importante. Ensuite, l’impôt doit être juste et ne pas entraver l’activité

deux : le poids des affects. Dans sa construction, à l’origine, on n’en était pas au produit social soviétique CAD qu’on n’excluait pas tous les services mais on excluait les services non marchands. Cette approche remonte bien sur jusqu’à Karl Marx. Chez Karl Marx, la notion d’exploitation est centrale : il y en a qui vivent avec le travail des autres. Dans certains cas c’est légitime dans d’autres non. Par exemple l’enseignant devra vivre avec le travail des autres car il ne produit rien. Le bourgeois

Explication fondé sur le rôle de la monnaie). —Comme les néoclassiques, c’est un libéral mais refuse l’idée que la monnaie puisse être neutre, Friedrich Hayek, par ailleurs il privilégie une lecteur incertaine de l’économie (comme Keynes, tous les deux sont bien poteaux, Keynes plus écouté à l’époque faisant ombrage à Hayek, ce dernier est à l’origine de l’association du Mont Pèlerin) —Keynésiens. Conteste radicalement que la monnaie puisse être neutre. 1 sur 24 Pk controverse, pq pas de consensus

chantier du Métropolitain (métro1) sur Paris par exemple. 1929 crise économique, on prend conscience que la théorie néoclassique n’a pas été capable de l’anticiper. Après cette crise, émergence dans les années 30 de la théorie keynésienne (John Maynard Keynes) et mise en place de ses applications dans cette économie. On voit donc une profonde évolution entre 1615 et 1950 des théories économiques, compréhensible entre autres, par le changement des économies elles-mêmes. 1.Mercantilistes 2.Physiocrates /

courants économiques, l’élément clef qui génère une croissance continu n’est pas le même. Chez les classique l'investissement agit sur la demande grâce au multiplicateur d'investissement est une fonction de la demande anticipé. L'investissement va être stimulé par une hausse de la demande donc une hausse de la consommation qui va être influencé par une politique de baisse de taux d'intérêt. Moins on épargne, plus on consomme donc l'Etat doit influencer l'investissement par une politique de baisse

celui de l'investissement → rapport K/investissement. + Capital = stock qui permet de produire, il est lié à un flux : l'investissement. Les possesseurs de Kx vont devoir faire des avance (= l'investissement) pour permettre à l'entreprise de produire. Le désir d'enrichissement est la condition de l'accumulation du K nécessaire à la production. Les revenus de la société sont tributaires de cette accumulation, elle n'est pas détruite mais enrichie => ce désir = épargne = vertu. Quesnay n'applique ce concept

des revenus. Très souvent, cette épargne est faite en prévision d’un investissement futur (l’acquisition d’un appartement ou d’une maison), ou de l’achat d’un bien de consommation durable coûteux (automobile…).de macde macde macde macde macde macde macde macde macde macde macde mac• Pour les entreprises, l’épargne brute est la partie des bénéfices après impôts qui n’est pas distribuée aux actionnaires. Cette épargne permet l’autofinancement des investissements et de l’amortissement • Du point