épargne Et Investissement Chez Keynes

certaines questions économiques, en| | | |particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine| | | |mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment qu’il s’agit là de conceptions fondées sur le bon | | | |sens. | | | |Nous étudierons le mercantilisme à partir

intéressés à certaines questions économiques, en particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment qu’il s’agit là de conceptions fondées sur le bon sens. Nous étudierons le mercantilisme à partir de quatre thèmes : l’époque, la doctrine, les variantes nationales et les critiques des mercantilistes tardifs. La période mercantiliste se

place pour l’Etat chez Adam Smith, dans la richesse des nations?.....................15 1.4 L’Ecole historique allemande une approche organique de l’état.....................................16 1.5 L’Analyse Marxiste l’Etat comme instrument de la domination capitaliste................16 Section2–Les analystes contemporains XX° siècle.........................................................................17 2.1 Justification macroéconomique de l’intervention publique chez Keynes ..............

pollue, épuisement des stocks. | Innovation d'approvisionnement | Pas chère | | Nouveaux débouchés | | | A) Les 5 types d'innovation recensé par Schumpeter : ♣ Les innovations de produits : cuisine, chèque, épargner à la place de thésauriser, automobile, supermarché ( carrefour), vacances de masse => C° de masse, infrastructure → Y endogène qui repose sur l'État. Créer de nouveaux produits pour : gagner des part de marché → avoir la monopole et la rente

revenus et l’utilisation partielle du revenu, elle permet donc de constituer une épargne, et de pouvoir faire face aux imprévus de l’avenir, de procéder à des investissements, cependant lors des périodes d’inflation, la quantité de monnaie mise en réserve perd progressivement son pouvoir d’achat au fur et à mesure que les prix augmentent. Pour se prémunir contre ce risque, les agents économiques placent leur épargne dans un actif réel : Terrains, Œuvres d’art… Et dans des actifs financiers : Actions

suppose la science éco. En effet d’après l’économiste Indien, Armatya Sen les acteurs rationnels sont en réalité des « rational fools » (des comportements imprévisibles dans leur globalité) Ex : Durant la crise actuel les Français n’ont jamais autan épargnés. Tout est donc question d’appréciation. Les phénomènes éco n’ont de sens que par des référents, il ne faut donc pas se limiter à une présentation journalistique des phénomènes économique. De fait, cette partie est éludé car on ne sait pas mesurer

classique) et plus tard de Keynes. Selon Malthus, la production des biens et services dans une économie crée un flux de revenus qui sera égal à la valeur de la production, mais cela ne veut pas dire que la dépense totale serait égale à la production totale (puisqu’une partie du revenu peut être épargnée), ce qui pourrait entraîner une insuffisance de la demande, l’accumulation des stocks et une diminution de la production et donc du chômage. Cette critique sera reprise par Keynes. II – L’épargne (S)

population économiquement improductive, c’est-à-dire les enfants et les vieux. Cette opportunité est désignée dans la littérature économique par « le dividende démographique ». Correctement exploité, ce dernier aurait dû permettre au pays de redresser son épargne, d’apurer sa situation extérieure et de capitaliser pour préparer le futur qui devrait voire la part de la population improductive augmenter de nouveau en raison du vieillissement. Deux causes, liées entre elle, ont causé cette incapacité. Il s’agit

fixe) : tous les | | |investissements matériels de l’économie. En 2001 = 297 milliards d’€| | |(majoritairement investissements privés et individuels mais aussi | | |investissement public et investissement des ménages pour l’achat de | |

conceptions de la valeur qui se sont succédées. On va les reprendre pour comprendre les changements que cela a induits dans les contours successifs donnés à ce qui est perçu comme étant une production et, par conséquent, comptabilisé dans le PIB. - chez François Quesnay (économiste français, XVIIIe siècle, chef de file de l'école des physiocrates), seule l'activité agricole, celle du fermier, était considérée comme productive dans la mesure où elle multipliait la matière et permettait ainsi la création