épargne Et Investissement Chez Keynes

L’instrument retenu pour servir de monnaie doit pouvoir remplir une 3ème fonction : celle de l’épargne. Cet instrument reconnu permet également aussi de préserver les parts et d'épargner (réserve de valeur). Ces 3 fonctions (étalon, transaction, épargne) remontent à Aristote (-384 av JC ; -322 av JC). C'est aussi un instrument de pouvoir : on peut acheter le travail, le silence.. èLa monnaie bien qu'étant un instrument de mesure de la valeur, elle ne permet pas pour autant de résoudre le problème

affecter la croissance. A première vue on peut identifier les facteurs primaires de la croissance, qui sont le travail et le capital auxquels on ajoute le progrès technique. Les facteurs primaires de la croissance : - le capital : représente les investissements net définies par la comptabilité nationale sous le terme de FBCF (Formation Brute du Capital Fixe), se sont à la fois les actifs physiques (matériel, bâtiment,…) et les actifs immatériels (logiciels, brevets …). - Le travail : la main d’œuvre

l’arrivée du capitalisme comme le résultat du comportement des riches et par un rapport particulier au travail. Chez les protestants, il y a une idée de prédestination (aller au ciel ou non). Et la richesse accumulée est un indice de prédestination. On va passer de la consommation à l’épargne c’est-à-dire que les protestants ne vont pas tout dépenser mais épargner. Il est moralement positif de travailler. Or le travail n’a pas toujours eu cette connotation positive. En France

FICHE DE SYNTHESE : LA RELATION SALAIRE-EMPLOI CHEZ LES NEOCLASSIQUES ET J.M KEYNES Dans l'analyse classique, pour Adam Smith ou David Ricardo, le salaire est avant tout un salaire de subsistance (fonction du prix des denrées de première nécessité). Mais si les conditions économiques sont favorables aux travailleurs, ceux ci peuvent obtenir un taux de salaire (salaire de marché, résultat de la confrontation entre l'offre et la demande) supérieur au taux de salaire naturel qui lui correspond au minimum

Professeur : M. Silem Économie Générale & Comptabilité Nationale Lexique économique chez Dalloz L’économie politique chez Armand Colin (pages 1 à 269). L’économie contemporaine en 12 leçons chez Sirey Cours en ligne : Jean-Pierre Fitoussi, sciences politiques HEC Montréal Université de Genève HEC de Nantes pour la micro-économie Définitions : • La monnaie est une créance, c’est un équivalent général de toutes les marchandises dans une société donnée. • Le marché n’est pas un lieu

pouvoir d’achat. L’augmentation de la quantité de monnaie est à l’origine de l’inflation. La valeur de la monnaie dé pend de la quantité de monnaie qui circule. Keynes : - Approche incertain: la monnaie est un actif sans risque. Avenir incertain : pas de l’équilibre prix, pas flexible. Fonction de la monnaie chez lui : lutte, contre l’incertitude.(encaisse pré caution, encaisse spé culation) Né oclassique : - Avenir certain: la quantitéde monnaie est exogè la monnaie est

Aristote, or les physiocrates se mettent cependant à élaborer une réalité économique avec des circuits et sont donc les premiers considérés comme des économistes Section 2ème : Les grands courants de la pensée économique La réflexion éco apparait chez les philosophes grecs qui étudient l’éco domestique, la gestion de la cité. Au moyen-âge c’est la morale chrétienne qui inspire la pensée éco. Entre le 16ème et le 18ème siècle, les mercantilistes qui préconisent l’abondance d’or l’intervention

d’investir. Celle-ci dépend cependant de plusieurs facteurs dont un des plus importants est la demande anticipée que l’économiste John Maynard Keynes met en avant. En effet pour lui la décision d’investir chez les entrepreneurs dépend avant tout de l’anticipation de la demande. Cependant celle-ci est elle réellement suffisante pour savoir si leur investissement sera rentable ? Nous verrons dans une première partie que la demande anticipée et bel et bien un déterminant majeur dans la décision d’investir

demande globale(somme des demandes des consommateurs). Le px est parfaitement flexible car équilibre assuré par tâtonnement walrassien =>équilibre général (tte production achetée, ts ceux qui veulent travailler au px du marché st embauchés et tte épargne investie) : chômage forcément volontaire Qques cas où marché inefficient et besoin de l’Etat : biens collectifs, intervention pr casser les monopoles et prise en charge des externalités (répercussion d’un agent eco sur un autre agent sans compensation

imparfaite Sur le plan théorique, on peut montrer que tant l'existence de biens publics que celle de monopoles naturel engendrent des externalités : - produire un bien public c’est engendrer des externalités positives chez tous ceux qui le consomment sans l’avoir payé ( et on ne peut les en empêcher, par définition.) - un monopole naturel non régulé fait payer trop cher les biens qu’il produit, exclut les plus pauvres de la consommation et engendre donc ainsi