épargne Et Investissement Chez Keynes

L'ÉPARGNE Ch. BIALÈS Questions préalables : • Concernant la définition de l'épargne : - Épargne, quoi ? -> flux de médiation • Entre revenu et patrimoine : fonction d'accumulation Capital Actifs humains Dépréciations Actifs réels t, t+1 Actifs financiers Dons et héritages Date t Date t+1 Actifs monétaires Accumulation (investissements placements, thésaurisation) Emploi de l’épargne t, t+1 Épargne t, t+1 Revenu de la période Consommation L’épargne est un flux issu du revenu que produit sur

modèle macro économique reposant sur le socle théorique retenu par les classiques et les néoclassiques. Ce modèle n'existe pas indépendamment de l'analyse de Keynes. Keynes ''invente'' la macroéconomie. En revanche, il avait construit un modèle pour démontrer que le chômage était involontaire, l'état devait donc agir pour le résoudre, chez les nouveaux classiques, il est volontaire car ils ont le choix entre le loisir et le travail. Le modèle nouveau classique est un modèle macroéconomique d'auto-ajustement

il soutenait qu’une intervention de l’état est nécessaire pour rendre le système économique plus efficace et plus équitable. Kaldor se rallia, très tôt, aux idées de Keynes. Mais, il le critiquait pour ne pas avoir su intégrer, dans son analyse, les enseignements que l’on peut tirer de la théorie de la concurrence imparfaite. Keynes étudie des situations économiques où le capital et le travail sont simultanément sous-utilisés. L’offre de biens est excédentaire, c’est-à-dire que les entreprises produisent

Chapitre 3 Le financement de l’économie 1. Des situations financières contrastées Les agents économiques peuvent avoir : * une capacité de financement : Epargne > FBCF * un besoin de financement : FBCF > Epargne Attention ! Capacités et besoins sont évalués au niveau d’un secteur dans son ensemble. Le secteur des ménages a une capacité de financement mais certains ménages ont des besoins de financement et doivent emprunter pour acheter un logement ou consommer. Le secteur

L’analyse keynésienne Nous allons tout d’abord nous intéresser à John Maynard Keynes (1883 – 1946). L’analyse keynésienne est née, entre les deux guerres, des réactions de Keynes à l’encontre d’une part des décisions prises au traité de paix de la première guerre mondiale, ainsi qu’à l’encontre des décisions économiques prises au Royaume-Uni de la fin de la première guerre mondiale jusqu’aux années 1930. John Keynes est né en 1883 (année de la mort de Marx) à Cambridge. C’est le fils d’un prof

Document Attac18 : http://www.local.attac.org/18/ L’ECONOMIE ET LES THEORIES ECONOMIQUES. Deuxième séance. C) Keynes et les théories keynésiennes. Keynes :(1883-1946) Keynes est un pur produit de la haute société britannique de son époque, après des études à Eton puis à Cambridge, il travaille deux ans en Inde dans la haute administration à l'Indian Office puis devient professeur à Cambridge. C'est un mondain qui mène joyeuse vie, passionné de jeu, très lié à un milieu d'artistes. Pendant

1776 il écrit un livre appel  « recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations ». L’Angleterre n’a pas encore connus sa révolution mais on passe à une production a plus grande échelle. 3 La révolution des échanges Chez le classique, l’origine des richesses est dans le travail, et il qualifie la richesse comme les choses nécessaire à la vie. Et l’origine de la richesse c’est le travail. Pour lui si l’on veut avoir plus de richesse, il faudra accroître le rendement

Théorie générale : l'essentiel Les économistes classiques Un monde sans chômage Avant Keynes, les économistes classiques considéraient que le plein-emploi était toujours assuré. Leur conviction s'appuyait sur un schéma simple : • les ménages disposent de monnaie ; • avec cette monnaie, ils achètent soit des biens de consommation, soit des titres émis par les entreprises (actions et obligations) ; • les titres sont émis par les entreprises pour financer leurs acquisitions de biens d'investissement

échange). Ici les prix vont être établis soit par la valeur du travail nécessaire (classiques) ou par l’activité (néoclassiques). La théorie de la sphère réelle lève le voile et se concentre sur le taux d’échange des produits. Sphère de la monnaie  Chez les néoclassiques, cette théorie montre comment se détermine le niveau général des prix par rapport au volume des transactions et celui de la monnaie en circulation. Irvine Fisher  Volume des monnaie x Vitesse de circulation = Prix des marchandises

il faut une licence donc on paye plus cher les trajets (≠ Angleterre, EU). C. La politique économique est toujours contournée → intervention toujours vouée à l’échec II- La justification dans l’intervention A. Les imperfections de marché Avant Keynes, des économistes de marchés ont pensé la question des imperfections de marché. Ils s’autorégulent mais parfois ça déconne. → les externalités : comportement d’un agent ayant une répercussion sur un autre agent sans que cette interaction ne se manifeste